Lerenard de morlange résumé chapitre 7 Aller au contenu Aller à la recherche Aller à l’aide Accueil Informations sur le livre Violences, humiliations : rien n'arrête le cruel comte de
PAINDE MÉNAGE (Le) de Jules Renard (résumé) renard morlange. Obtenir ce document. Le document : "Le renard de Morlange" compte 802 mots. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous l’un de vos travaux scolaires grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques ou achetez-le pour la somme symbolique d’un euro.
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ceMaître Renard ! E.P. [-] Chapitres 1 et 2, Dans une vallée il y a trois fermiers. Ils sont riches et laids. En haut de la colline, Renard, sa femme et ses quatre renardeaux vivent dans un trou en dessous d'un arbre. Les trois fermiers veulent les tuer Oriane [-] Chapitre 3, Renard veut aller chercher deux canards pour sa famille. Quand
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gHfZ1. SergeMédiateurPremier jet rapide je compte éviter les photocopies et utiliser le TDL 5ème au maximum, à l'exception de Vendredi ou la vie sauvage, mais que nous avons en série au CDI ou CHAPITRE 1. Voyage en poésie GT séquence perlée sur l'année histoire de réactiver -entre autres choses- les notions de versification.Le voyage et l'aventure pourquoi aller vers l'inconnu ? / Imaginer des univers Ecrire un poème sur le thème du voyage éventuellement sur celui de leur vacances d'été ou prenant appui sur un des textes de grands voyages étudiés, même si c'est celui d'Ulysse de l'an dernierCHAPITRE 2. Du héros épique au super héros GT.Héros, héroïnes et Défendre un point de vue. Selon-vous, qui sont les héros d'aujourd'hui ?Écriture Raconter les exploits d'un héros CHAPITRE 3. Tristan et Iseut OI.Héros, héroïnes et héroïsme. Tristan et Iseult sont-ils des héros exemplaires ?Chapitre 4. très Bref-davantage en prolongement séquence qui sautera peut-être LE MERVEILLEUX MEDIÉVAL Le Lai du Bisclavret de Marie de France OI Regarder le monde, inventer des 5. court GT Gargantua Avec dossier sur l'humanisme du TDLséquence rapide permettant de travailler aussi sur la parodie du héros épique + le comique pour ouvrir sur le théâtreRegarder le monde, inventer des mondes. Prolongement un extrait de Dom Quichotte pour l'image cette fois de l'anti-hérosCHAPITRE 6. Les Fourberies de Scapin, Molière OI.Avec autrui familles, amis, réseaux. CHAPITRE 7. Les grands explorateurs réels ou imaginaires GT du TDL.Le voyage et l'aventure pourquoi aller vers l'inconnu ? / Imaginer des univers Voyage sur les traces d’Enée Dossier EPI LCA Français – Latin – Arts plastiques.Le voyage et l’aventure pourquoi aller vers l’inconnu ?CHAPITRE 8. Vendredi ou la vie sauvage, M. Tournier OI.Le voyage et l'aventure pourquoi aller vers l'inconnu ? / L'être humain est-il maître de la nature ?retour sur la notion de héros avec confrontation de Vendredi et de Robinson, retour sur la relation à l'autreRécit initiatique et évolution du ne rien oublier des choses obligatoires dans cette première pourrait peut-être entrer dans "le conte merveilleux" ? Auquel cas, je supprime sans doute le travailler sur les fabliaux. Quelqu'un a-t-il vu le moyen d'en raccrocher aux thèmes imposer ?_________________Pour faire découvrir la Cafet à nos élèves > ICIAustrucheerranteNiveau 10 [2019 -2020] Français progression cinquième par Austrucheerrante 11th Juillet 2019, 2155Bonsoir à tous,comme les sujets sur les progressions n'ont semble-t-il pas encore fait leur apparition, que j'ai des cinquièmes pour la première fois cette année et que j'ai commencé à m'interroger sur ma progression, j'inaugure le lot avec celui-ci J'en profiterai pour poser quelques questions, et recueillir vos avis éclairés Cela donnerait, donc -1 Le voyage et l'aventure Gt de poèmes sur le voyage + LC à déterminer- 2 Les héros Tristan et Yseut + GT d'extraits d'oeuvres épiques notamment antiques + LC La chanson de Roland- 3 Thème libre Gargantua + LC recueil de textes de la Renaissance- 4 Avec autrui Les fourberies de Scapin + LC L'avare- 5 Univers nouveaux quelques Contes de Perrault + LC d'autres contes ?Là-dessus, quelques précisions et questionnement - Je ne me suis pas trop préoccupé des LC l'an dernier, je m'y mets plus à fond cette année, dans l'idée qu'elles serviront essentiellement aux élèves à découvrir de nouvelles oeuvres, sans retour en classe autre qu'une petite évaluation genre contrôle de lecture ou fiche et sa correction ; en termes de quantité, c'est tenable, ou je délire complètement ?- Pour la LC du thème du voyage, plutôt que de me rabattre sur un roman d'aventure, j'aimerais bien donner des extraits conséquents de textes des grands voyageurs Marco Polo, Colomb, etc., pourquoi pas en anthologie est-ce que vous connaissez des éditions accessibles aux élèves ? L'avez-vous déjà fait ? Quels résultats ?- Pour le roman médiéval, j'ai conscience que le chapitre est gros ; d'un autre côté, c'est aussi un peu l'orientation de l'année, y compris en histoire, donc bon. Remplaceriez-vous la chanson de Roland par un Chrétien de Troyes ?- Pour le thème libre, j'ai bien envie de faire Gargantua, parce qu'à voir le topic de l'an dernier, ça a été le choix de beaucoup d'entre vous alors que j'aurais hésité et que j'adore Rabelais ; là encore, une édition à conseiller accessible aux élèves ?- Enfin, pour l'ordre des thèmes j'ai deux classes, l'une suivra l'ordre indiqué ci-dessus. Je suis contraint par la politique de mon établissement on ne fait pas acheter de livres aux élèves, on utilise les séries du CDI mais on peut normalement demander au CDI d'acheter de nouvelles séries sans problème ; je sais, c'est très contestable, mais je ne vais pas monter au créneau là-dessus cette année, vu que c'est à peu près mon seul grief contre une administration avec laquelle je m'entends bien par ailleurs. Donc, comme conséquence, les élèves ne peuvent voir les mêmes choses en même temps car une seule série possible par oeuvre.Du coup pour mon autre classe, ça donnerait 1 - La poésie de Voyage2 - Les contes3 - Les romans médiévaux4 - Gargantua5 - MolièreL'un et l'autre ordre vous semblent-ils poser problème ? Dans le second, inverseriez-vous les deux derniers chapitres je me pose la question ?Bonne soirée ! MédéeFidèle du forumSalut !Il te manque un roman d'aventures tu dois en étudier un en classe.En ce qui concerne les lectures cursives, La chanson de Roland ou Chrétien de Troyes et L'avare ?! ça me paraît très compliqué, ou alors on n'a pas, mais alors pas du tout les mêmes élèves !Pour les LC, tu peux aussi voir avec le professeur documentaliste pour créer une sélection de livres ; tu peux détacher les LC de ton programme et ne pas forcément leur faire lire un livre en rapport avec le chapitre en en fait, je viens de relire les programmes et effectivement ce n'est pas une obligation pour le roman d'aventures ! Dernière édition par Sherlock le 11th Juillet 2019, 2233, édité 2 fois Raison précisionsAnnaluciaNiveau 5Pareil, L'Avare en LC me semble beaucoup trop complexe pour des 5éme... À moins que tu aies de très bons élèves attente de fusion par 12th Juillet 2019, 0038Les "thèmes imposés", connais plus. En littérature, je suis revenu à ma bonne vieille progression chronologique, en tout en m'appuyant sur les TDL. Je les ai tous depuis la première éventuellement petite révision de la passionnante histoire de Jésus bases nécessaires pour comprendre l'univers du Moyen Âge, Roland réactivation du genre de l'épopée et du thème de l'orgueil, déjà bien traités en 6e, un roman courtois Tristan et Iseut ou Yvain par exemple apparition de la femme et de l'amour, l'Avare, l'Île au si j'arrive à faire plus, hallelujah ! _________________"La vie est mêlée de traverses. Il est bon de s'y tenir sans cesse préparé." Molière, Les Fourberies de Scapin.AnguaGrand sageJe partage avec vous ma progression annuelle de 5e, niveau que je retrouve après plusieurs années de pause et donc un changement de programmes, dans une version à peu près définitive 1. Voyage en poésie GT TDL + Le bateau Ivre à la fois LC et projet à approfondir, où j'aimerais faire travailler chaque élève sur une strophe en particulier, avec une LC libre2. Les aventures de Tom Sawyer, OI3. Le chevalier, l'essence du héros bref GT pour introduire OI qui suit 4. Tristan et Iseut, OI5. Les grandes découvertes, GT TDL6. Les Fourberies de Scapin, OI7. Les voyages de Gulliver TDLJe n'ai pas encore tranché le cas des LC. J'hésite entre des bibliographies thématiques, laisser le libre choix de leurs lectures aux élèves nous avons une collègue de très bon conseil, ça peut se terminer en intermédiaire entre les deux. Je précise que j'aurai une cohorte qui monte classe à option et que je sais que c'est une classe de bons niveaux, avec de bons lecteurs autant dire, la 4e dimension pour moi ! ______ 10Bonjour Angua, concernant Tom Sawyer, quelle est l'édition sélectionnée? Merci!nanouevaNiveau 10J'ai déjà étudié l'Avare avec une classe au niveau fragile dans mon collège REP eh bien, avec l'aide du DVD du film avec de Funes et quelques extraits de pièces bien ciblés, cela marche quand même et les élèves aiment beaucoup certains passages. J'ai même réussi à leur faire jouer quelques extraits de scènes!SergeMédiateur Angua a écrit5. Les grandes découvertes, GT TDL Tu fais allusion à quel chapitre ? Aucun ne porte ce nom. Ou c'est pour dire "les explorateurs réels ou imaginaires" ?Sinon c'est un corpus différent à partir de textes de plusieurs chapitres ?