PROMENONS NOUS DANS LES BOIS PAROLES] "Promenons-nous dans les bois" est une comptine célèbre qu'on chante souvent pour les jeux de cache-cache. Avant de fuir le loup, les enfants chantent en ronde et apprennent le nom des vêtements pendant qu'il s'habille. D'ailleurs, on peut rajouter autant d'éléments que l'on veut.
9EIZ. Promenons nous dans les bois... Hier soir, je propose à mon fils pour notre journée en amoureux, que l'on parte se promener en forêt... Je lui dis qu'on prendra son vélo, il est super passe une belle nuit, réveil à 8h40, le chocolat du matin et on se prépare et d'ailleurs pour la 1ère fois il veut se préparer le 1er...Ça fait un moment que j'attends qu'il fasse beau, je voulais une sortie pour mon fils sans qu'on se dise il fait quel temps demain? Il pleut? Il y a du vent? Bref je regarde le temps à la fenêtre de ma cuisine dès mon réveil et voyant ce soleil je me dis qu'il est temps d'y aller et voyant le temps de cette après-midi j'ai bien fait...Sam prend son vélo, il me dit "tiens maman" afin que je puisse installer le vélo dans la arrive sur place, je descend son vélo, sors mon appareil photo et s'est parti... Mon ange, ce sourire sur ton doux visage ce matin m'a remplit de joie... Sur le trajet tu n'arrêtais pas de me dire "attends-maman"...Il est tombé 2 fois mais on a bien rigolé et le petit truc rigolo c'est qu'il a demandé à mettre son pull avec le Loup...Forcément on sortait dans les bois;Alors promenons nous dans les bois... Ce que vous avez préféré lire
[NARRATEUR] Il était une fois Dans un lointain royaume, Il y avait un petit village A l'orée du bois [CENDRILLON] Je voudrais... [NARRATEUR] Et dans ce village [CENDRILLON] Plus que tout... [NARRATEUR] vivait une jeune fille, [CENDRILLON] Plus que la vie... Plus que les bijoux... [NARRATEUR] Une jeune fille insouci... [JACK] Je voudrais... Plus que la vie... [NARRATEUR] Et un boulanger sans enfant... [LE BOULANGER & SA FEMME] Je voudrais... [NARRATEUR] avec sa femme... [LE BOULANGER] Plus que tout... [LA FEMME DU BOULANGER] Plus que la lune... [LE BOULANGER & SA FEMME] Je voudrais... [CENDRILLON] Le roi donne une fête. [LE BOULANGER & SA FEMME] Plus que la vie... [JACK] Je voudrais... [CENDRILLON] Je voudrais aller à la fête. [LE BOULANGER & SA FEMME] Plus que la richesse... [CENDRILLON] Et le bal... [JACK] Je voudrais que ma vache nous donne du lait. [CENDRILLON & LA FEMME DU BOULANGER] Plus que tout... [THE BAKER] Je voudrais que nous ayons un enfant. [JACK] S'il te plait, poteau - [THE BAKER'S WIFE] Je veux un enfant... [JACK] Presse, poteau... [CENDRILLON] Je voudrais aller à la fête. [JACK] Je voudrais que tu nous donne du lait ou même du fromage... Je voudrais... [LE BOULANGER & SA FEMME] Je voudrais que l'on puisse avoir un enfant... Je voudrais... [LA BELLE-MERE] Tu voudrais aller à la fête ? [NARRATEUR] Les parents de la pauvre fille étaient morts, [LA BELLE-MERE] Toi, Cendrillon, à la fête? Tu voudrais aller à la fête? [JAVOTTE] Quoi, toit, Cendrillon, la fête? La fête?! [ANASTASIE] Quoi, tu voudrais aller à la fête ? [TOUTES LES TROIS] La fête? La fête du roi? [NARRATEUR] Elle vivait maintenant avec sa belle-mère [LA BELLE-MERE] La fête... HA! [NARRATEUR] qui avait déjà deux filles. [JAVOTTE] Regardes tes ongles ! [ANASTASIE] Regardes ta robe ! [LA BELLE-MERE] Les gens se moqueraient de toi [CENDRILLON] Peu importe, Je veux toujours aller à la fêtel et danser devant le prince. [LA BELLE-MERE &LES DEMI-SOEURS] Ha ha ha ha ha ha ha ha... [NARRATEUR] Toutes les trois avaient un visage magnifique, mais un coeur vil et noir.[NARRATEUR] Le pauvre gamin n'avait pas de père et sa mère - [LA MERE DE JACK] Je voudrais... [NARRATEUR] Et bien, elle était au bout du rouleau. [LA MERE DE JACK] Je voudrais que mon fils ne soit pas idiot. Je voudrais que ma maison ne soit pas en bazar, Je voudrais que la vache soit plein de lait Je voudrais que les murs soient couverts d'or - Je voudrais tout un tas de choses... Au nom du ciel, qu'est-ce que tu fais avec la vache dans la maison ? [JACK] Je pensais que s'il se sentait bien au chaud, il pourrait faire du lait. [LA MERE DE JACK] C'est une fille... Combien de fois devrai-je te le répêter, seules les filles peuvent donner du lait ?[NARRATEUR] Et puis il y avait une petite fille affamée qui portait toujours un chaperon rouge. [LE PETIT CHAPERON ROUGE] Je voudrais... Ce n'est pas pour moi, C'est pour ma mamie dans les bois. Une miche de pain, s'il vous plaît à emmener à ma pauvre vieille mamie dans les bois... Juste une miche de pain s'il vous plaît...[LA BELLE-MERE] Cendrillon, si tu peux ramasser ces lentilles, et finir tes corvées à temps, alors tu pourras venir au bal avec nous. Suivez-moi, jeunes femmes... [LES DEMI-SOEURS] Oui, mère. Bonne chance.[CENDRILLON] Venez, petits oiseaux, Descendez des corniches et des feuilles, à travers les champs, hors des chateaux et des étangs... [JACK] Maintenant, presse, poteau... [CENDRILLON] Ahhhhhhhhhh... Vite, petits oiseaux, Virevoltez à travers les cendres. Picorez et picotez, mais vite, Trier des cendres au pot...[LA MERE DE JACK] Maintenant écoutes-moi bien bien, fils. On doit emmener Blanche-Lait au marché. [JACK] Mais, mère, non ! C'est le meilleur vache du monde... [LA MERE DE JACK] Etait - Elle est à sec depuis des semaines maintenant, sans nourriture ou argent, nous n'avons pas d'autre choix que de la vendre. [JACK] Mais, Blanche-Lait est mon meilleur ami [LA MERE DE JACK] Regardes-la... Il y a des bêtes sur son pie. Il y a des mouche dans ses yeux. Il y a une bosse sur sa croupe Assez grosse pour la déformer - [JACK] Mais - [LA MERE DE JACK] Nous n'avons pas le temps de nous assoir et de penser, Alors que son garrot se flétris avec elle Et personne n'a pour ami une vache ! Des fois je me demande ce qui se passe dans ta petite tête.[LE PETIT CHAPERON ROUGE] Promenons-nous dans les bois, C'est le moment d'y aller, Je détèste partir, Mais je le dois, pourtant. Promenons-nous dans les bois, c'est l'heure, et donc, Je dois commencer mon voyage. Promenons-nous dans les bois, et a travers les arbres, jusqu'où je suis attendue m'dame, Promenons-nous dans les bois, jusqu'a la maison de mère-grand - Promenons-nous dans les bois, Jusqu'à la maison de mère-grand - [LA FEMME DU BOULANGER] Es-tu sûre de ton trajet ? [LE PETIT CHAPERON ROUGE] Le chemin est clair, La lumière est bonne, Je n'ai pas peur, et personne ne le devrais. Les bois sont juste des arbres, Les arbres sont juste du bois. Je détèste un peu de demander ça, Mais auriez-vous un panier? [LA FEMME DU BOULANGER] Oui, en effet. [LE BOULANGER] Je suppose que tu ne prévois pas de payer quoi que ce soit... [LA FEMME DU BOULANGER] Oh, chuuuut... Bon, ne traîne pas et sois à l'heure, d'accord ? [LE BOULANGER] Tu devrais garder quelques unes de ces friandises pour ta mamie ? Et bah... [LA FEMME DU BOULANGER] Laisse-la, va... [LE BOULANGER] C'est une voleuse! [LE PETIT CHAPERON ROUGE] Promenons-nous dans les bois, A travers les vallon Le chemin est droit, Je le connais bien. Promenons-nous dans les bois Et qui peut dire Ce qui nou attend sur le chemin ? Promenons-nous dans les bois pour emmener du pain A mamie qui est malade dans son lit. On ne pourra jamais dire Ce qui attend devant Pour ce que j'en sais, Elle pourrait déjà être morte. Mais dans les bois, Promenons-nous dans les bois, Promenons-nous dans les bois, Jusqu'à la maison de mère-grand Et rentrons avant le noir.[JAVOTTE] Cendrillon! [ANASTASIE] Viens par là! [CENDRILLON] Volez, oiseaux, Retournez au ciel... [JAVOTTE] On attend ! [CENDRILLON] Retournez aux corniches Et aux feuilles Et aux champs Et aux... [JAVOTTE] Dépêches-toi et viens me coiffer, Cendrillon ! Tu v vraiment porter ça ? [ANASTASIE] Voila, j'ai trouvé un petit accroc, Cendrillon. Tu ne peux pas le cacher avec un chapeau ? [CENDRILLON] Vous êtes magnifiques. [JAVOTTE] Je sais. [ANASTASIE] Elle parlait de moi. [JAVOTTE] Non, je ne crois pas. [CENDRILLON] Mère disait soit bonne, Père disait soit gentille, Ca a toujours été leurs Donc soit gentille, Cendrillon, Bonne, Cendrillon, Gentille bonne bonne gentille... [JAVOTTE] Plus serré! [CENDRILLON] Quel est l'interêt d'être bonne Si tout le monde est aveugle Et vous laisse toujours derrière? Ce n'est pas grave, Cendrillon, Sage Cendrillon, Gentille bonne gentille, sage bonne gentille - [JAVOTTE] Aouh! Pas aussi serré ! Seigneur![LE BOULANGER] Qui ça peut bien être? [LA FEMME DU BOULANGER] Nous avons vendu notre dernière miche de pain ! [LE BOULANGER] C'est la sorcière d'à côté. [LA FEMME DU BOULANGER] Nous n'avons plus de pain... [LA SORCIERE] Je ne veux pas de votre pain [LE BOULANGER] Alors que souhaitez-vous? [LA SORCIERE] Ce n'est pas ce que je souhaiterais, C'est ce que vous voulez. Rien ne se cuisine dans ce ventre n'est-ce pas ? Et ne se cuisinera jamais, Sauf si vous faîtes exactement ce que je dis. Dans trois jours une lune bleue apparaîtra, Seulement alors le sort pourra ête révoqué... [LA FEMME DU BOULANGER] Quel sort? [LA SORCIERE] Celui jeté sur cette maison. [LE BOULANGER] De quoi parlez-vous ? [LA SORCIERE] Dans le passé, alors que vous n'étiez qu'un nouveau-né, Votre père emmena sa jeune femme ainsi que vous dans cette petite maison. C'était un couple adorable, Mais pas des voisins adorables. Vous voyez... Votre mère avait un enfant, Et elle développa un apétit inhabituel, Elle admirait mon magnifique jardin, Et elle dit à votre père que Ce qu'elle voulait, Par dessus tout, était... Du vert, vert, rien que du vert Persil, poivrons, choux et céleri, Asperges et cresson et Têtes de violons et laitue! Il dit, "très bien" Mais ça ne l'était pas, Car je l'ai attrapé, durant l'automne, Une nuit dans mon jardin! Il était en train de mo voler, Me violer, En s'enracinant dans mes rutabagas, Dévalisant ma roquette et Déchirant les raiponces Mes championnes, mes préférées! - J'aurais du lui jeter un sort A l'instant, J'aurais pu le transformer en pierre Ou en chien... Ou en chaise... Mais je l'ai laissé avoir les raiponces J'en avais plein à donner. En échange, cependant, Je lui dis, "Que justice soit faite Vous pouvez me laisser avoir le bébé Que votre femme portera. Et alors nous serons quittes." [LE BOULANGER] J'ai eu un frère? [LA SORCIERE] Non. Mais tu as eu une soeur. [LE BOULANGER] Où est-elle? [LA SORCIERE] Elle m'appartient désormais ! Et vous ne la trouverez jamais, C'est un petit prix à payer pour Ce que votre père m'a volé. Ca m'a coûté ma jeunesse, ma beauté. Ma mère m'avait prévenue, Elle me punirait, Avec le sort de laideur, Si jamais j'en perdais un seul. [LA FEMME DU BOULANGER] De quoi ? [LA SORCIERE] De haricots... [LE BOULANGER & SA FEMME] Haricots? [LA SORCIERE] Les haricots magiques... Je l'ai laissé partir, Je ne savais pas, Qu'il avait volé mes haricots. Je le regardais ramper, Dos au mur ! Puis boum ! Crash ! Un éclair ! Bon, c'est une autre histoire, Tant pis - Quoi qu'il en soit, enfin Le grand jour arriva, Et je reclamai mon du. "Oh, n'emportez pas le bébé," Ils crièrent et hurlèrent, Mais je le fit, Et je la cachai là où personne ne l'atteindrais. Et ton père pleura, Et ta mère mouru. Quand pour mesure suplémentaire J'admet que ce fût un plaisir J'ai dis, " Désolé, Je ne suis toujours pas appaisée." Et je leur jetai alors un petit sort Ainsi qu'à toi, fils, Afin que votre arbre généalogique soit pour toujours stérile... [LE BOULANGER] Comment avez-vous pu faire ça? [LA SORCIERE] Et quand ta mère mouru, Ton père abandonna aussi. Ton père n'en était pas un alors pourquoi le serais-tu ? Et donc il n'y a plus d'histoires Et plus de scènes, Et mon jardin prospère - Vous devriez voir mes nectarines ! Mais je vous dis la même chose Que je dis au rois et reines Ne jamais, jamais, Toucher a mes verdures ! Surtout les haricots.[JACK] Ouais, mais pourquoi devons-nous aller au prochain village ? [LA MERE DE JACK] Parce que, tout le monde dans ce village, sait que la vache n'a pas donné une goutte de lait depuis des semaines. [JACK] C'est de la triche! [LA MERE DE JACK] Nous mourrons de faim, Jack! Tu ne le comprend pas? Maintenant, tu n'acceptes pas moins de cinq livres pour elle. Tu m'as entendu ? [JACK] Oui. [LA MERE DE JACK] Combien tu demandes? [JACK] Pas plus de cinq livres. [LA MERE DE JACK] Moins de cinq livres! [JACK] De cinq! [LA MERE DE JACK] Promenons-nous dans les bois, Il est temps maintenant, Nous devons vivre, Peu importe comment. Promenons-nous dans les bois pour vendre la vache, On doit commencer le voyage ! Droit vers les bois et ne pas reporter Nous devons affronter La place du marché. Promenons-nous dans les bois jusqu'a la fin du voyage. [JACK] Promenons-nous dans les bois pour vendre un ami...[LA SORCIERE] Vous voulez avoir Le sort révoqué ? Je vais avoir besoin d'une certaine Potion d'abord. Allez dans les bois et ramenez-moi Un la vache aussi blanche que le lait, Deux Le chaperon aussi rouge que le sang, Trois Les cheveux aussi blonds que le blé, Quatre la pantoufle aussi pure que l'or. Ammenez-moi cela Avant que sonne Minuit, Dans un délai de trois jours. C'est là que la lune réapparaît. Ce qui n'arrive qu'une fois tous les cent ans. Apportez les juste et Je vous assure, D'avoir un enfant aussi parfait qu'un enfant puisse l'être. Allez dans les bois ![LA BELLE-MERE] Mesdames, Notre calèche attend. [CENDRILLON] Maintenant puis-je aller à la fête ? [LA BELLE-MERE] La fête? Chérie, ces ongles ! Chérie, ces vêtements ! Les lentilles sont une choses mais Chérie, avec ça, Tu nous ridiculiserais à la fête et le prince serait mortifié! [CENDRILLON] La fête dure trois nuits. Vous pourriez certainement me laisser être là pour l'une d'entre elles. [LA BELLE-MERE] Le roi essaie de trouver une femme pour son fils ! Pas une domestique d'arrière-cuisine ! Nous devrions être en route ALLEZ![CENDRILLON] Je voudrais... [LA FEMME DU BOULANGER] Des haricots ? Ce doit être les haricots de la sorcière, Emmenons-les avec nous. [LE BOULANGER] Nous? [LA FEMME DU BOULANGER] Oui! [LE BOULANGER] Nous? Tu ne viens pas, C'est dangereux la dehors. [LA FEMME DU BOULANGER] Je peux t'aider! [LE BOULANGER] Non! Je peux faire ça moi-même. Le sort est sur ma maison. Je peux seulement conjurer le sort, Le sort est sur ma maison . [LA FEMME DU BOULANGER] Non, non, Le sort est sur notre maison. Nous devons conjurer le sort ensemble, Le sort est sur notre maison! [LE BOULANGER] Maintenant dis-moi que dois-je ramener ? [LA FEMME DU BOULANGER] Argh, tu ne te souviens pas? La vache aussi blanche que le lait, Le chaperon aussi rouge que le sang, Les cheveux aussi blond que le blé, La pantoufle aussi pure que l'or. [LE BOULANGER] La vache aussi blanche que le lait, Le chaperon aussi rouge que le sang, Les cheveux aussi blond que le blé, La pantoufle aussi pure que l'or... [CENDRILLON] Je voudrais toujours aller à la fête, Mais comment pourrais-je bien aller à cette fête ? [LE BOULANGER] La vache aussi blanche que le lait, Le chaperon aussi rouge que le sang, Les cheveux aussi blond que le blé - [CENDRILLON] Je sais! Je vais aller visiter la tombe de mère, La tombe vers le noisetier, Et juste lui dire que je veux Aller à la fête du roil... [LE BOULANGER] La pantoufle aussi pure que l'or... La vache, le chaperon, La pantoufle aussi pure que l'or- [LA FEMME DU BOULANGER] Les cheveux! [CENDRILLON & LE BOULANGER] Promenons-nous dans les bois, C'est l'heure d'y aller, Cela peut être en vain, tu/je le sais. Promenons-nous dans les bois- Mais malgré tout, Je dois faire ce voyage. [CENDRILLON, LE BOULANGER & SA FEMME] Promenons-nous dans les bois, Le chemin est droit, On le connais bien, Mais qui peut dire [LE BOULANGER & SA FEMME] Promenons-nous dans les bois pour conjurer le sort, [CENDRILLON] Promenons-nous dans les bois pour visiter mère, [LA MAMAN DE JACK] Promenons-nous dans les bois pour vendre la vache ! [JACK] Pour avoir l'argent ! [CENDRILLON] Pour aller à la fête ! [LE PETIT CHAPERON ROUGE] Promenons-nous dans les bois jusqu'à la maison de mère-grand! [TOUS] Le chemin est clair, La lumière est bonne, Je n'ai pas peur, Personne ne le devrait. Les bois sont juste faits d'arbres, Les arbres sont justes fait de bois. Pas besoin d'est effrayé ici- [LE BOULANGER] Il y a quelque chose dans la clairière là-bas...[TOUS] Promenons-nous dans les bois, Sans délai, Mais en faisant attention de ne pas Se perdre en chemin. Promenons-nous dans les bois, Qui sait ce qui pourrait se cacher sur notre chemin? Promenons-nous dans les bois Pour trouver cette chose qui fait que ce voyage est digne d'être vécu. Promenons-nous dans les bois into the woods [LA BELLE-MERE & LES DEMI-SOEURS] Pour voir le roi [JACK & SA MERE] Pour vendre la vache [LE BOULANGER & SA FEMME] Pour faire la potion [TOUS] Pour voir Pour vendre Pour avoir Pour ramener Pour faire Pour conjurer Pour aller à la fête! Promenons-nous dans les bois! Promenons-nous dans les bois! Promenons-nous dans les bois, Ensuite hors des bois, Et rentrons avant la nuit!
