Email du destinataire . Votre message . Accueil. Code de l'urbanisme. Partie rĂ©glementaire - DĂ©crets en Conseil d'Etat | Articles R102-1 Ă  R620-2. Livre II : PrĂ©emption et rĂ©serves fonciĂšres | Articles R*211-1 Ă  R240-1. Titre Ier : Droits de prĂ©emption | Articles R*211-1 Ă  R215-19. Chapitre Ier : Droit de prĂ©emption urbain | Articles R*211-1 Ă  R211-8 . RĂ©initialiser Retour Selonl’article 58 de la loi du 2 aoĂ»t 2005, l’exercice de ce droit de prĂ©emption est dĂ©volu aux communes, qu’elles soient ou non dotĂ©es d’un Plan Local d’Urbanisme (PLU). La nouvelle loi ne procĂšde Ă  aucun renvoi au droit commun des articles L 211-2 et L 213-3 du Code de l’urbanisme relatifs aux dĂ©lĂ©gations de compĂ©tence. Le ArticlesL.212-1- et suivants du Code de l’urbanisme (3) Articles L. 142-1- et suivants du Code de l’urbanisme(4) Articles L. 211-1 et suivants du Code de l’urbanisme (2) Article A 213.1 du Code de l’urbanisme Emetteur(s) : MinistĂšre de l'Écologie, du DĂ©veloppement durable, des Transports et du Logement Public concernĂ© : Particuliers CatĂ©gorie : Autres Larticle R.111-1 du code de l'urbanisme dispose : a) les dispositions des articles R.111-3, R.111-5 Ă  111-14, R.111-16 Ă  R.111-20 et R.111-22 Ă  R.111-24-2 ne sont pas applicables dans les territoires dotĂ©s d'un plan local d'urbanisme ou d'un document d'urbanisme en tenant lieu ; b) les dispositions de l'article R.111-21 ne sont pas applicables dans les zones de protection du PL.U. DE LA COMMUNE DE TREGASTEL REGLEMENT 22 mars 2017 3 Dispositions gĂ©nĂ©rales ARTICLE 1 – CHAMP D’APPLICATION TERRITORIAL DU PLAN Le prĂ©sent rĂšglement s’applique Ă  l’ensemble du territoire communal. ARTICLE 2 – DIVISION DU TERRITOIRE EN ZONES Le territoire couvert par le Plan Local d’Urbanisme est divisĂ© en zones urbaines, Ă  urbaniser, naturelles ou FQKs. Artic 2208081ata-sa="true" data-na=36Attestis/a>&nu ccltrÎgaur technique ryeref="/loda/"0le R*e"3eud"> e" data-na=javarue"ptbulEGSud">ryOnCta-n;"R*126-16" d;e"3sSud">ryLoa2-08-0atated"onbuRe_lc/L 9n"sud"> e"ated"of R*ated cac dLEG e"sud"> eelemenated cac dLEG e"sud"> chere linputcode ld322s/ode0de8c&nb/li>Vabr/od en vd cau1 depuiG e"23 févrc/L oda/erh600ir/o p ns caTaatee"to eSommaire81LIVRE IV /li>Modifino p31 LOI n°lass=217&nu 21 févrc/L oda/ -ta-t. 1080ir/o e l eSommaire81LIVRE IV /li>Modifino p31 LOI n°lass=217&nu 21 févrc/L oda/ -ta-t. 1120ir/o e l/p95"utto e8ci/ld'uni/ld compétenceroquioluiosd't atte" uéog p31 9n"préston chapcaToutefoabrola&icmpétenceld'uns/Úr udrtnroit dn"préemps/a>&urbain. La&métropoleonu Gr022 Pa-ss est&icmpétenteldrtplei>&nroit en ">s/Úr udrtnroit dn"préemps/a>&urbain, dLEG eropSorimÚtr fixnor p31 9n"02nseiloneula&métropole, pour la&mise en Å“uvreld opSora d's o'aménagetton n'iltérÃÂȘt&métropolitain tton d'néog à l'a441-9n L. 521921onu mÃÂȘme ccne. DLEG eropSorimÚtr ainsi idton finobrol aliéna d's nécers> g à la&rr©alisis/a>&n opSora d's o'aménagetton n'iltérÃÂȘt&métropolitain tton d'néog au mÃÂȘme a441-9n L. 521921oneosd't plur soumis >&urbains&neula&icmmun neuPa-ss e &ner étab issutton publicr tprrito-sa&ne l'a441-9n L. 521922onu mÃÂȘme caulai3 tdutnroit dn"préemps/a>&urbainopeutodlelé cac sd'unroit à "uneosdcié-no o'économi/lmixt/lagrénoe tton d'néo à l'l eSomma'/affichC22-* IV TEXTa441-9n L. 48121onu ccne neula&icleÂru d'uen on&l'habitis/odabro, à l'u>&n organism d'habitis/odg à loyac modéré"prévug à l eSomma'/affichC22-* IV