_________________Pour faire découvrir la Cafet à nos élèves > ICIAnguaGrand sage nanoueva a écritBonjour Angua, concernant Tom Sawyer, quelle est l'édition sélectionnée? Merci! La Folio junior, que je trouve très bien j'avoue ne pas en avoir feuilleté d'autre. Peut-être un peu chère, à 5,90 €, mais ce sera le seul livre que je ferai acheter car nous avons le reste en séries. Serge a écrit Angua a écrit5. Les grandes découvertes, GT TDL Tu fais allusion à quel chapitre ? Aucun ne porte ce nom. Ou c'est pour dire "les explorateurs réels ou imaginaires" ?Sinon c'est un corpus différent à partir de textes de plusieurs chapitres ? Pardon, je n'étais pas claire ! Je vais m'appuyer sur ce chapitre, sur les textes d'explorateurs réels a priori, car ça mérite d'être affiné Le Livre des merveilles, La Découverte de l'Amérique, Voyage autour du monde, et j'ajouterai peut-être un extrait de Histoire d'un voyage fait en la Terre du Brésil______ du forumPour ma part, si j'ai à nouveau des 5e j'attends toujours mon affectation sur iprof qui me confirmerait les échos que j'ai eus... voilà ce que je projette 1. La poésie des objets GT2. Les Mille et Une nuits je dois encore choisir OI3. Aux armes chevaliers ! GT4. Bisclavret si j'ai le temps, après hésitation je pense finalement le faire en 5e à la suite de mon chapitre sur les chevaliers5. Vendredi ou la vie sauvage + textes sur les découvertes OI6. Les Fourberies de Scapin OIBeaucoup de changements par rapport à cette année ! Je ne garde finalement que les Fourberies !AustrucheerranteNiveau 10Merci à tous pour vos réponses. Si l'Avare en LC vous paraît trop ambitieux, alors un autre Molière plus simple ? ou une farce médiévale je pense au Cuvier, facile et court ?Peut-être alors ferai-je l'Avare en OI plutôt que Scapin...Pour la LC correspondant à Tristan, évidemment, je ne partais pas du principe que mes élèves globalement très faibles allaient comprendre tous les tenants et aboutissants de la Chanson de Roland... mais suivre l'histoire dans ses grandes lignes, cela me semblait à leur portée, d'autant que j'ai une édition très abrégée bien avec beaucoup de notes, pas trop grosse une toute petite centaine de pages...Sinon un autre texte médiéval ? Renart, pour un contre-modèle du héros mais peut-être l'auront-ils vu en sixième ? ?Pour le GT sur le voyage, j'ai trouvé la LC correspondante journal de Colomb en extraits, une petite vingtaine de pour conseiller une édition de Gargantua ? loubou59Niveau 9Pour ma part, je ne pense pas changer grand chose par rapport à l’année dernière donc ça donnera 1 Bisclavret suivi d’un travail de recherche sur les bestiaires du MA à nos jours, avec comme tâche finale la réalisation d’une chimère et de sa description2 La figure du héros de l’Antiquité à nos jours GT Achille et Hector, Roland, les Super Héros...3 Perceval ou le conte du Graal4 Récits de voyages comment faire découvrir l’ailleurs et des univers nouveaux?5 Vendredi ou la vie sauvage et en prolongement, le film Sa Majesté des mouches6 La poésie du quotidien7 Les fourberies ou l’AvareAnguaGrand sage Austrucheerrante a écritMerci à tous pour vos réponses. Si l'Avare en LC vous paraît trop ambitieux, alors un autre Molière plus simple ? ou une farce médiévale je pense au Cuvier, facile et court ?Peut-être alors ferai-je l'Avare en OI plutôt que Scapin...Pour la LC correspondant à Tristan, évidemment, je ne partais pas du principe que mes élèves globalement très faibles allaient comprendre tous les tenants et aboutissants de la Chanson de Roland... mais suivre l'histoire dans ses grandes lignes, cela me semblait à leur portée, d'autant que j'ai une édition très abrégée bien avec beaucoup de notes, pas trop grosse une toute petite centaine de pages...Sinon un autre texte médiéval ? Renart, pour un contre-modèle du héros mais peut-être l'auront-ils vu en sixième ? ?Pour le GT sur le voyage, j'ai trouvé la LC correspondante journal de Colomb en extraits, une petite vingtaine de pour conseiller une édition de Gargantua ? C'est beaucoup moins ambitieux, mais en LC parallèle à l'étude Tristan et Iseut, j'aime bien leur proposer des romans contemporains qui se déroulent au MA ou reprennent la matière arthurienne je pense à Morpurgo, par exemple. Quelle est l'édition de la Chanson de Roland à laquelle tu penses ?PS Je trouve que la Farce du Cuvier est très accessible et fait un bon complément aux Fourberies pour voir l'évolution de la farce ! Je garde l'idée ! ______ mon côté, j'ens uis à l'ébauche, au chois des oeuvres... cela fait une éternité que je n'ai pas eu de 5è...en OI Tristan et Iseut, Le lai de Bisclavret, l' LC Le roi Arthur Morpurgo, le Renard de morlange, le tour du monde en 80 jours ou voyage au centre de la Terre ? ou ??en GT vie au MA ?? à voir, chevaliers and co, l'homme face à la pense insérer une poésie dans les séquences, si j'y arrive... pour ne pas lasser les me demande aussi s'il est judicieux d'étudier un anime comme "les enfants-loups"... Quelle édition prenez-vous pour T&I, je sais que je vais avoir une classe à petit niveau, beaucoup de difficultés...VaarlanNiveau 1Hello, je suis stagiaire cette année, et il me manque quelques groupement de texteOI oeuvre integrale LC lecture cursiveTDl ???D'ailleurs, pour ce qui est des OI, vous ne faîtes la lecture qu'en classe ou à la maison aussi ? Car je vois que vous dites '' on l'a en série'' mais quand on a 2 classes, on a rarement 60 livres dans les séries, si ? Donc pas possible de leur dire de lire à la maison ?Merci pour votre aide !*Ombre*Esprit éclairé Angua a écrit nanoueva a écritBonjour Angua, concernant Tom Sawyer, quelle est l'édition sélectionnée? Merci! La Folio junior, que je trouve très bien j'avoue ne pas en avoir feuilleté d'autre. Peut-être un peu chère, à 5,90 €, mais ce sera le seul livre que je ferai acheter car nous avons le reste en séries. Je confirme. Cette édition est très bien. En plus, pour les élèves en grande difficulté de lecture, il existe une version audio disponible ici Diclonia a écritQuelle édition prenez-vous pour T&I, je sais que je vais avoir une classe à petit niveau, beaucoup de difficultés... Bibliocollège a sorti une version scolaire du texte de Bédier, avec toutes les notes nécessaires et quelques coupes. Le résultat est tout à fait 5 Vaarlan a écritHello, je suis stagiaire cette année, et il me manque quelques groupement de texteOI oeuvre integrale LC lecture cursiveTDl ???D'ailleurs, pour ce qui est des OI, vous ne faîtes la lecture qu'en classe ou à la maison aussi ? Car je vois que vous dites '' on l'a en série'' mais quand on a 2 classes, on a rarement 60 livres dans les séries, si ? Donc pas possible de leur dire de lire à la maison ?Merci pour votre aide ! TDL = le manuel Terre des LettresT&I = Tristan et IseultPour la lecture de l'OI, en général, je débute la lecture avec eux, puis ils continuent chez eux en suivant un programme de un chapitre/une scène peut ne pas être lu et dans ces cas là, nous regardons une adaptation filmée ou BD, résumé ou encore lecture professorale. Concernant les séries limitées, tu dois donc alterner tes séquences! Pas le choix ! Ou alors, tu leur demandes de l' 5 Sherlock a écritSalut !Il te manque un roman d'aventures tu dois en étudier un en classe.En ce qui concerne les lectures cursives, La chanson de Roland ou Chrétien de Troyes et L'avare ?! ça me paraît très compliqué, ou alors on n'a pas, mais alors pas du tout les mêmes élèves !Pour les LC, tu peux aussi voir avec le professeur documentaliste pour créer une sélection de livres ; tu peux détacher les LC de ton programme et ne pas forcément leur faire lire un livre en rapport avec le chapitre en en fait, je viens de relire les programmes et effectivement ce n'est pas une obligation pour le roman d'aventures ! Après avoir relu le BO, je ne pense pas que que l'étude d'un roman d'aventures soit obligatoire. Je cite " On peut aussi étudier sous forme d'un groupement de textes des poèmes évoquant les voyages et la séduction de l'ailleurs ou un roman d'aventures". Ce qui est obligatoire, en revanche, ce sont les extraits évoquant les grandes comprenez-vous comme moi?adumbrateNiveau 9 automne a écritAprès avoir relu le BO, je ne pense pas que que l'étude d'un roman d'aventures soit obligatoire. Je cite " On peut aussi étudier sous forme d'un groupement de textes des poèmes évoquant les voyages et la séduction de l'ailleurs ou un roman d'aventures". Ce qui est obligatoire, en revanche, ce sont les extraits évoquant les grandes comprenez-vous comme moi? Oui. Je n'ai d'ailleurs pas fait de roman d'aventure cette 9 Vaarlan a écritD'ailleurs, pour ce qui est des OI, vous ne faîtes la lecture qu'en classe ou à la maison aussi ? Car je vois que vous dites '' on l'a en série'' mais quand on a 2 classes, on a rarement 60 livres dans les séries, si ? Donc pas possible de leur dire de lire à la maison ?Merci pour