Harry Potter 2005 ~¤~ Autres Lieux Magiques ~¤~ Grande-BretagneCiarán A. MerrowSerdaigle Re Promenons-nous dans les bois...Ciarán A. Merrow, le Dim 4 Juin - 417 Les pulsions. Ou quand le corps prend les commandes. Quand le cerveau, lui, passe en arrière plan et regarde faire. Chloé n'avait répondu qu'à son corps lorsqu'elle avait pointé Edward avec sa baguette magique. À cet instant, son cerveau ne contrôlait plus rien. Ses sentiments n'avaient plus leur mot à dire. C'était presque comme si quelqu'un d'autre avait pris possession de son propre corps. Comme si elle n'avait même plus le temps de réfléchir. Étrangement, cela lui rappelait une partie sombre de son passé. Elle se revoyait, le visage caché derrière un masque, faisant taire son humanité dans l'unique but de servir le Seigneur des Ténèbres. Elle se revoyait, le regard froid, le coeur glacé, menacer des inconnus avec le bout de sa baguette magique. Elle se revoyait leur ôter la vie. Sans remords aucun. Juste des actions superposées. Insensées. La Greenwood n'avait pas pensé un seul instant à la réaction du garçon. Pendant un instant, elle avait presque pris du plaisir à invoquer la peur en lui. Presque. Mais son amusement inhumain prit fin lorsqu'elle le regarda dans les yeux. Son regard avait perdu toute trace d'assurance. Désormais, il ne pouvait plus être certain de rien, avec elle. Il venait tout juste de le comprendre. Peut-être regrettait-il d'avoir été naïf? En tous les cas, il eut l'intelligence de vouloir en savoir plus sur elle. Sur son passé. Questions vagues mais intéressées. — Poudlard est une très bonne école, tu sais. Tu vas y apprendre énormément. J'ai enseigné la Défense Contre les Forces du Mal, qu'elle ne finisse elle-même par plonger du mauvais côté. Mais elle lui épargna cette information. Son cerveau, qui semblait avoir repris les commandes, lui intima de se taire. Elle décida également d'omettre certaines vérités à propos de son père. Hors de question qu'elle se confie à un enfant. Qui plus est, à un inconnu. — Je ne l'ai pas depuis que j'ai franchi la porte du Hogwarts Express le jour de ma première rentrée à Poudlard. Elle s'en souvenait comme si c'était hier. Ce jour-là, il avait fait étonnamment froid pour la saison. Peut-être que la température extérieure pouvait expliquer l'humeur glaciale de son père, en cette journée si importante pour Chloé. Ou peut-être savait-il déjà, à ce moment-là, qu'il allait partir pour ne plus jamais revenir. Peut-être avait-il déjà pris conscience qu'il ne reverrait plus jamais ses deux filles. Peut-être que cette idée ne le touchait pas plus que ça. Tout simplement. Il avait simplement porté les valises de la cadette sur le quai de la gare, puis rapidement embrassé ses cheveux pour ensuite la regarder s'éloigner, sans qu'un seul mot ne vienne frôler ses lèvres. Même pas un au revoir. Chloé lança un regard noir à Edward. Son visage s'était refermé. — Si tu ne veux pas que je parle de ton père, à l'avenir, évite de mentionner le mien. La seule différence entre toi et moi, c'est que, de ton côté, il est mort, et que moi je ne sais pas encore s'il l'est. C'est tout ce que tu as à savoir. Puisqu'il était trop curieux, l'ancienne professeur allait continuer l'apprentissage. Mais, en silence. Elle informula un Convulso Crispo en direction du jeune homme. Aussitôt, son corps d'adolescent fut secoué de spasmes. Chloé avait choisi ce sort parce qu'elle savait qu'il ne ressentirait aucune douleur, mais aussi parce que les mouvements incontrôlés de son corps l'empêcheraient de parler pendant quelques minutes. Et, surtout, parce qu'il s'agissait d'un sortilège presque anodin. La dernière chose qu'elle aurait voulu, c'était le guider vers le mal. Invité Re Promenons-nous dans les bois...Invité, le Lun 5 Juin - 2346 Edward commençait à se demander s’il devait fuir au plus vite. Il avait de moins en moins confiance en Chloé. Il se sentait de nouveau mal à l’aise en sa présence. Elle lui ressemblait mais en version féminin. Quelqu’un de gentille à première vue mais qui à l’intérieur de soi, possède une partie sombre. Un ouragan de colère qui peut s’échapper à tout moment. Il l’avait bien vu dans ses yeux quand il avait mentionné son père. A présent, il ne devait plus faire ni dire n’importe quoi. Chaque phrase qu’il prononcerait serait au préalable réfléchi pour éviter les ennuis. Pourquoi avait-il accepté qu’elle lui donne quelques conseils pour se défendre ? Ed rêvait d’être dans son lit à dévorer un bouquin sur la botanique. Au lieu de ça, il suivait un cours de défense dirigé par une inconnue rencontré dans les bois. - Poudlard est une très bonne école, tu sais. Tu vas y apprendre énormément. J'ai enseigné la Défense Contre les Forces du Mal, là-bas. »Dans le journal intime de sa mère, elle avait mentionné toute sa scolarité à Poudlard. Elle y décrivait un endroit magnifique où l’on apprend au mieux à se servir de la magie. Edward avait tout lu avant de recevoir la lettre pour son inscription là-bas. Si Chloé avait été professeur de Défense Contre les Forces du Mal, elle devait s’y connaître énormément sur les moyens de se défendre. Et puis, elle l’avait enseigné donc il n’avait en fin de compte peut-être rien à craindre d’elle. Il était juste un de ses élèves pour un unique cours. - Je ne l'ai pas depuis que j'ai franchi la porte du Hogwarts Express le jour de ma première rentrée à Poudlard. »Son comportement venait de changer. Le visage de Chloé s’était assombrit. Elle n’avait donc pas vu son père depuis de nombreuses années. Edward avait connu ce même sentiment puisque cela faisait 12 ans que sa tendre mère était partie rejoindre les étoiles. 12 ans à pleurer chaque soir pour qu’elle revienne. 12 ans à grandir sans amour maternel. 12 ans à souffrir en silence. 12 ans à haïr les Dieux de lui avoir enlevé sa maman. En fin de compte, ils n’étaient pas si différents que ça. Mais pour Chloé, c’est son père qui l’avait délibérément abandonnée à l’âge de 11 ans en plus. Quel parent pouvait-il faire cela à sa fille ? On conçoit des enfants pour les aimer, les chérir. Pour leur apprendre le fonctionnement de la vie, pour parfaire leur éducation et leur culture. Autant ne pas en faire si c’est pour les abandonner ou les frapper quelques années après leur naissance. - Si tu ne veux pas que je parle de ton père, à l'avenir, évite de mentionner le mien. La seule différence entre toi et moi, c'est que, de ton côté, il est mort, et que moi je ne sais pas encore s'il l'est. C'est tout ce que tu as à savoir. »Edward déglutit. Une nouvelle fois, il avait peur pour sa vie. Baguette en main, il recommença à trembler. Au timbre de sa voix, il savait qu’il lui avait fait beaucoup de mal en posant cette question concernant son père. Sans qu’il ne comprenne pourquoi, il commença à être secoué de spasmes. Cela devenait de plus en plus intense. Il avait l’impression qu’il allait rendre son petit déjeuner à ses pieds. Ed commença à devenir rouge. Au bout de quelques minutes désagréables, cet étrange phénomène s’arrêta. Il mit quelques instants à reprendre ses esprits. Etes-ce Chloé qui était responsable de tout ça ? Pourtant, il ne l’avait pas entendu prononcer un sortilège. - Ecoute, je suis désolé, j’ai été bête de penser que je pouvais te poser des questions sur ton père. Je veux juste que tu m’apprennes à me défendre. D’ailleurs, c’est toi qui m’a lancé un sortilège ? »Il y avait de la peur dans sa voix. Si c’était elle la responsable, il devait vite s’en aller. Que lui arriverait-il si elle lui lançait un autre sortilège plus violent ? Il ramassa ses affaires et commença à s’en aller. Des brindilles craquaient sous ses pas. Edward tremblait de tous ses membres. Il n’entendait plus que les oiseaux qui chantaient au-dessus de sa tête. Il se retourna timidement et lança - Désolé mais je crois que ma tante m’attend pour déjeuner, au … au revoir. »Il fît volte-face et ferma les yeux. Ed était désormais une cible facile de dos. Il supplia Chloé à tout bas de le laisser tranquille. En fin de compte, cette inconnue ne lui avait fait que du mal. Il voulait oublier cette rencontre au plus vite. D’effacer ce passage de sa mémoire et de reprendre une vie normale. Ciarán A. MerrowSerdaigle Re Promenons-nous dans les bois...Ciarán A. Merrow, le Jeu 8 Juin - 1600 Lorsque les effets du sortilège prirent fin, les yeux d'Edward ne criaient rien d'autre que de la peur. Un regard hurlant son envie de fuir. De partir. Loin, très loin. Partout, mais surtout ailleurs. Facile à comprendre, quand on savait que la jeune femme à l'origine des convulsions n'était pas dérangée le moins du monde par la souffrance silencieuse et indolore du jeune homme. Il ne faisait pas de doute que sa jeunesse et son manque de maturité certain ne pouvaient pas l'aider à aborder cette situation courageusement. Quoique, dans un élan de naïveté et d'audace, il avait demandé à une ancienne Mangemort qui lui était totalement inconnue si elle pouvait lui donner des cours de défense. Quel doux paradoxe. Peut-être cette leçon aurait-elle le mérite de réveiller chez lui la méfiance qui s'était endormie tout près de son innocence. Chloé savait déjà comment Edward allait réagir. Bien sûr qu'il allait partir. Bien sûr qu'il allait la fuir. C'était une réaction totalement normale, et s'il avait agi autrement, la vélane l'aurait très certainement pris pour un fou. Un fou totalement naïf. Pour la première fois depuis le début de leur rencontre, le jeune garçon avait une réaction saine et compréhensible. Comment pouvait-elle l'en blâmer? Comment pouvait-elle en vouloir à un adolescent de ne pas savoir se protéger? À cet âge-là, c'est encore le goût du risque qui fait vibrer. Mais, maintenant, il semblait en avoir assez de mettre sa vie en péril avec une femme qui n'avait que faire de Greenwood se sentait presque attendrie devant son manque de connaissances. Il n'était qu'au début de sa formation à Poudlard, et n'avait pas l'air d'avoir entendu parler de sortilèges informulés. Mais il n'était pas bête ; même s'il avait pris le soin de lui poser la question, il savait parfaitement au fond de lui qu'elle était la seule personne à avoir pu l'attaquer de la sorte. Il avait demandé, comme si lui-même n'arrivait pas à y croire. Comme si seule la réponse positive de la vélane pourrait l'en persuader. Mais elle ne répondit pas. Devant son silence, il commençait à plier bagages. L'ex Serdaigle ne bougea pas et se contenta de le laisser faire. Infecte comme elle l'avait été, il valait mieux le laisser partir et accepter de le regarder s'en aller. Au fond d'elle, Chloé savait que cette expérience le ferait réfléchir. Qu'elle avait agi pour le mieux, et qu'il n'avait juste pas encore assez de recul sur cet instant pour s'en rendre compte. Mais désormais, il se méfierait. Désormais, il arrêterait de faire confiance à des inconnus. Et maintenant qu'il avait profité d'un avant-goût, l'envie de bavarder en cours de Défense contre les Forces du Mal le quitterait. Tout ça, il ne le savait simplement pas encore. Il lui présenta une excuse des plus ridicules, pour éviter de dire tout haut qu'il s'enfuyait parce qu'il avait peur. N'importe quel humain aurait réagit pareil. Pourtant, il n'avait pas de raison de la craindre. Enfin, plus aujourd'hui. Mais ça non plus il ne le savait pas. Il y avait tant de choses dont il n'avait pas connaissance à propos d'elle. La vélane le regarda lui tourner le dos. Edward s'attendait à ce qu'elle l'attaque de nouveau. Elle le savait. Mais elle ne bougea pas, se contentant de ranger sa baguette là où elle avait initialement trouvée, à l'intérieur de sa veste. Dans un dernier sourire, elle attendit qu'il passe la porte de sa maison pour se retourner à son tour et quitter ces lieux où elle n'avait trouvé aucune réponse. C'était à Edward de mettre la main sur les siennes. Dans un souffle, elle chuchota — À bientôt, Edward. — Fin du RP — Invité déplacementInvité, le Mer 21 Juin - 902 Pv EllyQuelques jours après s'être échappé de prison, Vladimir Estragon se trouvait sur les routes d'Angleterre. Après un rapide passage par Londres afin de s'acheter une baguette avec les derniers deniers qu'il possédait sur lui, il s'était échappé de la capitale sans être vu. Armé, à présent et tout à la fois désarmé, le jeune vagabond s'était demandé dans quelle direction il pourrait se mettre en route. Paradoxalement, Vladimir se sentait bien. Cela faisait un long moment qu'il ne s'était pas senti aussi libre. Peu importait la famine qui le toucherait bientôt et la soif qui la tiraillait importait la chaleur qui lui faisait penser que ce n'était pas la saison des évasions. Un jour à vivre en liberté, fut ce dans la pire souffrance physique en valait mille sous les verrous. Cependant qu'il marchait à travers champs en Angleterre, l'homme s'était plusieurs fois surpris à crier de joie. Lorsqu'il avait de la chance, un passant lui donnait de quoi boire ou manger. Plus il montait vers le nord et plus le temps se faisait clément. Parfois, un coup de baguette magique permettait de chasser un lapin au détour d'un chemin et de faire un feu pour le faire cuir, mais alors...De deux choses l'une. D'une part, il craignait que le Ministère ne le retrouve par l'utilisation de sa magie, d'autre part, il constatait avec effroi que la magie était de moins en moins puissante en lui. Il manquait de pratique. C'était d'ailleurs la raison pour laquelle il se rendait vers le nord. Dans sa liberté, le jeune homme désirait rejoindre l'écosse pour retrouver Pré-au-Lard. Là-bas, se trouvaient ses anciens enseignants dont l'un pourrait peut-être l'aider. Un sorcier n'est rien sans magie Au moins les moldus avaient ils l'habitude de se débrouiller par des procédés dont celui-ci n'avait pas même l' jour que la chaleur était néanmoins particulièrement intense, vers l'aube du mois de juillet Vladimir était épuisé. La chaleur accablante semblait tout écraser sous un ciel d'azurite. Ce clochard ne trouva rien de mieux que d'entrer dans une forêt pour se protéger du soleil. Là, une rivière coulait comme un trésor liquide. Se penchant pour boire, Estragon observa son reflet. Cela lui faisait bien de la peine de se voir ainsi. Il était mal rasé, peu musclé, ses cheveux avaient poussé plus que de raison et on pouvait observer des cernes sous ses yeux aussi profonde que la rivière en face de laquelle il se trouvait. Mais ce qui était surprenant, dans ce reflet que l'ombre des feuillages rendait un peu plus opaque, c'était qu'il ne se voyait pas seul. Au-dessus de son épaule gauche, un vieux fermier se regardait