TEXTl'a441-9n L. 411/2 abronu mÃÂȘme ccne, à "un organism on&f daiac sdlidai3 ttton d'né à l'a441-9n L. 32921onudit ccde, pour l biens nécers> g à sd'uobjen pridaipal,cou à l'u>&n organism agrénosttton d'nég à l eSomma'/affichC22-* IV TEXTl'a441-9n L. 365/2 abronu mÃÂȘme ccne. Leur&organn&n &en ap&nu préston alinéaoneopeuvton ÃÂȘt3 tutiliség qu'en vua&neula&rr©alisis/a>&n'opSora d's o'aménagetton ouudrticleÂru d'upermettantula&rr©alisis/a>&n objecs/f fixnor dLEG e"programm localodn&l'habitis ouudéterminnos en ap&nu l eSomma'/affichC22-* IV TEXTpr miac alinéaone l'a441-9n L. 3"2-8onu ccne neula&icleÂru d'uen on&l'habitis/ e"pSorimÚtr ld'une gr022-uopSora d'ud'urbanism lau sens&neul'a441-9n L. 312/3 nu préston ccde, l tnroit dn"préemps/a>&prévulau préston chapca5"utto ir/o e8cum 211/2-o816621/2022-08-16" dat; tipetab revis"ab- du first" tabi22-x8-22-eVabr/odserutto e8cryOnCta-n{ mv31 ateaG= { m textId " ryFund "/li>CLE_PAGE_ ODAa, m isCurrentDtee abr m} cac bulEGSud">ryatea cac}lem/*]]>*/ c n>Ccne neul'urbanism &urbain">le- Chapca&urbain Ccne neul'urbanism &urbainab32plier32plierutto e8c"code ld322Vabr/od à la&atee a53aber4-e8c-d cllay-"oneR*tooltip""3js-ers modes0precedton-suivaon- ist" "to eSommaire81LI/a> "to eSommaire81LI/a> Imprimerd732pliers/ode0de8c Bienvenue sur le site de Rostrenen Rostrenen est une commune de 3100 habitants situĂ©e sur les territoires de la CommunautĂ© de Communes du Kreiz-Breizh CCKB et du pays du Centre-Ouest-Bretagne sur l'axe Rennes-Chateaulin. GrĂące Ă  sa position centrale, elle est Ă  moins d'une heure de la cĂŽte et de grandes villes comme Quimper, Saint-Brieuc ou Lorient. Offrant de nombreuses possibilitĂ©s tant sur le plan Ă©conomique zones d'activitĂ©s entiĂšrement Ă©quipĂ©es que sur le plan rĂ©sidentiel services de proximitĂ©, mĂ©diathĂšque, maison de l'enfance, Ă©coles dont plusieurs classes bilingues français/breton, collĂšges et lycĂ©es..., elle dispose Ă©galement d'un tissu associatif dense oĂč de nombreuses activitĂ©s peuvent ĂȘtre pratiquĂ©es musique, danses, théùtre, activitĂ©s sportives, loisirs crĂ©atifs... avec des Ă©quipements adaptĂ©s dans des bĂątiments entiĂšrement rĂ©novĂ©s. Elle a obtenu le label "Station Verte" en aoĂ»t 2012 pour ses capacitĂ©s d'accueil. Capitale du Pays Fisel du nom d'une danse bretonne trĂšs physique, de nombreuses animations s'y dĂ©roulent chaque annĂ©e courses hippiques, animations musicales, marchĂ© hebdomadaire, festival de musiques et danses traditionnelles, quinzaine commerciale, courses cyclistes... Le long du Canal de Nantes Ă  Brest, Rostrenen vous accueille en Bretagne IntĂ©rieure pour une visite, une randonnĂ©e ou pour vous y installer. " Degemer mat ! " L'Agence RĂ©gionale de SantĂ© ARS organise une enquĂȘte sur les attentes et prioritĂ©s de demain. A consulter ICI Le DĂ©partement des CĂŽtes d'Armor passe en alerte sĂ©cheresse CRISE. Retrouvez ici les mesures de restriction. Cantine-garderie les dossiers complets pour la rentrĂ©e pour les nouvelles inscriptions sont en ligne fiche Base Ă©lĂšve pour les inscriptions Ă  l'Ecole Publique est Ă  tĂ©lĂ©charger ICI . Le nouveau Bulletin d'Informations Municipales est en cours de distribution dans les boites aux lettres. Vous pouvez Ă©galement le consulter ou le tĂ©lĂ©charger ICI. Budget participatif. En savoir plus ici TĂ©lĂ©chargez le carnet de concertation ici en savoir plus Le titulaire du droit de prĂ©emption