votre aide ! En général, on se débrouille pour ne pas faire le chapitre au même moment dans les deux adumbrate a écrit Vaarlan a écritD'ailleurs, pour ce qui est des OI, vous ne faîtes la lecture qu'en classe ou à la maison aussi ? Car je vois que vous dites '' on l'a en série'' mais quand on a 2 classes, on a rarement 60 livres dans les séries, si ? Donc pas possible de leur dire de lire à la maison ?Merci pour votre aide ! En général, on se débrouille pour ne pas faire le chapitre au même moment dans les deux classes. Quand j'ai 2 classes du même niveau, un coup c'est la classe A qui achète le livre et la classe B à qui je prête la série, un coup c'est l'inverse. Comme ça, c'est équilibré et les élèves n'ont que peu de livres à aka Beuglato Vociferature, Irae Laudatrix pour les cérémonies en son honneur,Divinité Tarpéienne dont le culte subsiste en protège les orateurs et les sophistes peut invoquer sa fureur en lui sacrifiant des laitues à Boudicca, elle est représentée sur un char Clio orné de noeuds rouges en du forum automne a écrit Sherlock a écritSalut !Il te manque un roman d'aventures tu dois en étudier un en classe.En ce qui concerne les lectures cursives, La chanson de Roland ou Chrétien de Troyes et L'avare ?! ça me paraît très compliqué, ou alors on n'a pas, mais alors pas du tout les mêmes élèves !Pour les LC, tu peux aussi voir avec le professeur documentaliste pour créer une sélection de livres ; tu peux détacher les LC de ton programme et ne pas forcément leur faire lire un livre en rapport avec le chapitre en en fait, je viens de relire les programmes et effectivement ce n'est pas une obligation pour le roman d'aventures ! Après avoir relu le BO, je ne pense pas que que l'étude d'un roman d'aventures soit obligatoire. Je cite " On peut aussi étudier sous forme d'un groupement de textes des poèmes évoquant les voyages et la séduction de l'ailleurs ou un roman d'aventures". Ce qui est obligatoire, en revanche, ce sont les extraits évoquant les grandes comprenez-vous comme moi? Oui, c'est ce que j'ai écrit dans mon sage Diclonia a écritQuelle édition prenez-vous pour T&I, je sais que je vais avoir une classe à petit niveau, beaucoup de difficultés... J'aime bien l'édition Carrés Classiques, les séries peuvent être importantes. Pour certaines œuvres très étudiées je pense à Antigone, aux Fourberies de Scapin..., nous pouvons faire travailler deux classes en même temps sans problème, à voir sur place donc !______ nanoueva a écritJ'ai déjà étudié l'Avare avec une classe au niveau fragile dans mon collège REP eh bien, avec l'aide du DVD du film avec de Funes et quelques extraits de pièces bien ciblés, cela marche quand même et les élèves aiment beaucoup certains passages. J'ai même réussi à leur faire jouer quelques extraits de scènes! Idem, mais j'utilise plutôt cette mise en scène que je trouve formidable, avec un Jean-Claude Frison époustouflant bande-annonce _________________"La vie est mêlée de traverses. Il est bon de s'y tenir sans cesse préparé." Molière, Les Fourberies de Scapin.Sujets similaires[2019 -2020] Français progression sixième[2019 -2020] Français progression Troisième[2020-2021] Progression français 6e [2020-2021] Progression français 5e[2020-2021] Progression français 4eSauter versPermission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
CHAPITRE TROIS PRÉSENTS DE M. D’ARTAGNAN PÈRE. Le premier lundi du mois d’avril 1626, le bourg de Meung, où naquit l’auteur du Roman de la Rose, semblait être dans une révolution aussi entière que si les huguenots en fussent venus faire une seconde Rochelle. Plusieurs bourgeois, voyant s’enfuir les femmes le long de la grande rue, entendant les enfants crier sur le seuil des portes, se hâtaient d’endosser la cuirasse, et appuyant leur contenance quelque peu incertaine d’un mousquet ou d’une pertuisane, se dirigeaient vers l’hôtellerie du Franc-Meunier, devant laquelle s’empressait, en grossissant de minute en minute, un groupe compacte, bruyant et plein de curiosité. En ce temps-là les paniques étaient fréquentes, et peu de jours se passaient sans qu’une ville ou l’autre enregistrât sur ses archives quelque événement de ce genre. Il y avait les seigneurs qui guerroyaient entre eux ; il y avait le cardinal qui faisait la guerre au roi et aux seigneurs ; il y avait l’Espagnol qui faisait la guerre aux seigneurs, au cardinal et au roi. Puis, outre ces guerres sourdes ou publiques, secrètes ou patentes, il y avait encore les voleurs, les mendiants, les huguenots, les loups et les laquais, qui faisaient la guerre à tout le monde. Les bourgeois s’armaient toujours contre les voleurs, contre les loups, contre les laquais ; — souvent contre les seigneurs et les huguenots ; — quelquefois contre le roi ; — mais jamais contre le cardinal et l’Espagnol. Il résulta donc de ces habitudes prises, que ce susdit premier lundi du mois d’avril 1626, les bourgeois entendant du bruit, et ne voyant ni le guidon jaune et rouge, ni la livrée du duc de Richelieu, se précipitèrent du côté de l’hôtel du Franc-Meunier. Arrivé là, chacun put reconnaître la cause de cette rumeur. Un jeune homme… — traçons son portrait d’un seul trait de plume — figurez-vous don Quichotte à dix-huit ans ; don Quichotte décorcelé, sans haubert et sans cuissard ; don Quichotte revêtu d’un pourpoint de laine, dont la couleur bleue s’était transformée en une nuance insaisissable de lie de vin et d’azur céleste. Visage long et brun ; la pommette des joues saillante, signe d’astuce ; les muscles maxillaires énormément développés, indice infaillible où l’on reconnaît le Gascon, même sans béret, et notre jeune homme portait un béret orné d’une espèce de plume ; l’œil ouvert et intelligent ; le nez crochu, mais finement dessiné ; trop grand pour un adolescent, trop petit pour un homme fait, et qu’un œil exercé eût pris pour un fils de fermier en voyage, sans la longue épée qui, pendue à un baudrier de peau, battait les mollets de son propriétaire, quand il était à pied, et le poil hérissé de sa monture quand il était à cheval. Car notre jeune homme avait une monture, et cette monture était même si remarquable qu’elle fut remarquée c’était un bidet du Béarn, âgé de 12 ou 14 ans, jaune de robe, sans crins à la queue, mais non pas sans javarts aux jambes, et qui, tout en marchant la tête plus bas que les genoux, ce qui rendait inutile l’application de la martingale, faisait encore galamment ses huit lieues par jour. Malheureusement les qualités cachées de ce cheval étaient si bien cachées sous son poil étrange et son allure incongrue, que, dans un temps où tout le monde se connaissait en chevaux, l’apparition du susdit bidet à Meung, où il était entré, il y avait un quart d’heure à peu près, par la porte de Beaugency, produisit une sensation dont la défaveur rejaillit jusqu’à son cavalier. Et cette sensation avait été d’autant plus pénible au jeune d’Artagnan ainsi s’appelait le don Quichotte de cet autre Rossinante, qu’il ne se cachait pas le côté ridicule que lui donnait, si bon cavalier qu’il fût, une pareille monture. Aussi avait-il fort soupiré en acceptant le don que lui en avait fait M. d’Artagnan père il n’ignorait pas qu’une pareille bête valait au moins vingt livres. Il est vrai que les paroles dont le présent avait été accompagné n’avaient pas de prix. — Mon fils, avait dit le gentilhomme gascon, dans ce pur patois du Béarn, dont Henri IV n’avait jamais pu parvenir à se défaire, — mon fils, ce cheval est né dans la maison de votre père, il y a tantôt treize ans, et y est resté depuis ce temps-là, ce qui doit vous porter à l’aimer. Ne le vendez jamais, laissez-le mourir tranquillement et honorablement de vieillesse, et si vous faites campagne avec lui, ménagez-le comme vous ménageriez un vieux serviteur. À la cour, continua M. d’Artagnan père, si toutefois vous avez l’honneur d’y aller, honneur auquel, du reste, votre vieille noblesse vous donne des droits, soutenez dignement votre nom de gentilhomme, qui a été porté dignement par vos ancêtres depuis plus de cinq cents ans ; pour vous et pour les vôtres, — par les vôtres, j’entends vos parents et vos amis, — ne supportez jamais rien que de M. le cardinal et du roi. C’est par son courage, entendez-vous bien, par son courage seul, qu’un gentilhomme fait son chemin aujourd’hui. Quiconque tremble une seconde laisse peut-être échapper l’appât que, pendant cette seconde justement, la fortune lui tendait. Vous êtes jeune, vous devez être brave par deux raisons la première, c’est que vous êtes Gascon, et la seconde, c’est que vous êtes mon fils. Ne craignez pas les occasions et cherchez les aventures. Je vous ai fait apprendre à manier l’épée ; vous avez un jarret de fer, un poignet d’acier, battez-vous à tout propos ; battez-vous, d’autant plus que les duels sont défendus, et que, par conséquent, il y a deux fois du courage à se battre. Je n’ai, mon fils, à vous donner que quinze écus, mon cheval et les conseils que vous venez d’entendre. Votre mère y ajoutera la recette d’un certain baume qu’elle tient d’une bohémienne, et qui a une vertu miraculeuse pour guérir toute blessure qui n’atteint pas le cœur. Faites votre profit du tout, et vivez heureusement et