dans l'eau tout comme marcheur ambulant qui n'avait pas vu un visage depuis plusieurs jours cru d'abord à une hallucination. Mais se retournant pour mieux l'apprécier, il n'eut d'autre choix que de constater l'existence de ce qu'il voyait. C'était bien un vieil homme, court sur patte, avec une chemise à carreaux. Probablement un moldu. Sur les ailes de son nez, la trace de lunettes fraîchement retirées laissaient penser qu'il avait été interrompu dans une activité, sans doute par la présence d'un inconnu dans le bois qui longeait sa propriété. Bonjour.'jourVous devez avoir fait une longue route et être fatigué. Suivez moi, je vais vous aider à vous reposer. »Le moldu était effectivement un fermier qui possédait une ferme non loin du bois dans lequel s'était engouffré Vladimir. Il l'invita donc à rentrer et lui proposa un lait de chèvre que l'ancien bagnard ne se voyait pas en mesure de refuser. Finalement, comme la fin de l'après-midi approchait à grandes enjambés, un lit fut couvert dans la grange pour permettre au sorcier de passer la nuit avant de reprendre la route avant qu'il ne fasse trop chaud le lendemain une de ces granges habituelles dans lesquelles un silo permettait de stocker le grain. Au fond, une armoire trônait, poussiéreuse et semblant venir tout droit d'une autre époque tout comme la moissonneuse batteuse qui se trouvait juste à côté. Ce genre d'engins ne devait plus servir depuis bien longtemps. Sous la charpente de laquelle tombait quelques araignées, des poules avaient fait leurs nids avec de la paille sèche. Voilà, vous serez très bien, ici, dit le fermier en fermant la porte de la grange au grand damne de Vladimir. Bonne nuit. »La porte se ferma et la pièce fut plongée dans le noir le lus complet jusqu'à ce que ses yeux se fussent adapté au manque de luminosité. Il était enfermé... A nouveau. Un bruit se fit entendre. Puis une nouvelle fois. Il apparaissait comme venant du fond de la pièce. A y regarder de plus près, comme le soleil traversait par endroit la charpente en créant des halos de poussière, il semblait que cela vînt de l'armoire. S'approchant, l'homme sortit sa baguette. Pas à pas, en suant à grosse goutte, il commençait à trembler. Lorsqu'il arriva devant la porte de cette armoire en bois brut, il l'ouvrit d'un coup. Mais il ne trouva rien à l'intérieur. Lumos Une faible lumière s'illumina au bout de sa baguette, laissant entrapercevoir le fond de la commode. Étrangement, celle ci lui semblait plus petite qu' lumière s’éteignit. Le manque de pratique, sans doute. Un autre bruit se fit entendre, comme s'il venait de la grange entière. C'était ce genre de grincement que fait parfois le bois lorsque l'air devient froid. Soudain, quelque chose bougea, il en était sûr. Cela semblait venir de la porte barrée de l'édifice. En la fixant, il ne voyait rien. Puis le son se fit entendre à nouveau et cette fois, il en était certain, c'était la grange qui bougeait. Il était enfermé avec quelque chose, sans avoir la possibilité, ni de sortir, ni de voir ce que c' murs. Le son venait des murs. La poussière que le soleil continuait d'éclairer faiblement par endroit bougeait sur les murs. Celui du fond et de devant étaient... Mais... Il semblait que la pièce fût déjà devenu deux fois plus petite. Et cela continuait. Les murs, définitivement, avançaient dans sa direction comme pour l'écraser. Il allait mourir, là, étouffé. Dévoré sans raison par cette prison d'un nouveau genre, par ce bâtiment qui continuait de se refermer sur lui comme un piège. Vladimir tenta de crier, d'appeler, mais aucun son ne sortait de sa gorge. L'armoire se retrouva bientôt broyée comme elle se trouvait entre la moissonneuse et le mur. Elle disparut sous ce dernier dans un craquement sinistre comme un hurlement que le bois aurait sa baguette, l'homme se demandait ce qu'il allait faire. Il se demandait si tout allait se terminer comme ça. Mourir écrasé par une grange, il y avait de quoi rire. Rire, c'était ce à quoi il avait pensé au départ, sans doute cette armoire recelait elle un épouvantard. Mais ce qui se déroulait sous ses yeux n'avaient finalement rien d'un épouvantard. La terreur, au fond de lui, qui lui enserrait la gorge, était la même. Cet effroi qui ne lui permettait pas de faire un geste. Il tremblait... De tous ses membres. Les murs étaient de plus en plus près, bientôt il connaîtrait le même sort que l'armoire. Le soleil s'était définitivement couché, la nuit était tombée. Il ne voyait plus rien du se coucha sur le sol. Allongé sur le côté, il attendait que les bords de cette charpente viennent l'écraser sous le poids de l'édifice. Il avait peur, mais il se refusait à la panique. Trop longtemps enfermé, sans doute l'homme ne voulait plus que cela arrive. La fin était proche. Il ne s'entendit même pas réciter la formule comme si cela pouvait changer quelque chose. Riddikulus. Non, il ne lui semblait pas l'avoir prononcé. De toute façon, cela n'avait eu aucun effet, la pièce continuait de se resserrer sur enfermé après avoir réussi à s'échapper d'Azkaban. Il n'avait pas de raison d'avoir peur. Deux ans dans la prison étaient bien trop astronomiques face à ce qu'il vivait en ce moment-même. Et quand bien-même il mourrait, cela était peut-être mieux que de toujours se cacher. Il riait. Mourir... Haha, mais quel joli destin pour celui qui craignait qu'on ne le renvoie à Azkaban par la force. Hahaha, il riait de plus en plus fort sans raison apparente, tel que pris par la folie qui vous touche lorsque vous avez suffisamment souffert pour le restant de vos jours. Il riait, il riait de plus en plus fort et les murs se feraient encore plus rapidement jusqu'à ce que l'épouvantard soit totalement neutralisé par le rire sans qu'il ait eu à prononcer la formule ou à imaginer quoi que ce soit de plus drôle que son propre destin. Après tout, c'était vrai, il n'avait plus peur du tout, au contraire, il riait de toutes ses forces. Il riait aux éclats, à gorge déployé et la pauvre créature n'avait alors plus aucune emprise sur ombre sembla disparaître dans la fente au milieu de la porte de la bâtisse et tout redevint normal d'un seul coup. Les murs semblaient ne jamais avoir changé de place et l'armoire était magiquement revenue à la sienne. Vladimir se coucha dans le lit qui avait été préparé pour lui mais, toujours tremblant, il ne parvenait plus à trouver le sommeil. Finalement, il se résolut à sortir pour passer la nuit à la belle étoile. Il ne pouvait plus s'endormir sans voir le porte s'ouvrit sans lendemain, lorsque le fermier vint lui apporter un petit déjeuné, le vagabond était déjà parti. Vanille FleurySerpentard Re Promenons-nous dans les bois...Vanille Fleury, le Mar 27 Juin - 727 Retrouves moi...PV avec KohaneAutorisation de reprendre le sujet par cours, sans m'arrêter, je ne sais pas comment j'ai pu me retrouver ai absolument rien à faire au fond, je ne cherche plus de raison, n'ai plus envie de me battre pour quoi que ce soit. Ce monde n'en vaut pas la peine, plus rien ne compte d'autre que cette douleur insupportable qui me broie l’estomac sans je crie... Nuée d'oiseau qui s’envole, extérioriser la douleur qui me ronge même si ça ne change tout ce conclut toujours d'un échec. Parce que j'ai mal, je n'arrive plus à résonner, seule reste la et moi, nous. Même si désormais nous ne formons qu' de rage, de colère et de douleur monde à jamais transformé pour mes un autre visage, un facette bien ne suis plus fantôme, je ne suis plus rien...Je ne suis plus que rage, la vraie, celle qui vous consume et vous alimente en même qui est mon unique raison de yeux se posent sur un arbre, je m' mes poumons à terre, vomissant le contenu de mon estomac vide,goût acide sur mes lèvres, odeur du sans quand celui-ci rejoint le noir, monde de songe. Plus de vie, peut-être une simple envie. Le fil est perdu, comment finir la trame ?Des erreurs regrettée mais le monde continue de tourner, pensant me battre alors que j’ plus rien d'autre qu'une poussière, besoin intense de vengeance,détruire ce qui m'a conduit jusqu'ici. Impossible. Et pourtant je les pieds avancent toujours. Mais nul but, nulle ce besoin de continuer, alors que tout est perdu, que plus jamais le cœur ne battra de coups, le sang coule abondement, en moi, empoisonnée de mes princesse n'est plus, rongée par la qu'une demi vie, comme si les aiguille s'arrêtaient pour fatale, cicatrice banale. Tombant de haut sans avoir appris à de brume, monde de fou encore bien trop flou. Paupières closes. Aveuglette, les jambes en un sens, une vois, comme si c'était possible. Comme s'il existait quelque non, rien que le noir, la brume... Contours d'une nuit sans entre les arbres. Mains caressant les troncs séchés de vie. Simple oubliant les paroles de la chanson. Croyant que tout pourrait être monde, lui... Moi ? Mensonge. Incapacité. N'étant apte à elle ? Viendra-elle ? Regard au sol. Résignation. La peur d'être à nouveau seule, Pas cette fois, non. Promettant de se battre pour que cela n'arrive sans avoir le moindre mot à les démons tiennent les pantin...La tête prise entre les mains enfantines. En apparence du de fois le sang a t-il déjà eu l'occasion de couleur entre les doigts blancs ? Trop, beaucoup de folies, délibérés. L'adrénaline qui circule si vite. Doux plaisir, cruel sourire. Une danse au pouvoir danse macabre. Tant d'excuse perdue au loin, emportée des vents si lourds. Ne cherchant plus le moindre pardon. Les mains se sont tendues, les chances ont été données, les bras on jamais mérité. Monde remplit de mensonge, de fausses victime. N'en étant pas une, me sentant si si profitant, je finissais par me laisser sombrer dans le de mes pires cauchemar. Voulant mettre son cœur disparu à l' veux la voir. Elle. La retrouver et chercher un soupçon d' que mon cœur n'est pas partit avec que je me sers également d'elle ?N'étant plus sûre de rien. Doutant de moi. Je me retrouve à implorer un quelconque Dieu pour qu'elle ne vienne pas, ne me trouve pas. Et soudain les jambes s'affaissent, la douleur grandit. Tombant le nez contre la terre, sentant les douces odeurs boisées qui s'enroulent autour de viens à douter de mon propre nom, ne suis même pas sûre de savoir qui je sang est en train de couler dans mes veines. Je m' larmes ne coulent plus, plus depuis lui, depuis la diablesse qui a tant jouer avec est-ce finalement l'inverse. Je n'en sais trop rien... Soupir. Un souffle. Je crie son nom. Kohane...Résonnant en écho contre les arbres et dans le m'oublie pas... Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Promenons-nous dans les bois...Kohane W. Underlinden, le Mar 27 Juin - 1831 C'est comme l'annonce d'une mauvaise nouvelle. Ce vent. Ce ciel. Si lourd et si comme si la détresse contenue dans sa lettre venait à se refléter dans l' lettre raturée, abîmée, recommencée. Des mots qui flottent et appellent à l'aide. Phrases de la petite fille qui ne sait plus où se poser dans ce vaste longtemps que j'ai pas eu de ses ne s'est pas passé grand-chose après notre rencontre dans les a gardé sa place dans mon coeur. Elle a créé son cocon dans mon âme. Mais elle a fait sa vie. J'ai fait la mienne. Une distance qui s'est imposée tout aujourd'hui, la voilà qui revient. Qui bout d'une plume, ses traits tracés sur un parchemin à travers les lettres et les mots qu'elle a tristesse et sa n'en sais pas sais seulement qu'elle a besoin de pour ça que je suis lui tenir la main. Parce que je lui ai promis que je pouvais l'aider à faire un nouveau pas dans le monde. Parce que je ne peux la porter indéfiniment. Mais je peux lui tenir la main et tenter de la que je sais que j'ai autant besoin d'elle qu'elle a besoin de et feuillages. Sous un ciel gris. Qui pourrait bientôt se mettre à pleurer, qui sait. Arbres et feuillages. Odeurs me poser plus de questions, je me mets en route. Un pas, deux, craque sous la semelle. Le vent agite les branches, froisse le tissu des ne sais pas pourquoi, réellement, elle a écrit cette lettre. Pourquoi se sent-elle si mal. Pourquoi, pourquoi, pourquoi...Et je m'en savoirpourquoiparce que je ne suis pas là pour elle veut en donner les raisons, je l'écouterai. Mais avant tout, je suis là pour silencieuse compagnie pour un peu de tenir la main pour un peu d' m'est si envie de l' que je l'aime, sans doute. La raison première de ma venue ici. Une amie. Un fantôme. Une soeur de douleur. Une bien-aimée. Elle est tout à la me sens si proche d' veux l'aider. Et l' mot que l'impression qu'il renvoie à ce passé lointain que je regrette, cet âge d'or qui m'apparaît presque comme un vieux rêve tellement il me semble renvoie à cette époque où le sourire était si simple. L'amour si léger. Les questions ne se posaient pas. Et j'aimais le tout me paraît si d'amour à donner et ne pas savoir comment le donner. Ne pas réussir à le donner. Ne pas trouver le courage d'en faire l'impression de ne plus réussir à ouvrir son coeur. Voguer, un visage, deux visages, trois... sans jamais parvenir réellement à évidemment, j'ai de l'amour pour ceux qui m'entourent et me sont proches. Pour ces amis sur qui je sais pouvoir compter. Pour ces amis présents, jamais absents, toujours de l'amour pour eux car c'est bien cela qui consolide toute le terme d'amoureuse ne signifie plus grand-chose pour moi. Je sais juste m'abandonner à des bras, connus ou inconnus. Sans jamais rien ressentir de ne sais pas. Pas dans le fond, je le sens. Elle est différente. Des mon sentiment pour elle aussi, est tout aussi ne sont pas à ses bras que je veux m'abandonner. Mais à son coeur. C'est lui, que j'aimerais coeur, son âme. Jumelle veux d'elle bien plus que je n'en ai voulu des autres. Excepté un regard, un sourire, une pulsation commune que je désire. C'est ce qu'elle est au plus profond d'elle-même que je veux. Je ne cherche pas que la surface des choses. Pas avec elle. Je veux le coeur de tout qu'elle la cherche. Ne trouve des feuilles sous le n'entends que ma propre soudain, une voix déchire le voile du silence. Une voix forte, un cri sorti de l'âme. Qui ne porte qu'un mot. Qu'un sais alorsque je l'ai j'augmente l'allure, allonge le pas, suis les dernières notes retombées du arbres défilentje ne vois rienentends encore résonner, au fond de mes tympans,sa voixet l'appellancé au ciellancé à la naturequi frémit sous le ventsa voixqui me demandaitmoic'est moiqu'elle veutpour la rattraperau-dessus du videne pas la lâcherla ramenerprès de moije ne te lâcherai pasje te tiendraià bout de bras, à bout de forceje ne te lâcherai pasje te ramènerai près de moipour t'étreindre et te rassurertu ne seras pas seuleje serai làà te tenir la mainje te relèveraiet on avanceraencoreune foisun est vois son ne vois pas son peux l' elle est là. C'est l' je m' à deux dans cette forêt. Pour crier le m' la main, saisis son bras pour prévenir de ma de ne sais que dire. Je sais seulement que ne l'oblige pas à se retourner pour voir son visage peut-être je m'accroupis pour être à la hauteur de son corps assis et je l'étreins doucement pour la silence d' bras se referment sur son corps. J'appuie mon menton sur son ne la regarde regarde paysage qui se déroule sous ses yeux. Sous les miens aussi, paysage d'arbres et feuilles. De nuages lourds et de ciel bras se ne parle n'est pas à moi de ne suis là que pour rassurer. n'ai rien à dire. Pour l' peux l'écouter, si elle le peux la calmer. Par cette embrassade humaine empreinte d'amour et d' n'es pas seuleTu m'as attendueJe suis là. Vanille FleurySerpentard Re Promenons-nous dans les bois...Vanille Fleury, le Jeu 29 Juin - 1033 Je perds toute notion du dans un monde de vide manquant cruellement de cherche quelque chose à quoi me raccrocher. Me prouver que je suis toujours qu'il et parti depuis que le diablesse m'a gelé le cœur, j'ai peur ne n'être plus rien qu'un simple reflet de cette autre Ellana que je pensais alors connaître. Je ne reconnait plus mon visage, mains tremblantes lorsqu'elles sèment la douleur pour les autres. Comme une douce vengeance, parce que je ne suis pas capable, se battent ces autres qui souffrent ? Ceux qui se perdent dans l'ombre sans avoir besoin de faire du voir le sang couler pour vivre. Je vous admire, poussières de ce d'un peu de plus, vous envolez,un peu plus loin, toujours. Même quand les ailes manquent à l' je ne suis pas comme vous,je n'y arrive pas...La colère me prend à la gorge. Comme un millier de petite veux me battre, j'ai besoin de leur faire tous les sourires que je regretter à ces imbéciles le fait même d'être égoïsme ? Sans doute...Coup de poignard, caresse des lames, je suis une vague qui monte en moi, encore plus, toujours j'ai envie de les déchirer, ces enfants heureux comme ceux qui ne devrait pas l' donc cela que tu cherches Ellana ? Un monde où tous sont comme toi ?Les questions se multiplient. Je ne répond me rend coupable...