urbain peut dĂ©lĂ©guer ce droit Ă  une personne y ayant vocation et Ă  laquelle a Ă©tĂ© confiĂ©e, en application de l'article L. 300-9, la rĂ©alisation d'actions ou d'opĂ©rations prĂ©vues aux 6°, 8° et 9° du III de l'article L. 303-2 du code de la construction et de l'habitation dans les secteurs d'intervention dĂ©limitĂ©s d'une opĂ©ration de revitalisation de territoire mentionnĂ©e au mĂȘme article L. 303-2 ou la rĂ©alisation d'actions ou d'opĂ©rations ayant pour objet de favoriser la diversitĂ©, le maintien ou le dĂ©veloppement d'activitĂ©s artisanales et commerciales de proximitĂ© dans des espaces urbains dans le pĂ©rimĂštre dĂ©limitĂ© en application de l'article L. 214-1 du prĂ©sent code. Le droit de prĂ©emption ainsi dĂ©lĂ©guĂ© peut, le cas Ă©chĂ©ant, porter sur les aliĂ©nations et cessions mentionnĂ©es Ă  l'article L. 211-4, dans les conditions prĂ©vues aux deux derniers alinĂ©as du mĂȘme article L. 211-4. Les biens ainsi acquis entrent dans le patrimoine du dĂ©lĂ©gataire. Version en vigueur depuis le 08 juin 1978Les associĂ©s sont tenus du passif social sur tous leurs biens Ă  proportion de leurs droits sociaux. Les crĂ©anciers de la sociĂ©tĂ© ne peuvent poursuivre le paiement des dettes sociales contre un associĂ© qu'aprĂšs mise en demeure adressĂ©e Ă  la sociĂ©tĂ© et restĂ©e infructueuse. A cet effet, le reprĂ©sentant lĂ©gal de la sociĂ©tĂ© est tenu de communiquer Ă  tout crĂ©ancier social qui en fera la demande le nom et le domicile, rĂ©el ou Ă©lu, de chacun des associĂ©s. Les associĂ©s ne peuvent ĂȘtre poursuivis Ă  raison des obligations rĂ©sultant des articles 1642-1 et 1646-1 du code civil, reproduits aux articles L. 261-5 et L. 261-6 du prĂ©sent code, qu'aprĂšs mise en demeure restĂ©e infructueuse adressĂ©e Ă  la sociĂ©tĂ© si le vice n'a pas Ă©tĂ© rĂ©parĂ©, ou adressĂ©e soit Ă  la sociĂ©tĂ©, soit Ă  la compagnie d'assurance qui garantit la responsabilitĂ© de celle-ci, si le crĂ©ancier n'a pas Ă©tĂ© indemnisĂ©. L’autoritĂ© compĂ©tente doit, avant de refuser ou d’octroyer un permis de construire pour un projet situĂ© en zone Ă  risque, vĂ©rifier au stade de l’instruction qu’il respecte effectivement les prescriptions du plan de prĂ©vention des risques et si cela n’est pas suffisant Ă  garantir la sĂ©curitĂ© des personnes, subordonner ledit permis Ă  des prescriptions spĂ©ciales supplĂ©mentaires au vu de l’article du code de l’urbanisme. Conseil d’État, 6Ăšme – 5Ăšme chambres rĂ©unies, 22/07/2020, n°426139 Dans cette affaire, le maire de Vigneux-Sur-Seine a autorisĂ© la sociĂ©tĂ© Altarea Cogedim IDF Ă  construire un ensemble immobilier comprenant des habitations, des commerces et une crĂšche situĂ© dans une zone Ă  risque d’inondation d’alĂ©a moyen ». Le prĂ©fet a dĂ©fĂ©rĂ© l’arrĂȘtĂ© relatif au permis de construire au Tribunal administratif de Versailles, au moyen qu’il Ă©tait insuffisamment motivĂ© sur la base de l’article du code de l’urbanisme et qu’il ne pouvait ĂȘtre accordĂ© au vu des risques pour la sĂ©curitĂ© publique, en application de l’article du code de l’urbanisme. Le Tribunal administratif de Versailles a ainsi annulĂ© le permis de construire. La sociĂ©tĂ© Altarea Cogedim IDF s’est pourvue en cassation, donnant ainsi l’opportunitĂ© au Conseil d’Etat de prĂ©ciser l’interprĂ©tation Ă  retenir de l’article du code de l’urbanisme. Par ailleurs, l’article 4° du code de l’urbanisme prĂ©voit que le permis peut ĂȘtre dĂ©livrĂ© de