longtemps. Je n’ai plus qu’un mot à ajouter, et c’est un exemple que je vous propose, non pas le mien, car je n’ai, moi, jamais paru à la cour, et n’ai fait que les guerres de religion en volontaire je veux parler de M. de Tréville, qui était mon voisin autrefois, et qui a eu l’honneur de jouer tout enfant avec notre roi Louis XIIIe, que Dieu conserve. Quelquefois leurs jeux dégénéraient en batailles, et dans ces batailles le roi n’était pas toujours le plus fort. Les coups qu’il en reçut lui donnèrent beaucoup d’estime et d’amitié pour M. de Tréville. Plus tard M. de Tréville se battit contre d’autres dans son premier voyage à Paris, cinq fois ; depuis la mort du feu roi jusqu’à la majorité du jeune, sans compter les guerres et les siéges, sept fois ; et depuis cette majorité jusqu’aujourd’hui, cent fois peut-être ! — Aussi, malgré les édits, les ordonnances et les arrêts, le voilà capitaine des mousquetaires, c’est-à-dire chef d’une légion de Césars dont le roi fait un très grand cas, et que M. le cardinal redoute, lui qui ne redoute pas grand’chose, comme chacun sait. De plus, M. de Tréville gagne dix mille écus par an ; c’est donc un fort grand seigneur. — Il a commencé comme vous ; allez le voir avec cette lettre, et réglez-vous sur lui, afin de faire comme lui. » Sur quoi M. d’Artagnan père remit à son fils une lettre qu’il avait préparée, lui ceignit sa propre épée, l’embrassa tendrement sur les deux joues et lui donna sa bénédiction. En sortant de la chambre paternelle, le jeune homme trouva sa mère qui l’attendait avec la fameuse recette dont les conseils que nous venons de rapporter devaient nécessiter un assez fréquent emploi. Les adieux furent de ce côté plus longs et plus tendres qu’ils ne l’avaient été de l’autre, non pas que M. d’Artagnan n’aimât son fils, qui était sa seule progéniture, mais M. d’Artagnan était un homme, et il eût regardé comme indigne d’un homme de se laisser aller à son émotion, tandis que Mme d’Artagnan était femme et de plus, était mère. — Elle pleura abondamment, et, disons-le à la louange de M. d’Artagnan fils, quelques efforts qu’il tentât pour rester ferme comme devait l’être un futur mousquetaire, la nature l’emporta, et il versa force larmes, dont il parvint à grand’peine à cacher la moitié. Le même jour le jeune homme se mit en route, muni des trois présents paternels, et qui se composaient, comme nous l’avons dit, de quinze écus, du cheval et de la lettre pour M. de Tréville ; comme on le pense bien, les conseils avaient été donnés par-dessus le marché. Avec un pareil vade mecum, d’Artagnan se trouva, au moral comme au physique, une copie exacte du héros de Cervantes, auquel nous l’avons si heureusement comparé lorsque nos devoirs d’historien nous ont fait une nécessité de tracer son portrait. Don Quichotte prenait les moulins à vent pour des géants et les moutons pour des armées ; Artagnan prit chaque sourire pour une insulte et chaque regard pour une provocation. Il en résulta qu’il eut toujours le poing fermé depuis Tarbes jusqu’à Meung, et que l’un dans l’autre il porta la main au pommeau de son épée dix fois par jour ; toutefois, le poing ne descendit sur aucune mâchoire, et l’épée ne sortit point de son fourreau. Ce n’est pas que la vue du malencontreux bidet jaune n’épanouît bien des sourires sur les visages des passants ; mais, comme au-dessus du bidet sonnait une épée de taille respectable et qu’au-dessus de cette épée brillait un œil plutôt féroce que fier, les passants réprimaient leur hilarité, ou si l’hilarité l’emportait sur la prudence, ils tâchaient au moins de ne rire que d’un seul côté, comme les masques antiques. D’Artagnan demeura donc majestueux et intact dans sa susceptibilité jusqu’à cette malheureuse ville de Meung. Mais là, comme il descendait de cheval à la porte du Franc-Meunier sans que personne, hôte, garçon ou palefrenier, fût venu lui tenir l’étrier, d’Artagnan avisa à une fenêtre entrouverte du rez-de-chaussée un gentilhomme de belle taille et de haute mine, quoique au visage légèrement renfrogné, lequel causait avec deux personnes qui paraissaient l’écouter avec déférence. D’Artagnan crut tout naturellement, selon son habitude, être l’objet de la conversation et tendit l’oreille. Cette fois d’Artagnan ne s’était trompé qu’à moitié ce n’était pas de lui qu’il était question, mais de son cheval. Le gentilhomme paraissait énumérer à ses auditeurs toutes les qualités de l’animal, et comme, ainsi que je l’ai dit, les auditeurs paraissaient avoir une grande déférence pour le narrateur, ils éclataient de rire à tout moment. Or, comme un demi-sourire suffisait pour éveiller l’irascibilité du jeune homme, on comprend quel effet produisit sur lui tant de bruyante hilarité. Cependant d’Artagnan voulut d’abord se rendre compte de la physionomie de l’impertinent qui se moquait de lui. Il fixa son regard fier sur l’étranger, et reconnut un homme de quarante à quarante-cinq ans, aux yeux sombres et perçants, au teint pâle, au nez fortement accentué, à la moustache noire et parfaitement taillée il était vêtu d’un pourpoint et d’un haut-de-chausses violet avec des aiguillettes de même couleur, sans aucun ornement que les crevés habituels par lesquels passait la chemise. Ce haut-de-chausses et ce pourpoint, quoique neufs, paraissaient froissés comme des habits de voyage longtemps renfermés dans un porte-manteau. D’Artagnan fit toutes ces remarques avec la rapidité de l’observateur le plus minutieux, et sans doute par un sentiment instinctif qui lui disait que cet inconnu devait avoir une grande influence sur sa vie à venir. Or, comme au moment où d’Artagnan fixait son regard sur le gentilhomme au pourpoint violet, le gentilhomme faisait à l’endroit du bidet béarnais une de ses plus savantes et de ses plus profondes démonstrations, ses deux auditeurs éclatèrent de rire, et lui-même laissa visiblement, contre son habitude, errer, si l’on peut parler ainsi, un pâle sourire sur son visage. Cette fois, il n’y avait plus de doute d’Artagnan était réellement insulté. Aussi, plein de cette conviction, enfonça-t-il son béret sur ses yeux, et, tâchant de copier quelques-uns des airs de cour qu’il avait surpris en Gascogne chez des seigneurs en voyage, il s’avança une main sur la garde de son épée et l’autre appuyée sur la hanche. Malheureusement, au fur et à mesure qu’il avançait, la colère l’aveuglait de plus en plus, et au lieu du discours digne et hautain qu’il avait préparé pour formuler sa provocation, il ne trouva plus au bout de sa langue qu’une personnalité grossière qu’il accompagna d’un geste furieux. — Eh ! monsieur, s’écria-t-il, monsieur, qui vous cachez derrière ce volet ; oui, vous ! dites-moi donc un peu de quoi vous riez, et nous rirons ensemble. Le gentilhomme amena lentement les yeux de la monture au cavalier, comme s’il lui eût fallu un certain temps pour comprendre que c’était à lui que s’adressaient de si étranges paroles ; puis, lorsqu’il ne put plus conserver aucun doute, ses sourcils se froncèrent, et, après une longue pause, avec un accent d’ironie et d’insolence impossible à décrire, il répondit à d’Artagnan — Je ne vous parle pas, monsieur ! — Mais je vous parle, moi ! s’écria le jeune homme exaspéré de ce mélange d’insolence et de bonnes manières, de convenance et de dédain. L’inconnu le regarda encore un instant avec son léger sourire, et se retirant de la fenêtre, sortit lentement de l’hôtellerie pour venir, à deux pas de d’Artagnan, se planter en face du cheval. Sa contenance tranquille et sa physionomie railleuse avaient redoublé l’hilarité de ceux avec lesquels il causait, et qui, eux, étaient restés à la fenêtre. D’Artagnan, le voyant à sa portée, tira son épée d’un pied hors du fourreau. — Ce cheval est décidément ou plutôt a été dans sa jeunesse bouton d’or, reprit l’inconnu, continuant les investigations commencées et s’adressant à ses auditeurs de la fenêtre, sans paraître aucunement remarquer l’exaspération de d’Artagnan. C’est une couleur fort connue en botanique, mais jusqu’à présent fort rare chez les chevaux. — Tel rit du cheval qui n’oserait pas rire du maître ! s’écria l’émule de Tréville, furieux. — Je ne ris pas souvent, monsieur, reprit l’inconnu, ainsi que vous pouvez le voir vous-même à l’air de mon visage ; mais je tiens cependant à conserver le privilége de rire quand il me plaît. — Et moi, s’écria d’Artagnan, je ne veux pas qu’on rie quand il me déplaît, et surtout quand c’est à mes dépens qu’on rit. — En vérité, monsieur ? continua l’inconnu, plus calme que jamais. Eh bien ! c’est parfaitement juste ; et, tournant sur ses talons, il s’apprêta à rentrer dans l’hôtellerie par la grande porte, sous laquelle en arrivant d’Artagnan avait remarqué un cheval tout sellé. Mais d’Artagnan n’était pas de caractère à lâcher ainsi un homme qui avait eu l’insolence de se moquer de lui. Il tira son épée entièrement du fourreau et se mit à sa poursuite en criant — Tournez, tournez donc, monsieur le railleur, que je ne vous frappe point par derrière ! — Me frapper, moi ! dit l’autre en pivotant sur ses talons et en regardant le jeune homme avec autant d’étonnement que de mépris. Allons donc, mon cher, vous êtes fou ! Puis, à demi-voix, et