À chaque des branches, des feuilles sous les ne suis plus seule au milieu de cet qui se ferment, un presque noir sans reste réveillée. Pour quelques minutes de ce qu'elle arrive à moi. Alors là je pourrais sombrer, là je pourrais me il me faut encore un peu...Tu es sens ta présence,cette main sur mon coup mon visage s’apaise,les trais soulagés dénouent la gorge de sa qui doucement se relâche. Je ne bouge pas, pas un geste, pas un tu es venues, puisque tu es me serres doucement dans tes ne peux voir ton visage mais sens ton cœur qui le mien qui doucement se Je ne parviens plus à y jamais pu comprendre à quel point tu m'avais en vérité si loin, si loin de toi. Mais aujourd'hui rien n'a si les sentiments avaient simplement attendus le bon tu reviennes les reprendre entre tes Tes mains sont si pose mes paumes sir tes mains qui m'enserrent,et délicatement j'ouvre les moindre à étrangement retrouver des si tout brillait un peu plus que tu es à mes côtés, que t'as présence me rend un peu de Kohane, merci d'être là pour et d'avoir un cœur assez grand pour m' Petite traîtresse repoussé bien des mains, mais pas les il n'en est pas question. Jamais. Mon cœur est brisé, laissant s’échapper la vie de j'ai gardé une partie intacte. Pour toi...On peut faire un pas, on pourrait...Encore un de plus, même si j'ai mal, si toi que je n'ai pas mal de toi, comme j'ai mal de la mes "je t'aime" ne sont pas des mensonges comme pour ne jouerais pas avec toi. serais bien incapable, cela causerait ma toi je pourrais les offrir, ses trois toi je pourrais promettre, de t' que tu n'es pas comme elle...Parce que je t'aime alors que je ne pensais plus ça voulu vérifier. J'ai osé lancé les voilà comme serre délicatement tes que je suis toujours en ce n'est pas juste un cadavre que tu encore de l'espoir. Parce que tu es que ce sont tes bras qui me qu'il n'est plus lui je lui avait promis, juré de ne jamais l’abandonner, de toujours l'aimer. Mais j'ai faillit à ma mission, j'ai pris peur et me suis enfuie. Alors que mon cœur me criait de lui demander pardon. Alors que c'est pour lui qu'il continue de battre...Pour lui et pour toi. on se perd à trop aimer, à toujours ce soit volontaire ou non. Ça fait si mal, enlève l'envie de se que je suis trop faible, pas assez si c'est sans doute ma que je ne le nie me retourne criant sous la doigts avancent vers ta joue,j’effleure ta peau comme pour me rendre compte que tu es un mirage, ni une douce la sérénité reviens juste un peu sur les trais es là...Murmure envolé au quatre mains passent derrière ton t'enlace en posant mon visage contre tes Kohane...Chuchotement contre ton un secret, comme un es belle Kohane, si ne savais plus ou j' tremblement à peine d'être venue me rejoindre,me prouver que j'ai encore un peu d'amour à surtout que j'ai eu raison de te l'offrir. Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Promenons-nous dans les bois...Kohane W. Underlinden, le Mer 5 Juil - 1547 MusiqueLe corps, tendu de rage ou de tristesse. Peut-être les deux. Sans doute les reste silencieuse et immobile. Mes bras qui l'enserrent de la lâche pas. Je veux qu'elle sente. Qu'elle sache. Que je suis là. Oui, je suis venue. Pour toi. Je suis là. Pour te tenir la main. Contenir ta colère. Essuyer tes larmes. Etirer tes lèvres d'un sourire. Encore un, encore un, pour se dire qu'on en est suis venue, suis suis je sens ses épaules qui, doucement, se relâchent. Une forme d'apaisement contagieux. Mes propres bras autour d'elle se détendent. Je n'ai plus peur qu'elle fuie. Qu'elle explose. Qu'elle s'évapore. Je sais qu'elle paupières se ferment un court instant -soulagement après tout, je ne la libère pas. Et la garde contre ce silence éternité. Parfois agité de quelques bruits de j'écoute et j' au moindre mouvement, au moindre tellement étrange de la retrouver. La retrouver d'y être, je ne savais pas bien comment cela allait pouvoir se d'y être, je n'étais pas sûre de ce que j'allais fantomatique rencontre au milieu de la nuit me paraît si loin ! Et si rapide. Un simple éclat dans une vie, lueur éphémère, disparue aussi vite qu'elle est apparue. Si bien qu'après cela, je ne savais plus vraiment. Plus vraiment où j'en étais. Ni même si mes sentiments pouvaient être durables. Sincères et spontannés, ils l'étaient, pour sûr. Mais sauraient-il résister à la cruelle morsure du Temps ?Et, à présent que j'y suis, je rien n'a Temps n'a pas su effacer à présent que j'y suis, je m'a que je n'en avais pas conscience. Mais, dans le fond, sa non-présence faisait un vide. Un vide que je n'ai jamais su combler. Un vide qu'on ne m'a jamais laissé l'oportunité de à son dos, je respire son suis heureuse. De l'avoir petit corps blotti contre le mien. La calmer pour mieux je sens ses mains, doucement, se poser sur les miennes. Les enserrer, comme signe de vie, de force. Oui, elle est encore là. Encore là. Elle peut être debout. Elle peut être forte. Elle peut affronter la Vie, ses Monstres et ses Démons. Je le sais. Sa main qui serre la mienne avec tant de vigueur me le mince sourire se dessine sur mes suis si heureuse que tu sois là, en chair et en os. Que tu m'aies attendue. Que tu aies voulu me que les sentiments d'avant, si rapidement exprimés, besoin de toi. Tu as besoin de un nouveau ce silence d'éternité. Pour sceller des temps des mots n'est pas encore une affection muette, des gestes qui valent mille rester ainsi, que la scène se fige, comme sur une photographie plus rien ne bouge. Pas même nous. Uniquement continuer d'entendre les battements de son coeur. Savoir qu'elle est vivante. Entre mes bras. Savoir que je peux encore la tenir contre peux encore être là pour toi, qui sait ce que nous réserve l'avenir ?Je n'ai jamais rêvé un futur exclusif à tes côtés. Pour moi, tu étais juste un fantôme-reflet, celle en qui je me reconnaissais et que j'aimais tendrement pour la belle alchimie de nos douleurs. Tu étais ce fantôme passant, que je savais pouvoir retrouver et aimer de nouveau si je le souhaitais. Ce fantôme qui fait sa vie tandis que je fais la aujourd'hui, justement, ma vie, ce n'est plus moi qui la fais, qui la vie n'est presque plus la si je ne la possède pas moi-même, comment pourrai-je t'en offrir des parts ?Avec larmes, haine et résignation, j'ai accepté d'abandonner mon Futur aux obligations familiales et au poids de l'argent. Il ne me reste plus grand chose. Plus grand chose que je possède encore de mon grand-chose que je puisse encore t'offrir, t'aime et je ne veux pas t' vérité. Je ne t'abandonnerai. choses risquent juste d'être bien même je voudrai tout t'offrir de moi, je ne le pourrai plus. Je n'ai plus de pouvoir sur rien. Alors, aujourd'hui, c'est un peu de ce rien qui me reste que je te étant venue. Pour pouvant encore te serrer contre mon en me disant queje t' mouvement brise l'aspect figé de la elle tourne la tête. Un visage défait, douloureux. Et en même temps, je sais qu'il est plein de doigts viennent effleurer ma ne bouge pas. Me contente de la regarder de mes pupilles suis vivante,moins fantomatique que la dernière fois, peut-être,je suis vivante, de chair et d'os, en tout cas,ne t'en fais pas pour ses mots coulent tout doucement, comme un minuscule les laisse aller, ses bras autour de mon cou, son visage contre moi, sa voix au creux de l' dernier appel de la je serai là pour te parfois du mal à me soutenir moi-même. Mais étrangement, je veux tout faire pour relever les propres bras gardent leur étreinte autour de son fait tellement du bien de sentir que quelqu'un est là. Qu'elle est Dame Oiseau je vois aujourd'huis en plein où tu es. Je serai là. Pour mumure, le sais, n'est-ce pas ?Je serai toujours là pour qu'il me restera encore un peu de ce rien qu'on me laisse, tant que je peux encore t'offrir de ce rien qui m' reçu ton appel en détresse. Et je suis finis par desserrer mon étreinte et éloigner un peu mon visage pour pouvoir la regarder dans les pupilles des étoiles au milieu du voile de tristesse et perdition au-dessus. Pour tenir le je sais que tu sauras t'en débarrasser, de ce voile la regarde, la contemple en est belle aussi en plein jour. Elle est différente. Sa beauté n'est plus la même. Mais elle continue de briller encore un peu. De cette force qui attend seulement d'être découverte. Cette force qui la poussera à avancer. Une fois qu'elle aura pleuré, explosé, pose une main sur sa ne parle dans mon oeil, seulement la t'arrive-t-il ? Vanille FleurySerpentard Re Promenons-nous dans les bois...Vanille Fleury, le Dim 9 Juil - 1107 j'ai pas de musique mais la tienne est parfaite <3Comme une impression d’irréalité, peut-être que c'est mieux ainsisans doute la douleur serait-elle moins grande, je ne suis plus sûre de rien,à ses côtés le monde semble retrouver des couleur oubliées, un bonheur merveilleux qui m'enserre la gorge de sa beauté, comme si mes yeux n'avaient été capable de le déceler plus tôt, si simplement je n'étais pas apte, pas prête à le voirmais maintenant tout est différent elle est là et ce n'est qu'au moment ou son visage réapparait devant mes yeux que je me rends compte à quel point j'ai pu souffrir loin d'elle, je l'observe les yeux brillants d'une sensation de plénitude intense, l'impression qu'un rideau se déchiremettant les douleurs de côtés, au moins pour un instantjuste un petit temps plus qu'apaisant, elle est si proche tout en me semblant si loin, je ne sais que penser alors je fais taire ma raison, qu'importe la taille de cette folieelle ne m'a jamais été pleinement utile et j'ai l'impression que le destins se fiche de moij'ai été fantôme et âme brisée mais ma faiblesse ma reconduite dans d'autres bras,je me suis perdue dans cette instabilité, prête à mentir et à tromper, pour survire,pour avoir l'impression de tenir ma vie en main, de tout contrôler alors que ce n'est pas le casque cela ne l'a sans doute jamais été pour personnepas de ce monde en tout casje sens la douce caresse d'un renouveau, elle ne m'a pas oubliée, encore moins abandonnée,j'ai presque du mal à croire à ma chance, ne comprenant pas ce qui la pousse à me retrouverou peut-être comprenant trop bien et alors que tout aurait pu s'arrêter, que nos chemins auraient si facilement pu se séparer, la revoilà près de moi, serrant mon corps entre ses bras, comme pour prouver que tout n'est pas fini, qu'il reste encore un peu d'espoir, un peu de vieune raison de se battre, du lutter, toujours plu longtemps, même alors que tout va malou du moins que c'est ce que l'on penseet moi je suis là Kohane, il y a un vide en moi qui ne demande qu'à être comblénon un vide banal que n'importe qui pourrait prendreta place celle qui tu t'es faite dans mon cœur cette nuit làque tu garde encore aujourd' suis plus forte qu'à notre dernière rencontre, plus forte et plus perdue,les secondes ont filées, pas mal de choses ont changées et pourtant je suis toujours profondément la même,j'imagine que pour toi c'est pareil, que le monde à mainte fois été cruel, mais la douleur n'a pas changé, pas toutparce qu'au fond nous sommes toujours les même, parce qu'en nousnous ne sommes que toujours deux enfants perdues au fonds des cachots,deux âmes empreintes d'une douce insomnies, d'une alchimie de douleur qui peut rendre plus forteet c'est ce que je veux être moiplus fortepour toi, peut-être aussi pour moi, qu'importe, les Démons plus jamais ne m'auronts'il faut je deviendrais plus redoutable, froide, distante, s'il faut je me battrais, regarderais leur sang couler sans le moindre remord, les regrets n'ont plus le loisir d'exister dans l'obscuremais malgré cela, je garderais mon cœur, je ne veux pas être une machine,je veux garder une place pour toi, juste ici, en moi,parce que je te sens présente, tu sais, depuis cette nuit tu m'alimentes,la douleur de l'absence ne me fait que trouver nos retrouvailles encore plus merveilleuseset pourtant rien n'a changé, nous sommes toujours là,l'une pour l'autre même si ça aurait pu sembler impossiblepuis tes paroles explosent, comme une saveur sous ma langue,et je veux crier, que je t'aime, plus fort, plus loin que je ne l'aurais cru possiblecomment peux-tu donc être comme ça Kohane, comment parviens-tu à me faire ça ? en un claquement de doigts tu rends les couleurs à mon âme, tu parviens à me rendre ce que j'ai failli détruire,tes mots volent jusqu'à moi et percutent mon cœur avec une douceur infinieles larmes veulent couler mais je les retiens,je ne permettrais pas cela, pas aujourd'hui, je veux juste être heureuse, de ta présence, fêter ton retour du mieux que je peux, ouvrant mon cœur à la joie de te sentir de nouveau près de moiet je voudrais pouvoir te parler, formuler ce que je n'ai pas pu écriremais j'ai du mal, je n'y arrive pas, cruelle injustice de ce monde qui me bloque la gorgeje veux pester, râler mais tout déborde bien trop d'inutilitéalors je me perds dans ses yeux parce que tu m'as manquécomme une simple justification, qui n'aurais pas vraiment sa placemais la voix est enfantine, le cerveau ne résonne plus contact de sa main contre ma joue, je ferme un instant les yeux, parce que ça fait tant de bienque j'avais presque oublié cette sensation, ses doigts comme les ailes d'un papillon, délicats et protecteursje ne veux plus réfléchir à quoi que ce soit, pas maintenant, pas aujourd'hui,juste être, avec elle et pour elleme perdre et m'oublier, mes ses yeux interrogateur me demande,pas comme un ordre mais une invitation, un acte de présence, me dire qu'elle est là et que je peux parler,mais dois-je donc vraiment évoquer Kalsi ? Ne serai-ce donc pas un peu déplacé ?mais j'ai confiance en elle, plus qu'en n'importe qui, cette relation tissée entre nous est si uniqueque je doute qu'elle puisse laisser de la place à une jalousie stupidej'ai été amoureuse soupir, comme une simple résignation, oui je suis retombée,dans les bras d'un homme qui plus est, je me suis blessée et brûlée vive, par ma faute et non la siennemais une diablesse à joué avec moi, elle m'a ensorcelée de son corps, me rendant dépendante à ellej'ai tenté de lutter puis j'ai pris goût au jeu et quand il nous a surpris je...une hésitation, j'ai mal d'évoquer ces jours de douleur, fuyant son regard pour déposer ma tête contre son épaule,la sentir près de moi et puisse une force dans sa présenceje me suis rendue compte du mal que mon instabilité allait lui faire,j'ai préféré mentir, lui dire que je ne l'avais jamais aimé, j'ai préféré le laisser partir...je fini dans un souffle, serrant mes bras autour d'ellecomme pour me raccrocher à quelque chose, lui dire que je l'aime après çamais je l'aime... un simple murmure, je retrouve les yeux de mon âme jumelle, fermant soudain les paupières pour un geste inconsidéré, mes lèvres se posent délicatement sur les siennestendre baiser sans doute interdit, je ne veux plus la lâcher, ma main passe doucement dans ses mèches foncées,comme si je pouvais rester ici à jamais. Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Promenons-nous dans les bois...Kohane W. Underlinden, le Dim 30 Juil - 2250 MusiqueJe ne sais comment j'avais rêvé ces fait, je ne les avais peut-être pas ne les avais pas que je ne voulais plus te je ne me projetais pas. Pas avec vivais au jour le jour en sachant qu'un jour, tu me reviendrais, je te reviendrais, nous nous ce jour,C'est aujourd' es là. Si près de mieux ni moins bien. Juste. Equilibre parfait. Tu es parfaite. Dans ces teintes d'ombre-lumière sous les arbres. Même ton air attristé et sombre s'accorde avec l'aspect sans tâche de ces retrouvailles. Je te contemple. Et te trouve plus belle que toujours quand j'arrive pour te rattraper que je te trouve toujours quand tu te tournes vers moi, quand tu as besoin de moi, quand tes bras se tendent vers moi que je te trouve éclatante. Alors même que tes yeux pourraient être sombres, voile de larmes sur le globe tu es belle comme regardSon regardL'un perdu dans l'autreL'autre entremêlé dans l'unEt on se retrouve. Et je sais que, même si je ne me faisais aucun projet, aucun rêve sur cet instant-là, je l'attendais avec impatience depuis toujours. Depuis qu'on s'est quittées dans les cachots. Depuis que je l'ai découverte fantôme, que j'ai aimé sa douleur, que j'ai aimé sa personne. Depuis que j'ai fait un pas vers elle, elle vers n'en avais pas pris c'est suis si heureuse qu'elle soit m'as prononce ces mots alors même qu'ils me traversent l' les sort alors même que mes lèvres voulaient les a été la plus nos cœurs étaient accordés en au même rythme doux. Pour un sentiment prononcé à la forêt, venu du fond de la gorge, simple elle est si proche de doit l'avoir doit l'avoir qu'elle lit en moi. Et que les mots sont sait,peut-être,Que j'ai pensé à elle quand elle n'était pas là, que j'ai continué de l'aimer quand elle n'était pas là, qu'inconsciemment, j'ai espéré la revoir alors qu'elle n'était pas la vois fermer doucement les volets s'abattent sur les main figée sur sa sens sa peau chaude sous mes doigts. Y'a le sang qui circule dans son corps, pulse dans les veines, la font vivre alors qu'on pourrait la croire fantôme. Y'a le sang qui coule et sais qu'elle est bien sur les fil des révélations, j'attends. Je n'ose pas encore esquisser un pas, un peu malhabile ou maladroite dans ma discipline. J'attends seulement. Qu'elle doit donner le signal du enfin, ses mots. Disent. Sortent de la l'écoute sans tête vient trouver refuge sur mon épaule. Comme si elle ne parvenait plus à affronter mon regard. Ou le voile des souvenirs se dressant entre elle et son cœur. En peine. Piégé. Tourmenté. a ressens son amertume. La douleur provoquée par l'autre. Y'a pas de nom. Y'a seulement le qualificatif. La diablesse. Qui s'est ri de tout cela. A saisi au vol le cœur trop brûlant d'amour. Pour se jouer de lui. L'ensorceler et provoquer sa son tête posée contre mon effectif ma main sur ses et souffle toujours plus finir sur la terrible je l'aime...Je sens mon cœur se serrer. A ces derniers mots. Non pas une pointe de jalousie. Mais des souvenirs aussi, j'aurais pu dire je l'aimeEt pourtant, je l'ai que je l' y'a longtemps. Mais ça reste comme une plaie jamais cicatrisée. C'est si dur. D'abandonner volontairement ce que l'on au bout des lèvres, le couteau dans le connais tout en se disant qu'on soudain, me tirant de mes réflexions, je sens ses lèvres chaudes contre les de baiser. Tendre et si longtemps refoulé. Le baiser au milieu de nulle part, une bulle rien qu'à nous avec, à l'occasion, quelques arbres autour. Mais c'est surtout nous, notre bulle qui m' j'accueille. Que je rends. Sa main qui vient se mêler à mes mèches. J'ai l'impression qu'à nouveau, la terre tourne. Alors qu'elle est là. Si près de moi. Ses lèvres contre les miennes. On est deux. A valser dans l'univers. Instant-temps éternel. La scène pourrait se figer. Elle resterait éternellement contre moi. Sa main dans mes cheveux. .........Tout s'est arrêté...........Et pourtant, nos cœurs continuent de battre dans nos de l'un à l' tape et amitié-amoureuse, deux oiseaux perdus qui s'aiment pour l'alchimie de leur douleur. Mais peut-être pour quelque chose de plus aussi...Finalement, par la force des choses, je finis par rompre ce baiser de larmes, d'amertume et de un peu mon visage. La pourrais te redonner espoir. Essayer. Essuyer tes larmes. Te tenir la main. Te soutenir. Je sais que tu as besoin de vais faire de mon toujours terrible de partir, laisser partir alors qu'on ses épaules de mes garde serrée contre yeux se perdent sur le de sommes regrettes ? Si tel est le cas, tu as encore la possibilité de faire marche arrière. Ou plutôt de courir après ce que tu as abandonné. Il n'est peut-être pas trop tard. Il te suffit seulement de te lancer. Et courir sans t'arrêter. Jusqu'à l'avoir rattrapé. Il n'y a que toi qui puisse décider de le faire ou pas. Si tu ne te lances pas dans cette course, il te faudra alors faire le deuil de cet amour. C'est possible. Mais c'est voix se brise un peu sur les derniers contre les récifs. Qui se jettent et ne l'ébranlent éclatent en mille et une gouttelettes, autant de larmes que j'aurais pu verser moi aussi par amour. Stupide sentiment. Pourquoi faut-il que cela fasse si mal ?Je ferme les yeux quelques sa douce l'affût des bruits environnants. Mais rien. Sinon sa respiration. La mienne. Mon cœur. Dans mes m'a parlé. M'a confié. Une part. Un bout. D'elle-même. Moi aussi. Je peux faire. Un pas. Vers elle. Et sais, y'a longtemps, j'ai fais la même chose que toi. J'ai abandonné ce que j'aimais. Mais je ne me suis pas retournée. Je n'ai pas couru après. Ca a été si dur. Un deuil, c'est jamais facile. Je ne regrette pas mon choix. Car je sais que je ne pouvais faire autrement. Je l'aimais. Mais je devais partir. Je ne regrette pas. Je sais juste que... c'est dur. Les larmes et l'amertume qui restent au creux de la gorge. Les questions, les pourquoi à la chaîne, les et si tout était différent...Si c'est un deuil, que tu veux faire,Va falloir te préparer à tout étreinte se je serai sur moi. Vanille FleurySerpentard Re Promenons-nous dans les bois...Vanille Fleury, le Ven 11 Aoû - 2038 Musique...Nous étions bien peu de chosece matin dans la douceur d'une atmosphère boiséedeux enfants fuyant un monde d'illusion je restais contre toi car pour la première fois j'avais cette impression de vivresentant ton cœur battre en accord avec le mienalors que tes lèvres au goût sucré m'offraient une nouvelle saveurun peu de moi, un peu de toi, d'un nous que j’espérais retrouveret comme si rien n'avais changé, depuis cette nuitce noir dans les cachots quand je t'ai vue brillante d'une beauté oubliéeje t'ai aimée Kohane, tu sais ? un peu trop vite peut-êtremais le temps ne comptes pluscomme il n'a jamais compté jusqu'ici alors que des mois ont passésnous sommes toujours làun peu plus forte que cet autre soirelle est intrigante comme si malgré l'impression de la connaître je pouvais découvrir des milliers de chose de plus en elleet c'est sans doute le cas bien que je ne sois sans doute pas capableque je n'ai pas la subjectivité de ce temps si étrangej'aimerais à tout jamais rester làet pourtant mon baiser prend finalors je me rend compte que pas un instant, je n'avais douter de son commencementelle aurait pu être pu, me repousser, me dire un simple "non"est-ce que je ne viens pas de lui avouer où était une grosse partie de mon cœur ?peut-être qu'elle s'en moque, je ne sais pas, ou alors trop biencomme si au dessus de cela nous ne pouvions éprouver jalousieun simple bonheur de voir l'autre heureuse comme de l'être ensemblej'étais comblée de ce partage que l'on aurait pu penser impossiblemais qui pourtant vivrait en nous sans le moindre complexe avec toi Kohane, toutes les convenances se voient chambouléeselle me parle, ses bras m'entourent je suis... bienjuste comme ça sans avoir besoin d'autre choseelle et doucement ses paroles s'offrant à moicomme un torrent, une cascade viveque doucement je remonte jusqu'à son âmepour y découvrir une autre histoireun passé semblable à mon présent il ne me reste qu'un choixme retourner ou fermer les yeuxet je doute pouvoir le faire, j'ai peurde passer à côté du bonheur comme de forcer quelque chose de déjà mortcomment savoir sans essayer ?me voilà perdue entre deux possibilitésincapable de décider quel chemin emprunter si seulement je pouvais me perdre, Kohanedans ton étreinte, tes bras rassurants qui me tiennent chaudslà si près de mon cœur allumé qui bat alors qu'il se devrait sans doute éteint j'ai peur de me retrouver seule une fois que tu ne sera plus làtu sais, les couleur sont tellement plus belle à côté de toiune vie qui se veux paraitre moins difficile pour me laisser un temps de répit, un temps avec toitu es si belle, je suis incapable de comprendre pourquoi tu restes encore près de moimais je te vois brillante à côté de mon âme salie, tu scintilles d'un aura presque magiqueune merveilleuse symphonie que j'entends résonner à mes oreillesje voudrait te demander, Kohane, comment on fait pour être toi ?Alors que se tais la douceur de sa voix vibrante d'une émotion qui me traverseparce que chacun de ses mots ont un sens, toutes ses phrases vibrent de vérité à mes yeuxje sais, je vois, sa douleur qui pourrais être la mienneson passé dans mon futur et nos destins lié pur hasard ? un soupçon de magie... dans ce monde qui perd un peu de grisun peu de silence, avant qu'elle ne reprenneallumant mes yeux, mon cœur, cette amour tendre que je lui porteune promesse différente de celle qu'offre les amours innocentspuis ce que je sais qu'elle la tiendra, que c'est grâce à elle, qu'encore mon cœur batparce que j'ose compter sur toi, j'en ai besoin aussiet un regard vers le ciel, l'attente que les mots viennent à moij'ai peur, maladroite, mais je sais qu'avec elle il n'y a pas de place à la gène les craintes s'envolent une à une au rythme de ma respirationaccepter l'idée d'un nous, si belle promesseje ne veux pas le laisser fuir, j'en suis incapablele bonheur s'est arrêté trop tôt, je veux le retrouvermais je me vois comme un monstre, j'ai peur de lui faire malcomme à toi Kohane, mais pourtant tout est si différentque se passe t-il donc entre nous ? pourquoi ne fuis-tu donc pas ?le voix se brise, persuadée d'avoir raisonpresque prête à la voir partir alors même que l'idée me semble si irréalisable et attachée tu sais qu'elle non plus tu ne saurais la laisser fuircomme Peter auquel tu es toujours attachéealors qu'il vaudrait sans doute mieux laisser partiril n'y a pas assez de place dans un cœur pour y placertant de personnedu moins je crois, mais ne suis plus sûre de rien à présentseulement d'une chosesi mon cœur bat encore c'est sans doute grâce à toi. Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Promenons-nous dans les bois...Kohane W. Underlinden, le Lun 4 Sep - 2325 MusiqueLa présence douce à côté de est tout à la fois aujourd'hui. Calme et paniquée, douce et violente comme une mer déchaînée à l'intérieure de son cœur, ici et là-bas. Elle ne sait plus où elle est. Et moi, j'aimerais lui tenir la main lui dire tu es là, avec moi, tu es là, ne crains aux ailes coupés qui ne peut que sautiller, sautiller en piaillant de toutes ses forces au monde. Sautiller, n'aller jamais assez vite et trop petit pour que le monde le regarde avec attention. Trop fragile pour passer seul l'hiver. Il avait trouvé un sourire, il avait trouvé une paume de main réconfortante, il avait trouvé un foyer. Et, pour une raison bien personnelle, il s'est enfuit alors même que ses ailes coupées ne le portaient toujours pas. Il s'est enfuit ; peur de blesser l'autre. Et c'est vers moi qu'il se tourne. Je pourrais te recueillir au creux de ma main, charmant oiseau blessé de vie. Mais me fuiras-tu moi aussi ? Sautilleras-tu loin de moi, par peur de... peur d'un je-ne-sais-quoi ?Je ne veux pas que tu alors, si tu dois t'en aller, je veux pouvoir espérer que tu n'en ai jamais douter, je dois toujours fait confiance au Destin sur ce plan-là. Je savais que tu reviendrais -ou que je aujourd'hui, cette promesse tient-elle toujours ?Lorsque nous nous séparerons tout à l'heure, ta présence sera-t-elle encore là, dans l'atmosphère, dans cette bulle qui m'entoure et m'enveloppe ? Ta présence invisible sera-t-elle promesse de futures retrouvailles ?Je ne l'ai jamais réalisé. Mais je crois. Que tu m'as perdu, oiseau sans te porterai dans l'hiver, à travers le froid et la neige. Je te réchaufferai sous le givre. J'éclairerai la nuit lorsqu'elle sera trop noire. Je soignerai tes plaies, panserai tes blessures. Mais, s'il-te-plaît, moi, au moins, ne me fuis sais, non, en fait, tu ne sais pas, mais tu es apparue dans ma vie à un moment trouble. Un moment où plus rien n'allait. Un moment où j'étais perdue. Comme nous étions égarées dans les cachots. Une ombre qui se cherche et qui en trouve une es apparue dans ma vie à un moment où j'avais besoin de moment où je vacillais, mes appuis se délitaient sous appuis étaient si peu solides. S'évaporant dans la perdais Rachel, je me perdais moi, je perdais ma famille parfaite et rêvée. Confrontée subitement au dur monde adulte, un monde duquel j'étais épargnée jusque là. Je tanguais et titubais dans le il y a eu les mains qui m'ont un peu rattrapée. Les présences que je n'attendais pas et qui, pourtant, étaient là, solides, indéfectibles. Il y a eu Asclépius. Puis il y a eu toi, Ellana, sœur de douleur, belle âme, bien aimée. Tu es apparue à un moment où les sentiment se faisaient la malle. Un moment où plus rien ne m' en te voyant, fantôme de la nuit, j'ai mon cœur m'appartenait quoi qu'en dise les autres. Même si les autres tentent de le mêler à de foutus combines, d'histoires de titres et d'argent. Il ne l'auront pas. te voyant, j'ai si ma vie ne m'appartenait plus, mon cœur, lui, resterait à jamais en ma t'ai t'ai aimée. Je t'ai m'as tant appris !Et là, aujourd'hui, tu me dis que tu as peur. De faire tu me demandes pourquoiPourquoi toi, moi, se passe alchimie des douleurs qui va bien au-delà de la simple compassion ou de la simple familiarité. Alchimie des douleurs qui en vient à créer quelque chose de nouveau. Quelque chose de plus beau. Bien au-delà de la douleur. Qui contrebalance même cette déchirure de l'âme au couteau tendresse que je trouve chez toi. Dans ton me rappelle que le cœur bat toujours un peu pour les affection que nous partageons sans t'aimeEt je sais désormais que je peux t'aimer comme en aimer d'autre sans culpabilité. Car mon cœur m'appartient. Il n'appartient à personne d'autre. Pas même à toi, en fait. Pas entièrement, du moins. Tu en détiens une partie. Comme moi je dois posséder une part du tien. Mais jamais dans sa vogues vers d'autres horizons, d'autres visages. Sans fais de c'est comme ça qu'on s' chacune à voler dans l'hiver et se retrouver au sens sa voix se briser sur les derniers vague heurte le en mille et une gouttes qui s' sens ta peur, peut-être regrets te dire de courir, jusqu'à t'épuiser, courir après les regrets pour les rattraper, les empêcher de cavaler davantage. Choppe-les au vol ! Tords leur le trop dur de vivre avec des trop dur. De tourner la page vie est rendue lourde. Elle avance si lentement !Tu ne peux pas dire que tu aimerais cela et faire l' tellement terrible de vivre en sachant qu'on aurait dû faire cela mais qu'en pleine connaissance de cause, on a choisi le chemin opposé. Sans jamais rien y lève les yeux vers la cime des bouffée d'air forestier rentre dans mes me sens si bien. Ici. Avec aurais-je peur ?J'ai surtout