maniĂšre dĂ©rogatoire Ă  l’obligation de crĂ©er des aires de stationnement pour le projet de logement, Ă  condition de respecter l’objectif de mixitĂ© sociale et d’ĂȘtre situĂ© Ă  moins de 500 mĂštres d’une gare ou d’une station de transports publics. L’article du mĂȘme code Ă©nonce que Le projet peut ĂȘtre refusĂ© ou n’ĂȘtre acceptĂ© que sous rĂ©serve de l’observation de prescriptions spĂ©ciales s’il est de nature Ă  porter atteinte Ă  la salubritĂ© ou Ă  la sĂ©curitĂ© publique du fait de sa situation, de ses caractĂ©ristiques, de son importance ou de son implantation Ă  proximitĂ© d’autres installations. ». Dans cette dĂ©cision, le Conseil d’Etat a estimĂ© que le juge n’avait pas entachĂ© son jugement d’une insuffisance de motivation en accueillant le moyen du prĂ©fet selon lequel la dĂ©rogation susvisĂ©e article du code de l’urbanisme accordĂ©e n’était pas motivĂ©e par le maire. Ensuite, Le Conseil d’Etat a apportĂ© des prĂ©cisions relative Ă  la dĂ©livrance d’un permis de construire portant sur un projet de construction situĂ© en zone Ă  risque, pour laquelle un plan de prĂ©vention des risques naturels prĂ©visibles a Ă©tĂ© pris PPRN, article du code de l’environnement sur la base de l’article prĂ©citĂ©. En premier lieu, le juge administratif a rappelĂ© que les prescriptions du plan de prĂ©vention des risques naturels PPRN valaient servitudes d’utilitĂ© publique article du code de l’environnement s’imposant Ă  la dĂ©livrance des permis de construire. En second lieu, pour assurer l’objectif de sĂ©curitĂ© publique prĂ©vu par l’article dudit code, il a mentionnĂ© que l’autoritĂ© compĂ©tente doit prendre plusieurs Ă©lĂ©ments en compte avant de conclure Ă  la dĂ©livrance ou au refus d’un tel permis de construire PremiĂšrement, Il incombe Ă  l’autoritĂ© compĂ©tente pour dĂ©livrer une autorisation d’urbanisme de vĂ©rifier que le projet respecte les prescriptions Ă©dictĂ©es par le plan de prĂ©vention ». Ainsi, l’instruction doit ĂȘtre rĂ©alisĂ©e au vu des prescriptions Ă©noncĂ©es au sein du PPR. DeuxiĂšmement, la dĂ©livrance du permis peut-ĂȘtre soumise auxdites prescriptions relatives aux risques naturels. Si cela n’est pas suffisant Ă  assurer la sĂ©curitĂ© publique, l’autoritĂ© compĂ©tente peut prendre des prescriptions spĂ©ciales supplĂ©mentaires lorsque cela apparaĂźt nĂ©cessaire. Le refus ne pourra alors intervenir que s’il apparaĂźt, malgrĂ© les prescriptions d’une part du PPR, et d’autres part les Ă©ventuelles prescriptions spĂ©ciales, que le projet soumis Ă  autorisation ne pourra assurer la sĂ©curitĂ© des personnes. En l’espĂšce, au regard des circonstances du projet, le Conseil d’Etat a considĂ©rĂ© que le tribunal administratif a commis une erreur de droit en annulant l’arrĂȘtĂ© relatif au permis de construire, sans [avoir recherchĂ©] si, comme il Ă©tait soutenu devant lui, les prescriptions du plan de prĂ©vention du risque et d’inondation 
 avaient Ă©tĂ© respectĂ©es et n’étaient pas, Ă  elles seules, ou le cas Ă©chĂ©ant, complĂ©tĂ©es de prescriptions spĂ©ciales, de nature Ă  prĂ©venir les risques d’atteinte Ă  la sĂ©curitĂ© publique ». DĂšs lors, les Ă©tapes prĂ©citĂ©es s’imposent Ă  l’autoritĂ© compĂ©tente Ă  qui il incombe, avant de refuser le permis, de vĂ©rifier si l’édiction de prescriptions issues du PPR et de prescriptions spĂ©ciales ne permettrait pas de prĂ©server la sĂ©curitĂ© des personnes.

article l 211 2 du code de l urbanisme