comme s’il se fût parlé à lui-même quelle trouvaille pour Sa Majesté, qui cherche des braves de tous côtés pour recruter ses mousquetaires ! Il est fâcheux, continua-t-il, qu’elle ne connaisse pas celui-là. Il achevait à peine, que d’Artagnan lui allongea un si furieux coup de pointe, que, s’il n’eût fait vivement un bond en arrière, il est probable qu’il eût plaisanté pour la dernière fois. L’inconnu vit alors que la chose passait la raillerie, tira son épée, salua son adversaire et se mit gravement en garde. Mais au même moment ses deux auditeurs, accompagnés de l’hôte, tombèrent sur d’Artagnan à grands coups de bâtons, de pelles et de pincettes. Cela fit une diversion si rapide et si complète à l’attaque, que l’adversaire de d’Artagnan, pendant que celui-ci se retournait pour faire face à cette grêle de coups, rengaînait avec la même précision, et d’acteur qu’il avait manqué d’être, redevenait spectateur du combat, rôle dont il s’acquitta avec son impartialité ordinaire, tout en marmottant néanmoins — La peste soit des Gascons ! Remettez-le sur son cheval orange, et qu’il s’en aille. — Pas avant de t’avoir tué, lâche ! criait d’Artagnan, tout en faisant face du mieux qu’il pouvait et sans reculer d’un pas à ses trois ennemis, qui le moulaient de coups. — Encore une rodomontade, murmura le gentilhomme. Sur mon honneur, ces Gascons sont incorrigibles. Continuez donc la danse, puisqu’il le veut absolument. Quand il sera las, il dira qu’il en a assez. Mais l’inconnu ne savait pas à quel genre d’entêté il avait affaire d’Artagnan n’était pas homme à jamais demander merci. Le combat continua donc quelques minutes encore ; cependant d’Artagnan, épuisé, laissa échapper son épée, qu’un coup de bâton brisa en deux morceaux ; enfin un autre coup lui entama le front et le renversa en même temps tout sanglant et presque évanoui. C’est à ce moment que de tous côtés on accourut sur le lieu de la scène ; mais l’hôte, craignant du scandale, emporta avec l’aide de ses garçons le blessé dans la cuisine, où quelques soins lui furent accordés. Quant au gentilhomme, il était revenu prendre sa place à sa fenêtre, et regardait avec une certaine impatience toute cette foule qui semblait, en demeurant là, lui causer une vive contrariété. — Eh bien ! comment va cet enragé ? demanda-t-il en se retournant au bruit de la porte qui s’ouvrait et en s’adressant à l’hôte, qui venait s’informer de sa santé. — Votre Excellence est saine et sauve ? demanda l’hôte. — Oui, parfaitement saine et sauve, mon cher hôtelier, et c’est moi qui vous demande ce qu’est devenu notre jeune homme. — Il va mieux, dit l’hôte, il s’est évanoui tout à fait. — Vraiment, fit le gentilhomme. — Mais avant de s’évanouir, il a rassemblé toutes ses forces pour vous appeler et vous défier en vous appelant. — Mais c’est donc le diable en personne, que ce gaillard-là, s’écria l’inconnu. — Oh ! non, Votre Excellence ; ce n’est pas le diable, reprit l’hôte avec une grimace de mépris, car pendant son évanouissement nous l’avons fouillé, et il n’a dans son paquet qu’une chemise, et dans sa bourse que onze écus, ce qui ne l’a pas empêché de dire en s’évanouissant que si pareille chose était arrivée à D’Artagnan. Paris, vous vous en repentiriez tout de suite, tandis que, la chose étant arrivée ici, vous ne vous en repentirez que plus tard. — Alors, dit froidement l’inconnu, c’est quelque prince du sang déguisé. — Je vous dis cela, mon gentilhomme, reprit l’hôte, afin que, si besoin est, vous vous teniez sur vos gardes. — Et il n’a nommé personne dans sa colère ? — Si fait, il frappait sur sa poche, et il disait — Nous verrons ce que M. de Tréville pensera de cette insulte faite à son protégé. — M. de Tréville, dit l’inconnu en devenant attentif ; il frappait sur sa poche en prononçant le nom de M. de Tréville !… Voyons, mon cher hôte, pendant que votre jeune homme était évanoui, vous n’avez pas été, j’en suis bien sûr, sans regarder aussi dans cette poche-là. Qu’y avait-il ? — Une lettre adressée à M. de Tréville, capitaine des mousquetaires. — En vérité ? — C’est comme j’ai l’honneur de vous le dire, Excellence. L’hôte, qui n’était pas doué d’une grande perspicacité, ne remarqua point l’expression que ses paroles avaient donnée à la physionomie de l’inconnu. Celui-ci quitta le rebord de la croisée sur lequel il était toujours resté appuyé du bout du coude, et fronça le sourcil en homme inquiet. — Diable ! murmura-t-il entre ses dents ; Tréville m’aurait-il envoyé ce gascon. Il est bien jeune ! Mais un coup d’épée est un coup d’épée, quel que soit l’âge de celui qui le donne, et l’on se défie moins d’un enfant que de tout autre ; il suffit parfois d’un faible obstacle pour contrarier un grand dessein. Et l’inconnu tomba dans une réflexion qui dura quelques minutes. — Voyons, l’hôte, dit-il, est-ce que vous ne me débarrasserez pas de ce frénétique ? En conscience, je ne puis le tuer, et cependant, ajouta-t-il avec une expression froidement menaçante, cependant il me gêne. Où est-il ? — Dans la chambre de ma femme, où on le panse, au premier étage. — Ses hardes et son sac sont avec lui ? Il n’a pas quitté son pourpoint ? — Tout cela, au contraire, est en bas, dans la cuisine. Mais puisqu’il vous gêne, ce jeune fou… — Sans doute. Il cause dans votre hôtellerie un scandale auquel d’honnêtes gens ne sauraient s’associer. Montez chez vous, faites mon compte et avertissez mon laquais. — Quoi ! monsieur nous quitte déjà ? — Vous le savez bien, puisque je vous avais donné l’ordre de seller mon cheval. Ne m’a-t-on point obéi ? — Si fait, et comme Votre Excellence a pu le voir, son cheval est sous la grande porte, tout appareillé pour partir. — C’est bien, faites ce que je vous ai dit alors. — Ouais ! se dit l’hôte, aurait-il peur du petit garçon ? Mais un coup d’œil impératif de l’inconnu vint l’arrêter court. Il salua humblement et sortit. — Il ne faut pas que milady[1] soit aperçue de ce drôle, continua l’étranger elle ne doit pas tarder à passer ; déjà même elle est en retard. Décidément mieux vaut que je monte à cheval et que j’aille au-devant d’elle… Si seulement je pouvais savoir ce que contient cette lettre adressée à Tréville ! Et l’inconnu, tout en marmottant, se dirigea vers la cuisine. Pendant ce temps l’hôte, qui ne doutait pas que ce ne fût la présence du jeune garçon qui chassât l’inconnu de son hôtellerie, était remonté chez sa femme et avait trouvé d’Artagnan maître enfin de ses esprits. Alors, tout en lui faisant comprendre que la police pourrait bien lui faire un mauvais parti pour avoir été chercher querelle à un grand seigneur, car, à l’avis de l’hôte, l’inconnu ne pouvait être qu’un grand seigneur, il le détermina, malgré sa faiblesse, à se lever et à continuer son chemin. D’Artagnan, à moitié abasourdi, sans pourpoint et la tête tout emmaillotée de linges, se leva donc, et poussé par l’hôte, commença de descendre ; mais en arrivant à la cuisine, la première chose qu’il aperçut fut son provocateur qui causait tranquillement au marchepied d’un lourd carrosse attelé de deux gros chevaux normands. Son interlocutrice, dont la tête apparaissait encadrée par la portière, était une femme de vingt à vingt-deux ans. Nous avons déjà dit avec quelle rapidité d’investigation d’Artagnan embrassait toute une physionomie ; il vit donc du premier coup d’œil que la femme était jeune et belle. Or, cette beauté le frappa d’autant plus qu’elle était parfaitement étrangère aux pays méridionaux que jusque-là d’Artagnan avait habités. C’était une pâle et blonde personne, aux longs cheveux bouclés, tombant sur ses épaules, aux grands yeux bleus languissants, aux lèvres rosées et aux mains d’albâtre ; elle causait très vivement avec l’inconnu. — Ainsi, Son Éminence m’ordonne… disait la dame. — De retourner à l’instant même en Angleterre, et de la prévenir directement si le duc quittait Londres, ou l’avait déjà quitté. — Et quant à mes autres instructions ? demanda la belle voyageuse. — Elles sont renfermées dans cette boîte, que vous n’ouvrirez que de l’autre côté de la Manche. — Très-bien ; et vous, que faites-vous ? — Moi, je retourne à Paris. — Sans châtier cet insolent petit garçon ? demanda la dame. L’inconnu allait répondre, mais au moment où il ouvrait la bouche, d’Artagnan, qui avait tout entendu, s’élança sur le seuil de la porte. — C’est cet insolent petit garçon qui châtie les autres, s’écria-t-il, et j’espère bien que cette fois-ci celui qu’il doit châtier ne lui échappera pas comme la première. — Ne lui échappera pas ? reprit l’inconnu en fronçant le sourcil. — Non, devant une femme, vous n’oseriez pas fuir, je présume. — Songez, s’écria milady en voyant le gentilhomme porter la main à son épée, songez que le moindre retard peut tout perdre. — Vous avez raison, s’écria le gentilhomme ; partez donc de votre côté, moi je pars du mien. Et saluant la dame d’un signe de tête, il s’élança sur son cheval tandis que le cocher du carrosse fouettait vigoureusement son attelage. Les deux interlocuteurs partirent donc au galop, s’éloignant chacun par un côté opposé de la rue. — Eh ! votre dépense, vociféra l’hôte, dont l’affection pour son voyageur se changeait en un profond dédain en voyant qu’il