peur que cette belle promesse d'une relation en fil de funambule ne tienne pas. Peur qu'elle casse sous notre poids. Que toi, moi ou nous la brisions d'un coup de ciseau involontaire. Peur qu'à nouveau, tout se fasse la sais, aujourd'hui, tu es, dans mon monde, une des seules choses stables qui me m'accroche à toi comme à un dernier point de repère. Phare sur cette mer trop agitée qu'est ma ne fuis pas parce que je n'ai aucune raison de fuir, je réponds en baissant de nouveau les yeux sur elle. Je ne fuis pas parce que je sais que tu n'es pas un monstre. Tu as seulement du mal à t'accepter. Avec tes parts d'ombre et de lumière. Pourtant, on est tous comme ça. A la fois noir et blanc. Un coup noir un coup blanc. Et il faut l'assumer, parvenir, d'abord, à l'accepter soi-même pour ensuite parvenir à contrôler tout ça, apprivoiser ses démons et se faire accepter des tends le bras, prends sa main dans la mienne, la tiens et la garde de sa peau contre la que c'est je t'aime comme ça, à la fois ombre et lumière, fantôme et humaine. A présent, il faut que tu parviennes toi aussi à t'aimer si tu refuses de le laisser partir, lui, alors tu n'as pas le choix. Cours. A moins que tu ne sois prête à vivre avec un éternel poids de regret sur les yeux se perdent dans ses la secondes. dois réapprendre à voler, oiseau blessé. Ne laisse pas les lames plus profondément plantées en toi. Retire-les comme on retire une grosse écharde. Et peut-être que la première étape pour pouvoir les retirer, c'est te mettre à je lâche sa corps se me mets à la aux cette position si fière et position que j'aime parce que je refuse désormais de mordre de nouveau la poussière. Blessée sans rien pouvoir lui tends la main. Pour qu'elle s'en saisisse de nouveau. Et la première étape pour voler, c'est d'arrêter d'être au sol. Vanille FleurySerpentard Re Promenons-nous dans les bois...Vanille Fleury, le Sam 30 Sep - 1026 MusiqueDésolée pour le retard Mes yeux ont tant croisé, des millions d'étoiles, de regard offerts, jeté à la sur chaque être j'ai posé, un nom, un souffle, comme mes yeux pouvaient les voir, les aimer, fée, ange ou papillon. Et je n'ai pas réussit, à la décrire en un mot, lui faire trouver sa place dans une unique appellation, parce qu'elle est trop, juste parfaitement tout - soupir - l'odeur douce des bois qui flotte en une ronde autour de moi, et cette fois je suis battements d'un cœur perdu qui se demande encore pourquoi il ne parviens pas à rester de marbre, fissuré à tant d'endroit, de coups des autre, de coups de moi. S'oublier à trop se voiler la face, je ne sais lus qui je suis réellement, les masques tombent et avec elle je redeviens une enfant. Cette amitié amoureuse qui consume ma peur, entre tes bras je n'ai jamais y a une étincelle dans ton douce passerelle qui me fait passer de l'autre côté du dans cette forêt, hors du temps, loin des le silence d'un toi, pour nous, je vis... Je vois, au fur et à mesure que te paroles viennent résonner contre mes tympans, la beauté du trésor que tu caches comme une perle à l'intérieur de toi. Alors que dans tes cernes je peux voir, la douleur de ton existence qui pèse de plus en plus sur tes épaules, pourtant tu t'envoles encore plus légère qu'avant. Je ne sais comment tu fais Kohane, explique-moi s'il te plait... La vie, la peur, l’oubli. Je voudrait être aussi forte, relever la tête et me battre, tu penses que c'est possible ? Alors que mes doigts frêles trembles autant que mon sourire ? J'ai envie de voler, avec toi, contre toi, m'oublier un peu plus dans cette douceur que tu poses tout contre ma douleur, changeant le sud et le nord de leurs places respectives, me perdant pour mieux me brille. Mes yeux contemplent sans se lasser cette flamme qui émane de son être comme capable d'éclairé le monde tout entier. Je suis sûre que même au plus profond de l'enfer sa douce lumière resplendirait toujours, à mes yeux en tous cas, j'ai perdu depuis longtemps de vue un quelqu'un but, aujourd'hui mon cœur entier ne souhaite plus que de rester à ses côtés pour encore profiter de sa chaleur, sa tendresse, son amour qu'elle parvient à me donner sans long discord. Parfois les paroles sont inutiles, futiles et pourtant... Avec toi il n'y a pas besoin de parler, je peux comprendre, d'un seul regard, ce qui nous lie, la raison de ta présence ici mais j'aime entendre ta voix qui chante une mélodie à mon cœur meurtri, croire la vérité de tes tirades qui m'emporte dans un autre monde plus doux, plus à suis petite fille malade, d'une robe blanche d’hôpital, un masque sur le visage. J'ai peur de lui faire du mal, peur de la contaminer mais c'est elle, qui d'un geste délicat viens délier mes lèvres, m'enlevant cette protection inutile à ses yeux. Je ne suis pas malade. Et si je doit mourir, si je dois m'éteindre, alors je veux le faire à tes côtés, sentir ton regard chargé d'étincelles et m'en aller d'un dernier "je t'aime". Je veux poser une main sur ton cœur pour le sentir battre à mille à l'heure, me dire que nos âmes croisée on si bien fait de se trouver. Au cœur d'un forêt où, tu sais, le loup à tant hurler son amour à la lune. Comme j'ai fait signer de l'encre après toi pour à nouveau pouvoir me perdre à ta voix, te mains, ton tout. Je ne suis plus rien sans toi...C'est un rêve comme posé sur la réalité, l'impression de renaître alors que les aiguilles se sont ne sais plus rien, perdue déboussolée, les sentiments se battent en moi sans que je ne puisse envie, besoin aussi peut-être, de trouver la clef, de choisir la bonne porte et d'y entrer, ta main dans la je t'aime, comme une évidence, sans méfiance, juste une dernière suis folle, peut-être dérangée, je ne sais trop bien. Le cœur partagé entre tant de personne et ses paroles qui doucement se collent à mon âme pour m'assurer qu'à courir je pourrais tenter de la rattrapé, se retourner, regarder en arrière comme de tout façon bien incapable de faire quoi que ce soit d'autre, j'ai laissé au passé une partie de moi que je ne peux pas me résoudre à abandonner. Une volonté qui ne me permet simplement pas de baisser les bras, à moins que ce soit simplement par et blanche... Déséquilibre pourtant alors que je me sens une main qui me lâche, je perds pied, la peur de l'effondrement me prend à la gorge. Non... Tomber pour mieux se relever et ses doigts vers moi se tendent alors que le soulagement se fait si puissant en moi. Sans hésitation j'attrape sa main et me remet sur mes jambes, là à ses côtés je souris. Pleinement, véritablement, les yeux brillants posé dans les siens. La chaleur de sa main me maintenant en vie, fait battre mon cœur et me soulage, je suis ! Alors un pas, un second. Les pieds posé sur le sol qui cherche à réapprendre à marcher. Le sourire presque enfantin collé au lèvre alors que sa main m'empêche de vais y arriver, courir. Plus loin, plus vite, heureuse. Et le regard qui se fait nouveau sur les bois qui me semblent tellement plus lumineux qu'il y a quelques instants. Ensemble... Alors le souffle court, battement de cœur irrégulier. Les jambes se mettent à marcher, de plus en plus vite, jusqu’à la sensation de l'envol, se perdre et se retrouver. Ce n'est plus une fuite, une traque, juste un élan de vie vers l'infini. Et sa main toujours dans la mienne alors que comme une comète je file d'étoile en étoile. Puis doucement un arrêt, les cheveux emmêler vienne se mêler aux siens, je me perds dans son regard, les joues un peu rosie par la brise et un doux rire qui résonne dans ma tête. Mes mains viennent caresser sa joue et d'une envie incontrôlée, incontrôlable, mes lèvres rejoignent les sienne pour me perdre complétement. Cet infini...[Fin du RP ] Gaëlle PanyellaSerdaigle Re Promenons-nous dans les bois...Gaëlle Panyella, le Mer 25 Oct - 1936 PV EnfantOuais comme ça, pasque j'crois que y'a un besoin Tu m'en veux pas hein ? Par contre c'paoufMusique pas obligéeParce que les roulottes tournent, roulant sur la terre battue, avec leurs marchandises Parce que ça tangue, les aiguilles s'affolent, à moins qu'il n'y en ai qu'une danse de la boussoleLe nord est parti au sud, empêchant les neurones de s'y retrouver Au fond ça pue, nous sommes perdu dans la nature de la viePire que l'Amazonie, c'est une véritable course folle qui est partout Et elle s'enfonce dans les bois, dans la vie, dans le puits Il n'y a plus de solutions Tout s'écroule de partout, comme si on la dévorait Et elle est rapide pourtant, elle va de plus en plus vite au fil du temps qui s'écouleLes arbres eux-mêmes flanchent faces aux masses Aux tronçonneuses qui s'emparent de leurs vies Et malgré les appels à l'aide, il y a cette solitude Elle cherche du réconfortsEux-aussi Mais ils n'en trouvent pas Et alors que les couteaux s'emparent de la chair Qu'ils tentent tous de protéger Elle se voit tête dans le sol Battue à coups de pieds En fixant le ciel, dernière complainte sur le bout des lèvres J'ai envie de m'évaderLes épaules les plus solides du monde finissent un moment par craquer D'abord il y a un éclat dans ce verre si lisse et parfait Ensuite cela continue Un peu comme une coquille d’œuf Au départ il faut taper Mais plus la carapace s’effrite, plus le reste est d'une simplicité enfantine à enleverAu final il reste une trace Et on peut, oui, tout recoller, faire un puzzle, mais qu'est-ce qu'on est c~n si on croit que les traces vont partir Tout reste, quelque part, même avec l'amnésie précoce parfois ou lointaine, l'alcool aussi Rien n'y fait, ce n'est que tout reculer, t'as beau essayer, mais ça fonctionne pas Mary en fait les frais, là, titubante, enfolante, en se cognant contre les arbres Ping, pong, poufC'est compliqué de garder la tête haute Une bouteille, oui, deux, elle en avait beaucoupY'a deux minutesC'était la dernièreD'un élan de colère, elle l'envoie valser sur un tronc voisin En s'affalant contre celui en face Puis se couche, ferme les yeux, les idées peu claires, les cheveux dans la boucheLes sanglots, la colère, en venir à maudire, à aimer, à espérer C'est fou, tout passe, les images filent, elle veut les attraperEn fait non, elle se trompe, il n'y a pas de Folie ici, entre ses doigts coulent la déraison Devenue ce qu'elle ne voulait pas Refoulant des pulsions qu'elle n'aurait jamais souhaité faire devenir réalitéEn se traînant, elle ramasse, un de ces morceaux d'alcool brisé C'est que ça fait mal Et elle hésite, le tenant entre ses doigts Jouant avec Finalement c'est devenue une glace Pour observer un reflet cassé Dans un morceau décapité Murmure désolé ~ Même toi, j'ai réussi à te tuerD'un coup elle se prend pour la mort Hésite à crever ses yeux Hésite à tomber des cieux À jurer contre les dieux À manipuler les feux ardant Couper les sentiments brûlants Torturer les mots chantants C'est brun, ce qui est entre ses doigts, poudreux, du sable ? Mais ça, elle le voit pas, c'est gris Bordel, ça veut pas se colorer un peuElle connait, une technique, se fracasser le frontHésite, mais elle a trop mal, mal, mal Aïe Puis elle se relève, un peu, pour continuer Tant qu'à faire, elle ne voit plus, d'autres solutions, toujours continuer Mais oublie, et les morceaux s'enfoncent dans la plante de ses pieds Alors elle trace un chemin de sang Illusionné ? Malheureusement non Et alors que le rouge tâche le sol, se mélangeant au couleurs d'automne Elle rage grogne crie Pour le coup il ne fait pas nuitIl reste quelque pas, elle sent la descente aux enfers Comme si, dans cette vaste nature il y avait des escaliers Mais Hadès ne se trouve pas au fin fond du chemin, Juste, rien, un vide infiniUn jour quelqu'un a décidé qu'au bout du monde on tombait Puis un autre, un imbécile, à prouver qu'il n'y avait pas de finUn cercle, une sphère telle est la TerreElle aimerait le trouver, lui Ce fâcheux personnage qui s'est cru mieux que tout le monde Et mêmes ceux d'avant, qui sont mortsPour les empêcher de faire des découvertes Sans se rendre compte qu'ils les avaient tous mener à leur perte D'humanité ? Non, cela s'est passé quelques milliers d'années avant Mais de fin, de se dire que ouais, y'a plus rien Plus possible, plus maintenant FinalementUn, deux, trois pas Et elle se replonge entre les morts Se prenant pour un ange, battant des bras Créant peu à peu son cercueil, ici et là Vanille FleurySerpentard Re Promenons-nous dans les bois...Vanille Fleury, le Mer 25 Oct - 2023 J'faisais un certain MP et puis... C'est une pause, alors je fais ce que je veuxt'façon je fais toujours ce que je veux Tu es làAu sommet__ de la folie ? Pas cette fois ci, elle plane doucement le regard vers le ciel sur une branche de vie et de perditionelle sourit, étrange sensation les yeux se plissent, le cœur vibre d'un éclat nouveau et soudain elle oublie tout jusqu'à son propre nom, elle a envie de tout recommencer, une page blanche un passé inexistant il faut poser un dernier soupire avant de sauter dans le vide, les bras écartés, l'âme battant aux oreilles d'un rythme doux depuis sa branche elle guette le monde, une main sur l'écorce pour faire écho au sommeil de l'arbre qui de sa sève figée lui chatouille encore délicatement les doigts, elle a les jambes repliées, sous elle dans une position évoquant vaguement celle d'un oiseau, les cheveux lâchés dans un vent qui les ramène entre ses lèvres sans qu'elle n'y prête la moindre attentiontrop occupée à être simplement heureuse, c'est une voix qui lui a soufflée alors qu'en bas elle était perdue ce matin, c'est une mélodie qui l'a prise par la main pour la guider jusqu'à l'ancêtre végétal puis elle est montée, contre le tronc nouée, elle s'est accrochée, comme un câlin dans un refrain, elle n'a fait qu'unses pensées ont virevolté, dansé et se sont perdue dans les feuillages déplumés, elle s'est fait une couronne de feuille posée sur ses mèches décolorées et a attendu longtemps encore elle guette, sans savoir quoi, sans même comprendre un quelconque pourquoi, elle est là parce qu'on lui a demandé et que son cœur a besoin de trouver une raison de battre il faut se concentrer, sur le balancement des branches que le vent fait siffler, sur les animaux qui avancent furtivement entre les bois sans penser être observé, elle est restée une journée et une nuit puis encore quelques heures elle est devenue la forêt, un de ses trésors, un de ses secrets et maintenant elle cherche le bonheur les doigts pianotent doucement sur le vieil être pour chasser les fourmis qui s'y sont installée, les forcer peut-être à aller rejoindre une autre colonie qu'elle devine en bas mais celle ci sont invisible alors à quoi bon elle a les pieds nus, se sont ses yeux qui le remarquent en premier en regardant au lieu d'observer parce que le détail futile n'a pas d'importance elle n'a pas froid c'est lui qui tiens chaud encore pour un petit moment puis en bas ce sont des plaintes qui parviennent aux oreilles devenues ultra sensible à force de silence, une voix qu'elle connait plus que bien, un timbre qui réveille en elle l'affection affolée qu'elle ne peut plus déverser, alors elle oublie et elle descend sous ses pieds les feuilles ne font plus de bruits, quand elle la voit de dos, elle la trouve jolie puis elle s'avance et pose ses doigts chauds et froids sur les lèvres de la mourante approchant son murmure de ses tympans enfin là ses doigts dans les siens quand elle la tourne vers elle comme une danse à deux, une danse d'amoureux, puis elle lâche et recule__ observe avant de se rendre compte de son état et ses cheveux se cachent derrière ses oreilles la laissant respirer dans sa petite robe autrefois blanche aujourd'hui verte, sa peau et ses ongles sales comme ses cheveux emmêlés de feuille, imprégnée de l’essence forestière comme dans un rêvepeut-être que bientôt il sera temps de se fondre dans un arbre et de fermer les yeux pour avouer