s’éloignait sans solder ses comptes. — Paie, maroufle, s’écria le voyageur toujours galopant, à son laquais, lequel jeta aux pieds de l’hôte deux ou trois pièces d’argent et se mit à galoper après son maître. — Ah ! lâche, ah ! misérable, ah ! faux gentilhomme ! cria d’Artagnan s’élançant à son tour après le laquais. Mais le blessé était trop faible encore pour supporter une pareille secousse. À peine eut-il fait dix pas que ses oreilles tintèrent, qu’un éblouissement le prit, qu’un nuage de sang passa sur ses yeux et qu’il tomba au milieu de la rue en criant encore — Lâche ! lâche ! lâche ! — Il est, en effet, bien lâche, murmura l’hôte en s’approchant de d’Artagnan, et essayant par cette flatterie de se raccommoder avec le pauvre gascon, comme le héron de la fable avec son limaçon du soir. — Oui, bien lâche, murmura d’Artagnan, mais elle, bien belle ! — Qui elle ? demanda l’hôte. — Milady, balbutia d’Artagnan qui avait entendu le gentilhomme prononcer ce nom, et il s’évanouit une seconde fois. — C’est égal, dit l’hôte, j’en perds deux, mais il me reste celui-là, que je suis sûr de conserver au moins quelques jours. C’est toujours onze écus de gagnés. On sait que onze écus faisaient juste la somme qui restait dans la bourse de d’Artagnan. L’hôte avait compté, comme on voit, sur onze jours de maladie à un écu par jour ; mais il avait compté sans son voyageur. Le lendemain, dès cinq heures du matin, d’Artagnan se leva, descendit lui-même à la cuisine, demanda, outre quelques autres ingrédients dont la liste n’est pas parvenue jusqu’à nous, du vin, de l’huile, du romarin, et, la recette de sa mère à la main, se composa un baume dont il oignit ses nombreuses blessures, renouvelant ses compresses lui-même et ne voulant admettre l’adjonction d’aucun médecin. Grâce sans doute à l’efficacité du baume de Bohême, et peut-être aussi grâce à l’absence de tout docteur, d’Artagnan se trouva sur pied dès le soir même, et à peu près guéri le lendemain. Mais au moment de payer ce romarin, cette huile et ce vin, seule dépense du maître qui avait gardé une diète absolue, tandis qu’au contraire le cheval jaune, au dire de l’hôtelier du moins, avait mangé trois fois plus qu’on n’eût raisonnablement pu le supposer pour sa taille, d’Artagnan ne trouva plus dans sa poche que sa petite bourse de velours râpé ainsi que les onze écus qu’elle contenait ; mais quant à la lettre adressée à M. de Tréville, elle avait disparu. Le jeune homme commença par chercher cette lettre avec une grande patience, tournant et retournant vingt fois ses poches et ses goussets, fouillant et refouillant dans son sac, ouvrant et refermant sa bourse ; mais lorsqu’il eut acquis la conviction que la lettre était introuvable, il entra dans un troisième accès de rage, qui faillit lui occasionner une nouvelle consommation de vin et d’huile aromatisés, car en voyant cette jeune mauvaise tête s’échauffer et menacer de tout casser dans l’établissement si l’on ne retrouvait pas sa lettre, l’hôte s’était déjà saisi d’un épieu, sa femme d’un manche à balai, et son garçon des mêmes bâtons qui avaient servi la surveille. — Ma lettre de recommandation ! s’écriait d’Artagnan, ma lettre de recommandation, ou sangdieu je vous embroche tous comme des ortolans. Malheureusement une circonstance s’opposait à ce que le jeune homme accomplît sa menace c’est que, comme nous l’avons dit, son épée avait été, dans sa première lutte, brisée en deux morceaux, ce qu’il avait parfaitement oublié. Il en résulta que lorsque d’Artagnan voulut, en effet, dégaîner, il se trouva purement et simplement armé d’un tronçon d’épée de huit ou dix pouces à peu près, que l’hôte avait soigneusement renfoncé dans le fourreau. Quant au reste de la lame, le chef l’avait adroitement détourné pour s’en faire une lardoire. Cependant cette déception n’eût probablement pas arrêté notre fougueux jeune homme, si l’hôte n’avait réfléchi que la réclamation que lui adressait son voyageur était parfaitement juste. — Mais, au fait, dit-il en abaissant son épieu, où est cette lettre ? — Oui, où est cette lettre ? cria d’Artagnan. D’abord, je vous en préviens, cette lettre est pour M. de Tréville, et il faut qu’elle se retrouve, ou si elle ne se retrouve pas, il saura bien la faire retrouver, lui ! Cette menace acheva d’intimider l’hôte. Après le roi et M. le cardinal, M. de Tréville était l’homme dont le nom peut-être était le plus souvent répété par les militaires et même par les bourgeois. Il y avait bien le père Joseph, c’est vrai, mais son nom, à lui, n’était jamais prononcé que tout bas, tant était grande la terreur qu’inspirait l’éminence grise, comme on appelait alors le familier du cardinal. Aussi, jetant son épieu loin de lui, et ordonnant à sa femme d’en faire autant de son manche à balai et à ses valets de leurs bâtons, il donna le premier l’exemple en se mettant lui-même à la recherche de la lettre perdue. — Est-ce que cette lettre renfermait quelque chose de précieux ? demanda l’hôte au bout d’un instant d’investigations inutiles. — Mordioux ! je le crois bien, s’écria le Gascon, qui comptait sur cette lettre pour faire son chemin à la cour ; elle contenait ma fortune. — Des bons sur l’Espagne ? demanda l’hôte inquiet. — Des bons sur la trésorerie particulière de Sa Majesté, répondit d’Artagnan, qui, comptant entrer au service du roi grâce à cette recommandation, croyait pouvoir faire sans mentir cette réponse quelque peu hasardée. — Diable ! fit l’hôte tout à fait désespéré. — Mais il n’importe, continua d’Artagnan avec l’aplomb national, il n’importe, l’argent n’est rien, et cette lettre était tout. J’eusse mieux aimé perdre mille pistoles que de la perdre. Il ne risquait pas davantage à dire vingt mille, mais une certaine pudeur juvénile le retint. Un trait de lumière frappa tout à coup l’esprit de l’hôte qui se donnait au diable, ne trouvant rien. — Cette lettre ne s’est point perdue, s’écria-t-il. — Ah ! fit d’Artagnan. — Non elle vous a été prise. — Prise ! et par qui ? — Par le gentilhomme d’hier. Il est descendu à la cuisine où était votre pourpoint. Il y est resté seul. Je gagerais que c’est lui qui l’a volée. — Vous croyez ? répondit d’Artagnan peu convaincu ; car il savait mieux que personne l’importance toute personnelle de cette lettre, et n’y voyait rien qui pût tenter la cupidité. Le fait est qu’aucun des valets, aucun des voyageurs présents n’eût rien gagné à posséder ce papier. — Vous dites donc, reprit d’Artagnan, que vous soupçonnez cet impertinent gentilhomme. — Je vous dis que j’en suis sûr, continua l’hôte ; lorsque je lui ai annoncé que votre seigneurie était le protégé de M. de Tréville et que vous aviez même une lettre pour cet illustre gentilhomme, il a paru fort inquiet, m’a demandé où était cette lettre, et est descendu immédiatement à la cuisine où il savait qu’était votre pourpoint. — Alors, voilà mon voleur trouvé, répondit d’Artagnan, je m’en plaindrai à M. de Tréville, et M. de Tréville s’en plaindra au roi. Puis il tira majestueusement deux écus de sa poche, les donna à l’hôte, qui l’accompagna, le chapeau à la main, jusqu’à la porte, remonta sur son cheval jaune, qui le conduisit sans autre accident jusqu’à la porte Saint-Antoine, à Paris, où, malgré la recommandation paternelle, son propriétaire le vendit trois écus, ce qui était fort bien payé, attendu que d’Artagnan l’avait fort surmené pendant la dernière étape. Aussi le maquignon auquel d’Artagnan le céda moyennant les neuf livres susdites ne cacha-t-il point au jeune homme qu’il n’en donnait cette somme exorbitante qu’à cause de l’originalité de sa couleur. D’Artagnan entra donc dans Paris à pied, portant son petit paquet sous son bras, et marcha jusqu’à ce qu’il trouvât à louer une chambre qui convînt à l’exiguité de ses ressources. Cette chambre fut une espèce de mansarde, sise rue des Fossoyeurs, près le Luxembourg. Aussitôt le denier à Dieu donné, d’Artagnan prit possession de son logement, passa le reste de la journée à coudre à son pourpoint et à ses chausses des passementeries que sa mère avait détachées d’un pourpoint presque neuf de M. d’Artagnan père, et qu’elle lui avait données en cachette ; puis, il alla quai de la Ferraille faire remettre une lame à son épée ; après quoi il revint au Louvre s’informer, au premier mousquetaire qu’il rencontra, de la situation de l’hôtel de M. de Tréville. Cet hôtel était situé rue du Vieux-Colombier, c’est-à-dire justement dans le voisinage de la chambre arrêtée par d’Artagnan ; circonstance qui lui parut d’un heureux augure pour le succès de son voyage. Alors entièrement satisfait de la façon dont il s’était conduit à Meung, sans remords dans le passé, confiant dans le présent et plein d’espérance dans l’avenir, il se coucha et s’endormit du sommeil du brave. Ce sommeil, tout provincial encore, le conduisit jusqu’à neuf heures du matin, heure à laquelle il se leva pour se rendre chez ce fameux M. de Tréville, le troisième personnage du royaume d’après l’estimation paternelle. ↑ Nous savons très bien que cette locution de milady n’est usitée qu’autant qu’elle est suivie du nom de famille. Mais nous la trouvons ainsi dans le manuscrit, et nous ne voulons point prendre sur nous de la changer.
Le renard de Morlange - Grand Format Adapté aux dys Malheur aux maudits les nuits de pleine lune ! Violences, humiliations rien n'arrête le cruel comte de Morlange. Jusqu'au jour où un vieil ermite... Lire la suite 11,90 € Neuf Poche En stock 5,50 € Ebook Téléchargement immédiat 4,49 € Grand format En stock 11,90 € En stock en ligne Livré chez vous à partir du 30 août Malheur aux maudits les nuits de pleine lune ! Violences, humiliations rien n'arrête le cruel comte de Morlange. Jusqu'au jour où un vieil ermite lui jette un sort. S'il ne change pas sa conduite, le comte sera transformé en renard les nuits de pleine lune tout en conservant son esprit humain ! Renaud de Morlange est un fin chasseur. Mais le renard, lui, a bien des choses à apprendre pour affronter les dangers de la forêt... Dans la liste officielle du Ministère de l'Education Nationale. Une édition conçue pour les Dys et tous ceux qui ont du mal à lire. Lire devient facile et agréable ! Date de parution 16/08/2018 Editeur ISBN 978-2-09-258366-1 EAN 9782092583661 Format Grand Format Présentation Broché Nb. de pages 224 pages Poids Kg Dimensions 14,5 cm × 19,0 cm × 1,6 cm
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miss terious a écritTéléchargé sans souci et lu sans souci itou. La mise en page est bonne et je n'ai pas noté d'erreurs. En revanche, comme le disait V., ce n'est pas adapté à des 5e, en tout cas pas la virée chez les prostituées. Merci beaucoup... En fait, j'ai acheté plusieurs ouvrages dont Le loup-garou et autres nouvelles de Vian et l'anthologie sur le loup-garou Les morsures du loup-garou, par Alain 4En passant, une idée que vous avez peut-être déjà eu comme cursive le Renard de Morlange un seigneur transformé en renard par une malédiction. Pour de petits lecteurs, teriousDoyen Re [5e] le conte merveilleux - Bisclavret par miss terious 6th Septembre 2016, 1705Ça y est commencé ! Ce matin, avec une de mes 5e, j'ai donc entamé mon chapitre sur Bisclavret. Voici ce qu'on a leur ai demandé d'écouter les 4 premières minutes du lai raconté en AF merci encore tannat pour le lien sans rien faire d'autre qu' 2e écoute, cette fois avec stylo et feuille à eux de noter tout ce qu'ils comprenaient. Puis, travail de groupes ma salle est en îlots ils ont mis en commun ce qu'ils avaient compris pendant une 10aine de minutes. Je passais dans les rangs pour les guider dans les questions à se poser quand ? qui ? etc.3e écoute, cette fois avec le texte en AF sous les demain ils doivent mettre au brouillon tout ce qu'ils ont désormais donc, demain, ap. un deuxième temps de mise en commun par groupe, puis de mise en commun classe, on lira la traduction en français moderne d'ailleurs vous dites quoi, vous ? "traduction" ? "translation" ?, parce que ça reste du français.À noter que je n'ai donné aucun indice sur l'histoire quand j'ai présenté le chapitre. Mais dans la version audio, on entend des cris de loups ; on reconnaît bien les mots "Bretagne", "chevalier", "dame", "forêt", "bête sauvage", etc. La suite au prochain numéro !_________________"Ni ange, ni démon, juste sans nom." Barbey d'AUREVILLY, in. Une histoire sans nom "Bien des choses ne sont impossibles que parce qu'on s'est accoutumé à les regarder comme telles." DUCLOSJudithNiveau 1J'adore l'idée ! Je dis généralement "traduction" et je parle de "modernisation" à partir du XVIe. turbuletteNiveau 4Commencé également, sans passer pour la version audio, que je compte réserver pour la fin. A la première séance on a travaillé sur le début du texte en ancien français et ils ont adoré retrouvé les mots "transparents". On a passé plus de temps sur "beste", pour montrer l'évolution en partant du latin, puis ils ont repéré celui qui revenait le plus "garulf" Suspens et hypothèses... En passant par l'anglais Werewolf ils ont trouvé. Ma surprise a moi a été de constater que ils n'ont pas DU TOUT une idée claire de ce qu'est un loup-garou! "c'est un monstre!" "nan un loup!" "naaan c'est un loup debout!" Je croyais que Twillight m'aurait mâché le boulot... Aujourd'hui, lecture des premières pages, ça plait, une bonne bien exploiter l'aspect "légende terrifiante" en rédaction mais j'ai peur de marcher sur les plates-bandes du programme de 4e...baboutcheNiveau 1j'aime beaucoup vos idées, alors où en êtes-vous ? Cela plait-il aux élèves ? PetraPortoNiveau 10 Re [5e] le conte merveilleux - Bisclavret par PetraPorto 28th Septembre 2016, 1805Bonjour à tous,Peut on considérer le lai de bisclavret comme un conte ? J'hésite à le fairemiss teriousDoyen Re [5e] le conte merveilleux - Bisclavret par miss terious 28th Septembre 2016, 1945 drop-of-cloud a écritBonjour à tous,Peut on considérer le lai de bisclavret comme un conte ? J'hésite à le faire Je m'autocite pour te répondre message en page 1 de ce topic... MissT a écritJe suis en train de lire Les Lais de Marie de France dans la coll. Lettres gothiques et la préface renforce ma conviction. Laurence HARF-LANCNER y indique que les lais sont une mise en poème de contes traditionnels oraux permettant d'en garder trace, pur remembrance ». Je vais donc bel et bien travailler Bisclavret et donnerai 2 ou 3 autres à lire, encore à déterminer peut-être Lanval et Yonec.Je vais aussi chercher l'aventure de Sidi Numan dans Les Mille et une nuit, conte oriental en lien avec Bisclavret une sorcière se débarrasse de son mari en le transformant en chien - en loup dans certaines versions. _________________"Ni ange, ni démon, juste sans nom." Barbey d'AUREVILLY, in. Une histoire sans nom "Bien des choses ne sont impossibles que parce qu'on s'est accoutumé à les regarder comme telles." DUCLOSvigaNeoprof expérimentéCe sera sans doute mon deuxième chapitre... Je suis "preneuse" de conseils et d'idées de la part de celles et ceux? qui ont mené cette étude à son terme. Merci!blancheÉruditMoi aussi! IsiaSagemoi aussi ! AlbiusNiveau 10 tannat a écritLe Gâloup, de Claude Seignolle ne semble plus édité...Quelqu'un en aurait-il un extrait ou un texte complet, s'il vous plaît ? Le Galoup se trouve également dans cette réédition plus récente de l'intégrale des récits de Seignolle, mais je ne sais plus si c'est dans le tome I ou II le thème du loup-garou, il y a évidemment le passage célèbre du Satyricon de aussi la petite anthologie de Barbara Sadoul chez Librio, Gare au garou , qui contient entre autres, de mémoire, l'extrait de littérature, comme toute forme d'art, est l'aveu que la vie ne suffit pas. F. PessoatannatHabitué du forumC'est gentil, j'ai rassemblé mon corpus, mais je vais regarder ces liens, merci !_________________ Nous naissons tous fous. Quelques-uns le demeurent. » Samuel Beckett C'est un malheur que les hommes ne puissent d'ordinaire posséder aucun talent sans avoir quelque envie d'abaisser les autres.» Vauvenarguesmiss teriousDoyenJe viens de finaliser le sujet de rédac' que je vais proposer à mes élèves lundi. Je la fin du lai, le roi interroge Bisclavret ; il veut tout savoir de son secret. Alors le chevalier lui raconte son histoire. À vous de la respecterez le plan suivant 1. dans un premier paragraphe, rapportez le dialogue entre le roi et Bisclavret qui conduit le chevalier à raconter son histoire2. dans un deuxième paragraphe, indiquez comment il quitte le château et gagne la chapelle où il cache ses vêtements3. dans un troisième paragraphe, racontez la métamorphose en loup4. dans un quatrième paragraphe, narrez la vie sauvage qu’il mène dans la forêt5. dans un dernier paragraphe, expliquez comment il recouvre sa forme humaine et évoquez le retour à la rédigerez votre histoire à l’aide du système du récit dont les temps dominants sont les passé simple et imparfait. Le premier paragraphe aura Marie de France comme narrateur ; ensuite ce sera le chevalier Bisclavret qui racontera et vous utiliserez donc la première personne. Vous penserez à préciser les sensations et émotions du texte fera au moins une page et demie. Il sera tenu compte de la maîtrise de la langue dans l’ des quelques informations données par Bisclavret lui-même l. 23 à 39.Vous pouvez également utiliser les éléments donnés dans le lai de Mélion, dans l’histoire de Lycaon Ovide, Les Métamorphoses ou encore dans les textes de Pétrone Le Satyricon et de Gervais de Tilbury Le Livre des merveilles.Pensez aussi à recourir à vos connaissances personnelles sur les loups-garous livres, films….Je suis preneuse de vos avis. Merci !