tu prends le mauvais chemin et reculer d'un pas avant de tendre les doigts aux veines emplies de sève viens avec moi ce sera bien, on peut dessiner demain et une mélodie qui s'échappe des lèvres, une musique sans paroles fredonnée sans trop savoir si la raison comprend, si la raison existe, si elle s'ignore qu'importe... Gaëlle PanyellaSerdaigle Re Promenons-nous dans les bois...Gaëlle Panyella, le Mar 31 Oct - 1729 Une infinité de pardonsDes bribes de chansonsEt un LALes traits se dessinent, sur le sol, la forme d'un corps meurtri a tendance à se laisser marchanderMalheureusement loin d'être argile, elle s'effacera plus vite que si elle l'avait été Un peu comme sa présence, une éphémère, tout le monde l'est, chaque chose, même le soleil Si rapide, si lent, le fleuve s'écoule, la vie aussi, puis on tombe à côté de la plaque Certains essayent de retourner sur le radeau, les morceaux de bois sont réparables, tout commence avec un tronc Puis le monde ne s'est pas fait en un jour vous savez, alors les courageux ont tendance à être sauvésIls s'accrochent, telles des sangsues à la moindre brindille, puis les plus forts vont s'amuser à piquer celle des autres Quant à certains, ils s'habitueront au milieu pour finir naïades Puis d'autres couleront, un peu comme elle, sur ce sol automnale à attendre quelqu'un Ou une apparition Pour fuir ~ où ? ~ Nul part ~ dans un lieu curieux ~ qui ne l'est pas ~ conclusion ~ ça ne sert à rien ~ au final ça fait du bien ~ de se croire mourir, de s'imaginer déchéance Parce que même quand c'est pas le cas, on se sent sans importance, puis la culpabilité c'est peut-être juste ne pas assumerNe plus être c'est être remarqué parce que peu peuvent le prétendre, c'est juste une autre version de la mort ?Elle ne sait pas, elle veut être seule, dans ses/ces nuages de solitude, ouais ça existe, c'est comme çaUne morsure de soi-même, un venin translucide qu'on ne voit pas se répandre dans les veinesCaresse sur le bout de ses lèvres, envie de mordre mais reste muette, Mary s'attache à ce doux contact, jamais elle n'aurait pensé Ouvrir les yeux, puis voir, mais pourtant ne pas reculer, trop voilée, maintenant elle s'étonne de trouver dommage que la lame n'aie pas réussi à tourner la page de sa vie Alors elle respire, lorsque les yeux se croisent, sans s'éloigner plus jamais plus envie, demande de rester avec cette petite fille Au final toutes deux ne sont qu'ombres, trop restée dans le Neverland pour pouvoir avoir envie de revenir, la tête toujours là-bas, le corps complètement métamorphoséElle laisse donc faire, quand les doigts se touchent, quand elle se relève, n'écoutant plus la raison, il y en a plus de toute façon, alors voilà, avec la meurtrière vipère, qui n'est rien d'autre aujourd'hui qu'une chimère au visage d'angeEt cette promesse tentante aux odeurs alléchantes dessiner demain ~ et pourquoi pas aujourd'hui ?Entremêler les doigts, descendre la pente, suivie et menant, suivant et menée, on ne sait pas, au final c'est peut-être ce fil Invisible De la vie Qui les malmène Sur la route, traçant encore et encore sur les feuilles mortes Devenant vie en nourrissant Puis les plaies s'infectent et cicatrisentEt elle serre, sur cette pression, ses serres d'aigle enfoncées dans la peau sans pour autant laisser un sillon Juste un soutient, une bouée de sauvetageSuivi d'un arrêt, qui laisse percer l'espoir, avec un goût amer dans le fond de la gorgeY'a un chat pas net qui y est resté enfoncé Elles vont y remédier ~ Tu te souviens, du monde parfait d'eau et d'espérance ? ~Penchant la tête à droite, elle voit comme image floue, de sa haine et des hésitations Tanguant sur un bateau-chaise, la serpentard était mal, puis elle n'a fait qu'empirer avec joie et dédainAlors que l'intention était noble Mary ramasse une brindille, la tend à l'autre, avant de s'en trouver une, puis la jette dans le videL'inconnu Là, entre toutes ces branches Comme une promesse d’allégresse et de tendresse Comme un recule vis à vis des faux-semblants et des truands ~ On voulait être dans ce lieu où nous étions copines toutes les deux ~L'oiseau l'enfant et la chèvre qui s'amusent avec le crocodile, la vache et les abeilles~ Finalement j'ai un peu tout gâché ~Tout serait différent si elle n'avait pas été si faible et insignifiante lors de leur première rencontreLa marche aux flambeaux des remords se donne une allure de ribambelleLes enfants tournoient, mains dans la mains, entre les chaises, les obstaclesNe se défaisant pas de la joie qui allume leurs visages Insignifiants, ils ne voient rien~ Tu veux être aveugle avec moi ? ~ Re Promenons-nous dans les bois...Contenu sponsorisé, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
nathalie baye et johnny rupture Publié le 5 juin 2022 Vidéo recommandée par un internaute si disponible Texte lu 18142 fois ! Voir plus d'idées sur le thème comptine maternelle, comptines, chansons maternelle. accepter le manque psychanalyse; plan courbevoie transport; . Y'a des coin », y'a des coin ». Comptines animaux de la ferme La mère Michel La danse des canards Une souris verte Coucou Hibou Ah les crocodiles Nous n'irons plus au bois Il pleut bergère Il court, il court, le furet La ferme à Mathurin Coccinelle, demoiselle Alouette Trois petits chats Dans sa maison un grand cerf La Licorne et les Gros Crocodiles * Résumé Des comptines pour bien articuler, des comptines pour répéter des sons, des comptines pour travailler des structures de phrases, des comptines pour écrire… Un certain nombre d'exemples sont proposés. Au jardin de ma grand-mère. Paroles Au clair de la lune. Beaucoup contiennent des clips audios mp3 et midi et la partition. YouTube. No products in the cart. Explore. teamprofs tiktokprof professeurdesecoles profdesecoles … Qu'il était fort, qu'il était beau. Comptine vive le vent. Chansons par thème > Comptines La rubrique Comptines. Petit train. super top. Paroles Il était un petit homme pirouette cacahuète Paroles Malbrough s'en va-t-en guerre. doucement s' en va le jour paroles chanson; risotto lait de coco poulet; how to sell a horse in equestrian the game. Comptines. Je mets mon chapeau. Souris, souris, Un chat, Un petit lait sucré. Cliquez sur les bulles chaque lien donne accès à une série de comptines sur . C'est bientôt l'heure des mamans C'est demain jeudi C'est l'automne C'est l'été trois petits moustiques C'est l'heure de faire dodo C'est l'hiver C'est la cloche du vieux manoir C'est la fête des mamans C'est la mère Michel C'est la nuit de Noël C'est la poule C'est la rentrée C'est le criquet Bon, ok, je n'ai même pas eu besoin de le leur apprendre, les grands frères et grandes sœurs s'en étaient déjà chargé. Y'a des coin coin coin, coin ». surtout que certains connaissent déjà la chanson le pont d'Avignon ». elle,elle,elle. Paroles de la comptine Monsieur Pouce va à l'école . A la volette TELECHARGER LE PDF. La comptine est dans un premier temps affichée dans le coin réunion de la classe. 18 janv. En voici les paroles Les paroles de la chanson l'araignée gipsy !. Sur les bords du Nil ils sont partis n'en parlons plus. Complément Du Verbe Leçon, Alençon Lancrel Vente Maison, Pensionnat Catholique Abandonné Herault, Rêver D'un Mort Qui Revient à La Vie, Asos Models Names 2020, Kidnapped Laura Kucera Brian Anderson Pictures, Conducir Moto 125 En Francia, Biblical References In Robinson Crusoe, Objectif Canon Eos Occasion, Au jardin de ma grand-mère. ALBUM. . La politesse - chanson pour les enfants Tweet. . Tous les bœufs, tous les bœufs. Maternelle de Bambou Auteur de l'article 26 novembre 2019 à 2314. Paroles A la volette. écouter ici la mélodie. Paroles Snowflake. Liste alphabétique de chansons et comptines de notre enfance à retrouver pour les apprendre à votre enfant. Chers parents et enfants, Voici un petit florilège des chants et comptines mémorisés et interprétés en classe de Moyenne section cette année. Little Snowflake Kids Songs Super Simple Songs. Accueil. 1/ Je distribue les images illustrant chaque comptine ; les élèves doivent retrouver de quelles comptines il s'agit. Voici deux créations en attendant qu'une troisième mûrisse. Hey! appelle moi casanova t'es la plus belle; oh ma jolie sarah partition pdf Comptines maternelle. Accueil. Mais la vache, mais la vache. Il lui faut un p'tit coeur de salade. Today. maternelle chanson africainecomment reconnaitre makita pro. 2021 - Explorez le tableau chansons maternelle » de Isabelle Charriau, auquel 509 utilisateurs de Pinterest sont abonnés. elle,elle,elle. Comptine pour enfants maternelle cycle 2 sur le thème d Paroles de la comptine l'araignée gipsy Mais le soleil a chassé la pluie, L'araignée gipsy monte à la gouttière, tiens voilà la pluie, gipsy tombe par terre. Vous trouverez sur cette page les paroles de différentes chansons en format PDF. Comptine pour enfants maternelle cycle 2 sur le thème d Paroles de la comptine l'araignée gipsy Mais le soleil a chassé la pluie, L'araignée gipsy monte à la gouttière, tiens voilà la pluie, gipsy tombe par terre. 20 mai 2018 - Découvrez le tableau "Chansons maternelle" de Geneviève Champagne sur Pinterest. Pinterest. Commandez ici! Kiki the Koala - An Adorable Adventure Toy that Unplugs Play. Beaucoup contiennent des clips audios mp3 et midi et la partition. 30 L'homme De Cro-Magnon 31 Ne pleure pas Jeannette 32 33 34 35 C'est Gugusse. Un peu hors sujet, mais adaptée elle aussi aux plus petits, je finirai par une poésie sur un . Ressources pour la classe démarches pour apprendre des comptines, formulettes et jeux de doigts http 5 Archiver Les comptines, formulettes et jeux de doigts comme les chansons font l'objet d'une trace écrite. Période 1 -Pour apprendre à écouter -Pour dire le temps qu'il fait -Pour apprendre . Voici 6 comptines autour du printemps, des fleurs, les oeufs de Pâques, la coccinelle, le papillon, le travail du jardinier mis en pages avec des fonds colorés.. Elles sont au format A5 soit 2 comptines par page A4. Voir plus d'idées sur le thème comptines, chansons comptines, comptine maternelle. Paroles des comptines pour maternelles à imprimer gratuitement J'aime la galette Si le loup y était Si le loup n'y était pas Si le loup revenait Paroles à imprimer de la comptine pour maternelle Promenons-nous dans les bois Paroles à imprimer de la comptine pour maternelle Une souris verte Paroles à imprimer de la comptine Les crocodiles Une comptine originale pour attendre le père Noël Super Simple Songs - Kids Songs. Contact Vous trouverez les paroles de 200 comptines et berceuses traditionnelles à découvrir ou à redécouvrir en famille. La chanson est pourtant plus que probablement coquine, pleine d'allusions érotiques, et . Comptines et Chansons . Vous trouverez les paroles de 200 comptines et berceuses traditionnelles à découvrir ou à redécouvrir en famille. Si votre enfant est plus âgé, vous pouvez imiter le furet et courir ensemble en chantant il court, il court ». Voir plus d'idées sur le thème comptine maternelle, comptines, comptines enfants. La plupart incluent aussi une partition. Ressources maternelle - Mobiliser le langage dans toutes ses dimensions Partie - Lien oral-écrit - Comptines formulettes et jeux de doigts http 8 Des comptines pour • Améliorer la prononciation et l'articulation • Commencer à acquérir une conscience phonologique Comptines ou poésies de maternelle sur le froid et le rhume. 4 juil. J'ai un nom, un prénom. Notre site propose les paroles de comptines pour enfants, des musique de berceuse pour bebe, des chansons pour la martenelle, pour l'ecole. Voici deux créations en attendant qu'une troisième mûrisse. La classe de Maître Guillaume et de Papouf. Y'a des coin » par-ci, y'a des coin » par-là. Ohé du bateau. Commandez ici! 3ans rentreescolaire rentrée premiererentree rentreedesclasses . Les comptines permettent d'instaurer au quotidien des rituels, elles sont aussi l'occasion pour l'enfant de vivre au rythme des fêtes et des saisons. Cela peut aider l'enfant à choisir lui-même une comptine/chanson, et ce dès la toute petite section. » Demande Anastasia. Quant aux paroles, elles sont apparues dans Paris vers les années 1790, et le succès depuis ne s'est pas démenti, surtout chez les petits. Chacune comprend les paroles complètes dans sa langue originale et une traduction française. Paroles Alouette gentille alouette. Voici un recueil des paroles de quelques chansons et rimes qui s'accordent avec le thème populaire de la petite enfance les dinosaures, et qui peuvent être utilisées lors de la planification d'activités et de programmes pour les jeunes enfants en classe de maternelle par exemple. Chacune comprend les paroles complètes dans sa langue originale et une traduction française. comptine pour faire le silence en maternelletirade antigone texte. Recommander cette page à un e ami e Commentaires sur cette comptine Le par jean-pierre. maternelle chanson africaine. le loup Je mets ma veste. Dans mon ciel,l'ombre et lumière se mèlent. problèmes familiaux synonyme; recrutement sans concours adjoint administratif ministère de l'intérieur 2020 1 juil. Paroles originales et traduction française. Chansons comptines et poésies sur le thème de l'été et des vacances en maternelle, comptines pour célébrer l'arrivée des vacances d'été en maternelle et en élémentaire, chansons comptines poésies été . Je vous propose une série de comptines pour les petits enfants de maternelle ou CP, pour rire des nez qui coulent et des éternuements. je n'ai jamais était facile, toujours déterminer indocile, malgrès mes silences et mon inpudence, elle devine mes souffrances. Y'a des centaines de canards, hiya hiya ho. Retrouvez les plus célèbres comptines et chansons telles que " Promenons nous dans les bois ", " Il court, il court le furet ", " Une souris verte " etc. J'espère que ça va plaire à tes élèves ^^ 2021 - Découvrez le tableau "Comptines Maternelle" de Laetitia sur Pinterest. Voir plus d'idées sur le thème comptines, comptine maternelle, chansons comptines. Je mets mes chaussettes. . Comptines pour la rentrée maternelle. Au Clair de la Lune comptine Hijo de la Luna Mécano Ballade à la . Super ! Paroles et partition à imprimer pour les écoles et pour les parents ! Petit macareux Comptine de Saint-Pierre et Miquelon La ballade du pêcheur de truites Conte de Saint-Pierre et Miquelon Le phare, le caillou et l'oiseau Conte de Saint-Pierre et Miquelon Les puces de mer Conte de Saint-Pierre et Miquelon Tigre et tortue Conte de Guyane Jack, le petit ouistiti intelligent Conte de Guyane Le secret des anguilles aveugles du lac Lopolopo Conte de . Au clair de la lune TELECHARGER LE PDF. auxiliaire vétérinaire luxembourg salaire Les enfants 4 ans et demi et 20 mois ont vraiment adoré le concert. Remi est très accessible et tout le monde participe ! C'est bientôt la rentrée et je vous propose de commencer l'année scolaire, par quelques petites notes de musique ! Mes premières chansons en dessins animés de comptines pour les enfants des écoles maternelles avec vidéos, illustrations, musiques et part. Super spectacle. A mimer, bien entendu ! Je mets mes lunettes. Une comptine de Corinne Albaut pour les plus jeunes " Les instruments de musique ". Hygiène - Propreté - Chants - Comptines - Maternelle J'me lave les mains Air J'me brosse les dents Lave, lave, lave J'me lave les mains J'me lave les mains Avant d'manger Lave, lave, lave J'me lave les mains J'les lave très bien Pour qu'elles soient propres On va se laver les mains air de la ferme à mathurin On va se laver les main hi y hi y ho On fait vite car on a faim hi. Vous dirai-je maman Fais dodo Colas mon p'tit frère Frère Jacques Maman les petits bateaux Comptines pour maternelles Il y a les paroles illustrées, et les bandes visuelles pour aider les enfants à mémoriser. 