_________________"Ni ange, ni démon, juste sans nom." Barbey d'AUREVILLY, in. Une histoire sans nom "Bien des choses ne sont impossibles que parce qu'on s'est accoutumé à les regarder comme telles." DUCLOSbaboutcheNiveau 1J'aime bien l'idée miss terious après est-ce que c'est pas un peu complexe avec les changements narrateur puis le chevalier ainsi que les exigences liées à la mise en place du dialogue. Après cela dépend du niveau de ta classe, moi je pense qu'avec une classe comme la mienne il y aurait trop de choses à maîtriser en même du forumJ'aime beaucoup ce sujet mais pour mes classes aussi, il serait trop complexe en début d'année. Pour ma part, je me suis contentée de leur demander de raconter la transformation de Mélion. Récit fait par sa femme à son père. Comme nous avions travaillé en classe la transformation de Bisclavret, il s'en sont inspiré. Malgré tout certains ont eu beaucoup de terious, combien de temps auront-ils pour faire ce travail ?NadejdaGrand sageJe suis plutôt d'accord sur la difficulté à mêler, dans ce sujet, plusieurs types de texte et plusieurs temporalités. Ne risquent-ils pas aussi de faire un simple résumé du lai ?J'ai préféré donner aux miens plusieurs petits sujets d'écriture début d'année et classes très faibles - imaginer que l'épouse cherche à découvrir d'elle-même le secret du baron Comment s'y prend-elle ? Quelles précautions prend-elle ? moment de la journée, instructions laissées à ses serviteurs adjuvants, possible déguisement... Une fois qu'elle a découvert son secret, comment réagit-elle ?- description de la métamorphose après une série d'exercices de vocabulaire autour des verbes de transformation ; les élèves devaient d'abord au brouillon lister tout ce qui de l'homme à "l'animal" changerait partie du corps de l'homme -> de l'animal -> verbe de transformation à utiliser + détails supplémentaires- le discours qu'elle pourrait finalement tenir à son mari pour justifier sa trahison elle peut formuler des regrets ou bien des reproches- des exercices d'imitation sur les manières d'exagérer un phénomène, merveilleux ou non dans la traduction de F. Morvan on trouve plusieurs formules en "tant", "tellement... que", "si... que" etc.- autour du vocabulaire de la chasse, assez peu connu des élèves et présent dans une scène du lai, chercher d'autres mots du même domaine et les réutiliser dans un petit texte de leur invention- rédiger des réponses plus argumentées, étayées par le texte, sur le sens du lai un châtiment mérité ? trop sévère ? l'épouse est-elle vraiment coupable ? pourquoi cette insistance sur le nez ? l'évolution des personnages entre un début presque idyllique et un délitement assez subtil de la relation conjugaleCe sont des exercices plutôt courts mais mon but est qu'ils écrivent très régulièrement. Finalement, même si le lai n'est pas très long, je n'ai pas encore fini mon chapitre j'ajouterai le visionnage du lai animé par E. Mercier et la lecture de l'histoire de Sidi Nouman. Entre le vocabulaire, les explications, l'écriture et la langue... lisontineHabitué du forumMoi non plus je n'ai pas tout à fait terminé il me reste un travail d'oral pour les amener à lire correctement le texte versifié et une évaluation de la lecture personnelle du Renard de Morlange. Mais une chose est sûre, ce chapitre leur a plu. Ensuite j'enchaîne sur un EPI, et là je suis moins emballée ... Tem-toGrand sageJe compte leur faire apprendre à chacun entre 6 et 12 vers. Et ainsi toute la classe participe à l'oralisation du lai. Mais je veux une narration orale beaucoup plus expressive que celle sur laquelle nous travaillerons qui repose sur le très beau court-métrage d'Emilie Mercier. Si j'avais le temps je chercherai un fond musical, une petite mise en scène...miss teriousDoyenJe vous dirais ce que ça donne, le sujet. Je récupère les copies mardi ange, ni démon, juste sans nom." Barbey d'AUREVILLY, in. Une histoire sans nom "Bien des choses ne sont impossibles que parce qu'on s'est accoutumé à les regarder comme telles." DUCLOSturbuletteNiveau 4Bon alors niveau rédaction, j'ai donné en premier le récit de la métamorphose de Bisclavret en loup-garou ils avaient étudié les Métamorphoses, ça nous a fait une transition en douceur, ils étaient assez à l' la deuxième qui sera faite en classe, j'ai une idée mais je ne sais pas trop ce que ça vaut - leur demander de venir avec une image d'une créature merveilleuse phénix, licorne, dragon- le sujet serait quelque chose comme "vous vous retrouvez nez à nez avec une créature merveilleuse. Décrivez-la et exprimez les sentiments qu'elle vous inspire en utilisant des types de phrases variés" on a revu la phrase, et on a défini le merveilleux et étudié le passage où le roi s'extasie devant le en pensez quoi? Et ceux qui font l'oeuvre, une autre idée à proposer?miss teriousDoyenturbulette, je trouve ton idée intéressante mais pense à prévoir toi-même des images pour ceux qui n'auraient rien trouvé ou rien cherché._________________"Ni ange, ni démon, juste sans nom." Barbey d'AUREVILLY, in. Une histoire sans nom "Bien des choses ne sont impossibles que parce qu'on s'est accoutumé à les regarder comme telles." DUCLOSPetraPortoNiveau 10Bonsoir à tousJe compte donner bisclavret mais j'aurai également aimé y rajouter un conte avec une autre métamorphose le loup ou autre...auriez vous une idée ?tannatHabitué du forum• Lycaon, Ovide, Les Métamorphoses.• Le Bisclavret, Lais de Marie de France. • Sidi Numan, Les Mille et une nuit, anonyme. La Belle et la Bête, Jeanne-Marie Leprince de Beaumont, Magasin des enfants. • Le loup-Garou, Boris Vian.• Le Galoup, Claude Nous naissons tous fous. Quelques-uns le demeurent. » Samuel Beckett C'est un malheur que les hommes ne puissent d'ordinaire posséder aucun talent sans avoir quelque envie d'abaisser les autres.» Vauvenarguesmiss teriousDoyenIl existe un autre lai dans lequel un homme se transforme en oiseau pour rejoindre la femme qu'il aime, maintenue prisonnière par son époux. Est-ce Guingamor ? Je ne sais plus trop. Mais c'est une ange, ni démon, juste sans nom." Barbey d'AUREVILLY, in. Une histoire sans nom "Bien des choses ne sont impossibles que parce qu'on s'est accoutumé à les regarder comme telles." DUCLOStannatHabitué du forumNe serait-ce pas plutôt le lai du Yonec ou celui de Laustic ? _________________ Nous naissons tous fous. Quelques-uns le demeurent. » Samuel Beckett C'est un malheur que les hommes ne puissent d'ordinaire posséder aucun talent sans avoir quelque envie d'abaisser les autres.» VauvenarguesSujets similaires[résolu] Le conte et le conte merveilleux... définition?fiche voca conte merveilleuxConte merveilleux en cinquième des idées ? un conte merveilleux avec un âne qui parle?[6ème] Conte merveilleux versPermission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
le renard de morlange résumé chapitre 3