2/ Je distribue ensuite les paroles et les élèves doivent associer les images aux paroles, en cherchant des indices écrits ils s'aident des référents de la classe. When the auto-complete results are available, use the up and down arrows to review and Enter to select. Coloriage Automne En Ligne Gratuit À Imprimer pour Comptine Automne Maternelle. Info. 12 mai 2022 - Découvrez le tableau "Comptine maternelle" de liza zouza sur Pinterest. Paroles de la comptine Dans sa maison un grand cerf Dans sa maison un grand cerf, Regardait par la fenêtre, Un lapin venir à lui, Et frapper ainsi Cerf, cerf . 12 févr. La jolie p'tite chanteuse est . Pour achever leur dernière année de maternelle et commencer à sentir le CP approcher à grands pas, mes GS ont pu chantonner l'alphabet . Si vous voulez, vous pouvez remplacer le mot fusil par un autre mot. Chansons enfantines et comptines du monde entier. Mes chants et comptines en moyenne section 2017-2018. En voici les paroles Les paroles de la chanson l'araignée gipsy !. Chansons enfantines et comptines du monde entier. Va-t'en , va-t'en ! Shopping. Cela renforce la liaison école-maison pour les petits, l'enfant pouvant facilement communiquer . La plupart incluent aussi une partition. Comptine petite abeille Par Julie Le 26 juillet 2021 Dans Activités Laisser un commentaire sur Comptine petite abeille Voici la comptine Petite abeille à chanter sur l'air de Frère Jacques. Tap to unmute. Et une version avec paroles signées Cet article a été publié dans Boîte à comptines et marqué escargot le 12 septembre 2016. . Pour l'occasion, allons faire un petit tour des comptines et chansons pour la rentrée en maternelle ! Voici les paroles illustrées de la chanson " Mains en l'air ", version maître Guillaume ^^. Cheque Differe Cora Flers 2020, Sujet Bac Pro Français 2013, Police Cybercriminalité Téléphone, Louis Bodin Et Sylvie Pinatel, Hôpital De Chartres Recrutement, Mois De Mars En Chiffre, Couleur Chat Signification Spirituelle, Arthrite Virale Covid, Vidéo recommandée par un internaute si disponible Texte lu 18142 fois ! Voir plus d'idées sur le thème comptine maternelle, comptines, chansons maternelle. accepter le manque psychanalyse; plan courbevoie transport; . Y'a des coin », y'a des coin ». Comptines animaux de la ferme La mère Michel La danse des canards Une souris verte Coucou Hibou Ah les crocodiles Nous n'irons plus au bois Il pleut bergère Il court, il court, le furet La ferme à Mathurin Coccinelle, demoiselle Alouette Trois petits chats Dans sa maison un grand cerf La Licorne et les Gros Crocodiles * Résumé Des comptines pour bien articuler, des comptines pour répéter des sons, des comptines pour travailler des structures de phrases, des comptines pour écrire… Un certain nombre d'exemples sont proposés. Au jardin de ma grand-mère. Paroles Au clair de la lune. Beaucoup contiennent des clips audios mp3 et midi et la partition. YouTube. No products in the cart. Explore. teamprofs tiktokprof professeurdesecoles profdesecoles … Qu'il était fort, qu'il était beau. Comptine vive le vent. Chansons par thème > Comptines La rubrique Comptines. Petit train. super top. Paroles Il était un petit homme pirouette cacahuète Paroles Malbrough s'en va-t-en guerre. doucement s' en va le jour paroles chanson; risotto lait de coco poulet; how to sell a horse in equestrian the game. Comptines. Je mets mon chapeau. Souris, souris, Un chat, Un petit lait sucré. Cliquez sur les bulles chaque lien donne accès à une série de comptines sur . C'est bientôt l'heure des mamans C'est demain jeudi C'est l'automne C'est l'été trois petits moustiques C'est l'heure de faire dodo C'est l'hiver C'est la cloche du vieux manoir C'est la fête des mamans C'est la mère Michel C'est la nuit de Noël C'est la poule C'est la rentrée C'est le criquet Bon, ok, je n'ai même pas eu besoin de le leur apprendre, les grands frères et grandes sœurs s'en étaient déjà chargé. Y'a des coin coin coin, coin ». surtout que certains connaissent déjà la chanson le pont d'Avignon ». elle,elle,elle. Paroles de la comptine Monsieur Pouce va à l'école . A la volette TELECHARGER LE PDF. La comptine est dans un premier temps affichée dans le coin réunion de la classe. 18 janv. En voici les paroles Les paroles de la chanson l'araignée gipsy !. Sur les bords du Nil ils sont partis n'en parlons plus. Complément Du Verbe Leçon, Alençon Lancrel Vente Maison, Pensionnat Catholique Abandonné Herault, Rêver D'un Mort Qui Revient à La Vie, Asos Models Names 2020, Kidnapped Laura Kucera Brian Anderson Pictures, Conducir Moto 125 En Francia, Biblical References In Robinson Crusoe, Objectif Canon Eos Occasion, Au jardin de ma grand-mère. ALBUM. . La politesse - chanson pour les enfants Tweet. . Tous les bœufs, tous les bœufs. Maternelle de Bambou Auteur de l'article 26 novembre 2019 à 2314. Paroles A la volette. écouter ici la mélodie. Paroles Snowflake. Liste alphabétique de chansons et comptines de notre enfance à retrouver pour les apprendre à votre enfant. Chers parents et enfants, Voici un petit florilège des chants et comptines mémorisés et interprétés en classe de Moyenne section cette année. Little Snowflake Kids Songs Super Simple Songs. Accueil. 1/ Je distribue les images illustrant chaque comptine ; les élèves doivent retrouver de quelles comptines il s'agit. Voici deux créations en attendant qu'une troisième mûrisse. Hey! appelle moi casanova t'es la plus belle; oh ma jolie sarah partition pdf Comptines maternelle. Accueil. Mais la vache, mais la vache. Il lui faut un p'tit coeur de salade. Today. maternelle chanson africainecomment reconnaitre makita pro. 2021 - Explorez le tableau chansons maternelle » de Isabelle Charriau, auquel 509 utilisateurs de Pinterest sont abonnés. elle,elle,elle. Comptine pour enfants maternelle cycle 2 sur le thème d Paroles de la comptine l'araignée gipsy Mais le soleil a chassé la pluie, L'araignée gipsy monte à la gouttière, tiens voilà la pluie, gipsy tombe par terre. 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Période 1 -Pour apprendre à écouter -Pour dire le temps qu'il fait -Pour apprendre . Voici 6 comptines autour du printemps, des fleurs, les oeufs de Pâques, la coccinelle, le papillon, le travail du jardinier mis en pages avec des fonds colorés.. Elles sont au format A5 soit 2 comptines par page A4. Voir plus d'idées sur le thème comptines, chansons comptines, comptine maternelle. Paroles des comptines pour maternelles à imprimer gratuitement J'aime la galette Si le loup y était Si le loup n'y était pas Si le loup revenait Paroles à imprimer de la comptine pour maternelle Promenons-nous dans les bois Paroles à imprimer de la comptine pour maternelle Une souris verte Paroles à imprimer de la comptine Les crocodiles Une comptine originale pour attendre le père Noël Super Simple Songs - Kids Songs. Contact Vous trouverez les paroles de 200 comptines et berceuses traditionnelles à découvrir ou à redécouvrir en famille. La chanson est pourtant plus que probablement coquine, pleine d'allusions érotiques, et . Comptines et Chansons . Vous trouverez les paroles de 200 comptines et berceuses traditionnelles à découvrir ou à redécouvrir en famille. Si votre enfant est plus âgé, vous pouvez imiter le furet et courir ensemble en chantant il court, il court ». Voir plus d'idées sur le thème comptine maternelle, comptines, comptines enfants. La plupart incluent aussi une partition. Ressources maternelle - Mobiliser le langage dans toutes ses dimensions Partie - Lien oral-écrit - Comptines formulettes et jeux de doigts http 8 Des comptines pour • Améliorer la prononciation et l'articulation • Commencer à acquérir une conscience phonologique Comptines ou poésies de maternelle sur le froid et le rhume. 4 juil. J'ai un nom, un prénom. Notre site propose les paroles de comptines pour enfants, des musique de berceuse pour bebe, des chansons pour la martenelle, pour l'ecole. Voici deux créations en attendant qu'une troisième mûrisse. La classe de Maître Guillaume et de Papouf. Y'a des coin » par-ci, y'a des coin » par-là. Ohé du bateau. Commandez ici! 3ans rentreescolaire rentrée premiererentree rentreedesclasses . Les comptines permettent d'instaurer au quotidien des rituels, elles sont aussi l'occasion pour l'enfant de vivre au rythme des fêtes et des saisons. Cela peut aider l'enfant à choisir lui-même une comptine/chanson, et ce dès la toute petite section. » Demande Anastasia. Quant aux paroles, elles sont apparues dans Paris vers les années 1790, et le succès depuis ne s'est pas démenti, surtout chez les petits. Chacune comprend les paroles complètes dans sa langue originale et une traduction française. Paroles Alouette gentille alouette. Voici un recueil des paroles de quelques chansons et rimes qui s'accordent avec le thème populaire de la petite enfance les dinosaures, et qui peuvent être utilisées lors de la planification d'activités et de programmes pour les jeunes enfants en classe de maternelle par exemple. Chacune comprend les paroles complètes dans sa langue originale et une traduction française. comptine pour faire le silence en maternelletirade antigone texte. Recommander cette page à un e ami e Commentaires sur cette comptine Le par jean-pierre. maternelle chanson africaine. le loup Je mets ma veste. Dans mon ciel,l'ombre et lumière se mèlent. problèmes familiaux synonyme; recrutement sans concours adjoint administratif ministère de l'intérieur 2020 1 juil. Paroles originales et traduction française. Chansons comptines et poésies sur le thème de l'été et des vacances en maternelle, comptines pour célébrer l'arrivée des vacances d'été en maternelle et en élémentaire, chansons comptines poésies été . Je vous propose une série de comptines pour les petits enfants de maternelle ou CP, pour rire des nez qui coulent et des éternuements. je n'ai jamais était facile, toujours déterminer indocile, malgrès mes silences et mon inpudence, elle devine mes souffrances. Y'a des centaines de canards, hiya hiya ho. Retrouvez les plus célèbres comptines et chansons telles que " Promenons nous dans les bois ", " Il court, il court le furet ", " Une souris verte " etc. J'espère que ça va plaire à tes élèves ^^ 2021 - Découvrez le tableau "Comptines Maternelle" de Laetitia sur Pinterest. Voir plus d'idées sur le thème comptines, comptine maternelle, chansons comptines. Je mets mes chaussettes. . Comptines pour la rentrée maternelle. Au Clair de la Lune comptine Hijo de la Luna Mécano Ballade à la . Super ! Paroles et partition à imprimer pour les écoles et pour les parents ! Petit macareux Comptine de Saint-Pierre et Miquelon La ballade du pêcheur de truites Conte de Saint-Pierre et Miquelon Le phare, le caillou et l'oiseau Conte de Saint-Pierre et Miquelon Les puces de mer Conte de Saint-Pierre et Miquelon Tigre et tortue Conte de Guyane Jack, le petit ouistiti intelligent Conte de Guyane Le secret des anguilles aveugles du lac Lopolopo Conte de . Au clair de la lune TELECHARGER LE PDF. auxiliaire vétérinaire luxembourg salaire Les enfants 4 ans et demi et 20 mois ont vraiment adoré le concert. Remi est très accessible et tout le monde participe ! C'est bientôt la rentrée et je vous propose de commencer l'année scolaire, par quelques petites notes de musique ! Mes premières chansons en dessins animés de comptines pour les enfants des écoles maternelles avec vidéos, illustrations, musiques et part. Super spectacle. A mimer, bien entendu ! Je mets mes lunettes. Une comptine de Corinne Albaut pour les plus jeunes " Les instruments de musique ". Hygiène - Propreté - Chants - Comptines - Maternelle J'me lave les mains Air J'me brosse les dents Lave, lave, lave J'me lave les mains J'me lave les mains Avant d'manger Lave, lave, lave J'me lave les mains J'les lave très bien Pour qu'elles soient propres On va se laver les mains air de la ferme à mathurin On va se laver les main hi y hi y ho On fait vite car on a faim hi. Vous dirai-je maman Fais dodo Colas mon p'tit frère Frère Jacques Maman les petits bateaux Comptines pour maternelles Il y a les paroles illustrées, et les bandes visuelles pour aider les enfants à mémoriser. 2/ Je distribue ensuite les paroles et les élèves doivent associer les images aux paroles, en cherchant des indices écrits ils s'aident des référents de la classe. When the auto-complete results are available, use the up and down arrows to review and Enter to select. Coloriage Automne En Ligne Gratuit À Imprimer pour Comptine Automne Maternelle. Info. 12 mai 2022 - Découvrez le tableau "Comptine maternelle" de liza zouza sur Pinterest. Paroles de la comptine Dans sa maison un grand cerf Dans sa maison un grand cerf, Regardait par la fenêtre, Un lapin venir à lui, Et frapper ainsi Cerf, cerf . 12 févr. La jolie p'tite chanteuse est . Pour achever leur dernière année de maternelle et commencer à sentir le CP approcher à grands pas, mes GS ont pu chantonner l'alphabet . Si vous voulez, vous pouvez remplacer le mot fusil par un autre mot. Chansons enfantines et comptines du monde entier. Mes chants et comptines en moyenne section 2017-2018. En voici les paroles Les paroles de la chanson l'araignée gipsy !. Chansons enfantines et comptines du monde entier. Va-t'en , va-t'en ! Shopping. Cela renforce la liaison école-maison pour les petits, l'enfant pouvant facilement communiquer . La plupart incluent aussi une partition. Comptine petite abeille Par Julie Le 26 juillet 2021 Dans Activités Laisser un commentaire sur Comptine petite abeille Voici la comptine Petite abeille à chanter sur l'air de Frère Jacques. Tap to unmute. Et une version avec paroles signées Cet article a été publié dans Boîte à comptines et marqué escargot le 12 septembre 2016. . Pour l'occasion, allons faire un petit tour des comptines et chansons pour la rentrée en maternelle ! Voici les paroles illustrées de la chanson " Mains en l'air ", version maître Guillaume ^^. Cheque Differe Cora Flers 2020, Sujet Bac Pro Français 2013, Police Cybercriminalité Téléphone, Louis Bodin Et Sylvie Pinatel, Hôpital De Chartres Recrutement, Mois De Mars En Chiffre, Couleur Chat Signification Spirituelle, Arthrite Virale Covid,
En novembre et décembre derniers, tels des sorciers, les enfants de grande section ont réussi à redonner vie à de vieux morceaux de bois et ensemble nous avons fait apparaître des Triangule-arbres » ou arbres triangulaire. Après avoir trié des branches, les enfants les ont positionnées au sol en forme de triangle. Certains triangles étaient bien des triangles mais d’autres plutôt carrés, d’autres plutôt biscornus j’irais même jusqu’à dire bizarres … Ce qui est certain, c’est que nous avons révisé tous ensemble la géométrie avec des fou-rires et beaucoup de plaisir. Durant ce jeu de construction, les branches, elles, se sont par moment transformées en épées, en instruments de musique, en cannes, en fusils…. Les enfants, eux, sont alors devenus des chevaliers, des musiciens, certains d’entre eux sont même devenus des oiseaux ils sont venus couver leur nid au cœur de l’arbre triangle », puis ils se sont envolés dans une magnifique danse improvisée. Puis est venu le temps du montage en trois dimensions travail d’équipe et de coopération. Certains ont tenu le tronc afin d’assurer l’équilibre de l’arbre, pendant que d’autres enfilaient patiemment les morceaux de bois, les empilant sur la tige métallique. Les rôles se sont ensuite inversés, personne n’est resté de côté, tout le monde a participé. Ce tour de magie n’aurait pas été possible sans la confiance des deux maîtresses de Grande Section merci à elles. Merci également aux enfants pour cette belle aventure au sein de leur classe. Christelle
promenons nous dans les bois paroles maternelle